SAUVONS L’IDENTITÉ ARCHITECTURALE D’AGADIR !

Paru  le 21 février 2013 dans AGADIR PREMIÈRE N°37

URBAN LIFE

 

SAUVONS L’IDENTITÉ ARCHITECTURALE D’AGADIR !

Tour des Pompiers : Architecte : ZEVAGO

Tour des Pompiers : Architecte : ZEVACO

Loin des splendeurs mauresques de Fès ou des remparts ocres de Marrakech, Agadir, l’inclassable, affiche de surprenantes lignes modernes aux portes du désert… Pour l’œil du novice, ce choix architectural peut paraître osé, mais s’il sait lire entre les lignes de son histoire, il pourra voir son âme, celle d’une ville qui a endossé une fière armure pour abriter un cœur sensible et éprouvé. Ici, l’habitat traditionnel n’a pas eu le temps de se développer. Son cachet architectural brutaliste est donc né, dans l’après-séisme des années 60, d’une volonté de rassurer les habitants. Aujourd’hui, une explosion immobilière mal dirigée brouille l’identité moderne d’Agadir. Mais un nouveau pôle urbain à Talborjt fait revivre la ferveur architecturale des grands jours et l’espoir d’un retour à l’harmonie urbanistique…

UN CONSTAT ET UN CONTEXTE EXISTANT

Un urbanisme en souffrance, c’est le sentiment que transmet l’architecture hétéroclite actuelle d’Agadir… Un développement tardif, à l’aube du XXe siècle, un grand séisme suivi d’une reconstruction et une croissance démographique galopante, assortie d’une course à la promotion immobilière… Voici, entre autres, les différents facteurs qui ont entraîné une totale confusion architecturale. Aujourd’hui, la ville n’a plus d’unité ni de sens avec ses barres de logements sociaux, ses bâtiments de la reconstruction mal sauvegardés, et quelques rares immeubles des années 20-30 encore présents mais saccagés. Néanmoins, il est encore possible d’harmoniser le paysage urbain d’Agadir, en quittant le fonctionnement hétérogène et surtout, en renouant le dialogue entre la ville, ses architectes et ses citoyens.

Immeuble A - Architecte : RIOUX

Immeuble A – Architecte : RIOUX

L’HÉRITAGE URBANISTIQUE D’HIER

Typiques d’une époque à l’architecture brutaliste, les monuments de la reconstruction étaient bâtis pour rassurer une population traumatisée par le séisme. Grands, futuristes, en béton apparent, ils se reconnaissent au premier regard : la municipalité, la poste principale, l’immeuble A, la caserne des pompiers, la Banque du Maroc, la rue des administrations… Éléments structurants de très haute qualité, ils ont été conçus et construits dans un climat d’excellence et, aujourd’hui encore, bien que mal sauvegardés, ils conservent leur superbe. Ces bâtiments auraient dû constituer le point de départ d’un développement urbanistique magistral dans sa continuité, mais visiblement, les contraintes socio-économiques d’aujourd’hui ont relégué, au second plan, la spécificité architecturale d’Agadir acquise lors de la reconstruction.

LES ARCHITECTES DE LA « RUPTURE »

L’architecture tient compte des contextes passés et présents d’une ville, tout en envisageant son futur avec harmonie. Pour sauver l’identité urbaine d’Agadir, nous devons donc commencer par la comprendre. Pour cela, il faut remonter à l’époque de sa reconstruction où les compteurs architecturaux ont été remis à zéro. Repérés parmi les meilleurs élèves des Beaux-Arts de Paris, toute une vague de jeunes architectes du mouvement moderne étaient alors réunis par Michel Écochard à Rabat, s’inscrivant dans la direction de travail corbuséenne : Zevaco, Azagury, Rioux, Faraoui, De Mazières, Tastemain… La reconstruction d’Agadir représenta un cas d’école sur lequel ils travaillèrent avec cœur, prônant une « rupture » volontaire avec le style architectural précédent et exaltés par la ferveur du progrès qui animait cette époque.

Banque du Maroc - Architecte : AZAGURY

Banque du Maroc – Architecte : AZAGURY

DES CONSÉQUENCES DÉMOGRAPHIQUES

Pourquoi nous retrouvons-nous donc, aujourd’hui, face à un paysage urbanistique aussi hétéroclite ? Après le séisme, il est apparu une volonté politique de rebâtir une cité contemporaine exemplaire tournée vers l’avenir. C’est dans ce cadre que la ville a commencé sa reconstruction, avec des premiers résultats qui laissaient espérer qu’elle atteindrait ses objectifs. Mais cette attitude ne pouvait mesurer les contraintes socio-économiques que vit la ville aujourd’hui, soumise à une imposante croissance démographique et, de par sa position géographique, à une pression migratoire en provenance du monde rural et des provinces sahariennes. Par ailleurs, la vision d’une nouvelle ville inscrite dans la modernité internationale n’a pas tenu compte de la complexité et de la spécificité d’un héritage culturel fortement présent.

La Poste - Architecte : ZEVACO

La Poste – Architecte : ZEVACO

L'Hôtel de Ville - Architecte : DUHON

L’Hôtel de Ville – Architecte : DUHON

L'Hôtel de Ville - Architecte : DUHON

L’Hôtel de Ville – Architecte : DUHON

 

ET UNE AUTRE DIRECTION DE TRAVAIL

L’architecture spécifique de la reconstruction prouve qu’elle a été conduite par des architectes de grande qualité et, surtout, dans un climat d’excellence. Parmi les handicaps qui freinent, depuis la fin des années 80, une construction immobilière de qualité, il y a la mauvaise habitude des maîtres d’ouvrage et des acteurs de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, à prétendre maîtriser tous les corps de métier. Il y a aussi l’orientation particulière que suit le développement du pays, malgré le discours historique de SM le Roi Mohammed VI, le 18 mai 2005, annonçant l’Initiative Nationale du Développement Humain (INDH), une proposition très innovante de tirer, vers le haut, la qualité de vie de la société, dans un esprit de partage. Il est toujours bénéfique d’œuvrer à une bonne gouvernance.

 

RENDRE LE SOURIRE À AGADIR

La concrétisation d’un nouveau pôle urbain à Talborjt donne, aujourd’hui, l’occasion de se repencher sur une étude de 1997 intégrant ce projet comme point de départ d’un axe de centralité reliant le nouveau Talborjt au bord de mer, via les bâtiments de la reconstruction. Un bureau d’études des Canaries a récemment été désigné, par la ville, pour redessiner cet axe Talborjt-front de mer. Malheureusement, pour l’instant, aucune rencontre n’a été organisée entre cette équipe étrangère et les architectes du pôle urbain de Talborjt. Les choix de ce bureau d’études seront pourtant très importants dans la façon de rendre notre ville accueillante pour ses citoyens et ses visiteurs. Ainsi, dans leur éventualité de supprimer la Vallée des Oiseaux, tiennent-ils compte de son importance pour les familles gadiris ?

 

PÔLES DE CENTRALITÉS POTENTIELS

De la petite ville balnéaire, nous avons évolué vers l’Aire Urbaine du Grand Agadir, avoisinant les un million d’habitants. Son étendue actuelle oblige à considérer que cette métropole ne peut plus fonctionner autour d’un seul centre urbain mais dans un maillage d’espaces et de pôles de centralités urbaines. Dans l’étude de 1997 qui s’y rapporte, la Commune Urbaine d’Agadir avait demandé une réflexion et des propositions concrètes sur cinq sites destinés à devenir de nouveaux pôles de centralités urbaines : le pôle multi-fonctions de Talborjt, le lieu-dit « Mur du Souvenir », le terrain du camping, le lieu-dit de la « Grande Dune » (secteur balnéaire) et un terrain de la cité Founty. Seize ans après, seul le pôle de Talborjt a été achevé, sur une initiative privée, et sans aucune visibilité sur le devenir des autres…

Mur du Souvenir - Architecte : VERTUGO

Mur du Souvenir – Architecte : VERDUGO

 

LE NOUVEAU PÔLE URBAIN DE TALBORJTIMG_3666

Espace de vie, de commerce et d’habitation, le nouveau pôle urbain de Talborjt est maintenant totalement opérationnel. Vous le connaissez certainement avec ses lumineux immeubles, ses nouvelles boutiques et ses deux supermarchés aux enseignes réputées. Occupant le terrain privilégié de l’ancienne « gare routière », à la croisée des grands axes du boulevard Mohammed Cheikh Saâdi et de l’avenue des FAR, l’ensemble constitue une réalisation marquante destinée à devenir un élément rééquilibrant du centre-ville d’Agadir, pour faire face à l’ampleur des extensions de la ville vers l’Est. Pourtant, sa concrétisation n’aura été ni simple, ni rapide, et pendant longtemps, les citoyens n’ont eu, sous les yeux, qu’un long chantier qui a connu plusieurs changements d’orientation.

Les Résidences Talborjt - Architectes : LE TIXERANT - BOUAIDA

Les Résidences Talborjt – Architectes : LE TIXERANT – BOUAIDA

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LA CONTINUITÉ DE L’ESPRIT D’AGADIR

Si vous portez votre regard sur les murs blancs du pôle urbain de Talborjt, peut-être percevrez-vous une émotion familière, car ce projet s’intègre idéalement dans la continuité de l’esprit d’Agadir. Ses dimensions et son aspect massif, de même que sa volumétrie dessinée sur la trame urbanistique, révèlent l’obéissance de ses créateurs au nombre d’or, une proportion chère à Le Corbusier. Initié par Patrice Le Tixerant et relancé par Mohamed Salem Bouaida, tous deux fervents disciples du mouvement moderne, l’ensemble présente toutes les caractéristiques de l’architecture adoptée lors de la reconstruction d’Agadir : les pilotis, les façades libres, la recherche de lumière et d’espace, la puissance des poteaux aux normes antisismiques généreuses… En un mot, une quête d’excellence dont ces architectes et promoteurs sont les meilleurs ambassadeurs.

UN PÔLE URBAIN À DÉSENCLAVER

Point de départ d’un axe de centralité urbaine prévu dans le Plan Communal d’Aménagement, le pôle de Talborjt n’a pourtant pas eu une naissance facile et n’est toujours pas encouragé par la ville. Initialement prévu pour abriter un Marché Municipal dessiné selon l’héritage culturel du pays, le centre commercial du projet a longtemps attendu son accomplissement avant d’être repris par des investisseurs privés, qui, quoique bien intentionnés, ont malheureusement interprété, de façon hétéroclite, le design originel. De même, la place centrale, voie de circulation publique longtemps inachevée, doit son aménagement au financement des promoteurs, lassés d’attendre l’intervention de la ville. Aujourd’hui, le pôle urbain de Talborjt n’attend plus que son intégration dans son quartier, via une restructuration des voiries qui se fait attendre…

 

LES RESIDENCES TALBORJT

IMG_3652Empreintes de l’âme architecturale d’Agadir voulue par leurs créateurs et des symboles forts de la ville, blancheur et modernité, les Résidences de Talborjt sublimeront votre qualité de vie au coeur de la ville. Promues par la société GDO (Gestion et Développement Oued Eddahab), elles mettent, à la disposition des investisseurs, de séduisants appartements, des plateaux de bureaux et une galerie commerciale chic : les Galeries de Talborjt. Joyau du nouveau pôle urbain de Talborjt, le projet est à 70% orienté vers la mer et offre une vue époustouflante où le regard glisse en pente douce sur les toits jusqu’à la baie, tandis que les locaux surplombant le boulevard Mohammed Cheikh Saâdi embrassent une vue panoramique sur les montagnes. Choisissez, chez GDO, votre nouvel espace de vie ou de travail d’exception.

Spacieuses et lumineuses, les Résidences de Talborjt réunissent 151 appartements, dont 15 F2 de 82m², 86 F3 de 112m², 16 F3 de 135m² et 34 F4 de 148 m² à 169 m². D’une valeur de 14.900 Dhs à 17.000 Dhs au m², elles disposent d’une cuisine aménagée Bosch avec four électrique, lave-vaisselle, micro-ondes, hotte et plaque de cuisson vitrocéramique. Elles disposent aussi d’un chauffe-eau électrique, de volets roulants électriques, de sanitaires Roca et d’une robinetterie Grohe. Les cuisines et salles de bain sont équipées d’un système de ventilation VMC et les chambres et salons, de climatisation Carrier. Les parkings possèdent : système de désenfumage, détection d’incendie et caméras de surveillance (parkings et boxes sont cédés au prix de revient). Superficies de Bureaux : de 114m à 197m² au prix de 17.000 Dhs le m².IMG_3680

LES GALERIES DE TALBORJT

Encadrant la place centrale, les Galeries de Talborjt célèbrent la tradition commerçante du Maroc dans un cadre stylé destiné à devenir le nouveau lieu de sortie tendance du centre-ville. Sur une superficie totale de 6.300 m2, les Galeries de Talborjt ont l’avantage d’être accessibles par le boulevard Med Cheikh Saâdi et par la grande place. L’espace s’anime déjà de plusieurs enseignes de qualité : Amastore équipement maison, Chocolatier Léonard, Domino’s Pizza, jouets Joupi, prêt-à-porter Lylia, Lynx optique, Maroc Télécom, institut Para Egothera, parfumerie Secret des Roses, équipement Sport Plus, chaussures Vivas, glacier Venezia Ice et sa franchise O Burger. La galerie donne aussi accès aux supermarchés Aswak Assalam et Carrefour Market. Positionnez votre activité commerciale en rejoignant les Galeries de Talborjt. Locaux loués à 150 Dhs/m².IMG_3682

BRAVO À NOS ARCHITECTES !

Reprenant l’esprit moderne de l’époque de la reconstruction avec une touche d’art ornemental marocain, plusieurs nouveaux bâtiments affichent une volonté de continuité dans l’identité architecturale d’Agadir. En voici quelques beaux exemples : la Cour d’Appel par l’Architecte M. Demnati Amine, la Chambre d’Agriculture par l’Architecte Yassir Hachim, le Lycée Français par l’Architecte Mohamed Salem Bouaida, les résidences de Synergie Constructions, le Consulat de France, le Centre Régional d’Investissement, le Conseil Régional SMD, l’Institut Français et le Royal Atlas par les Architectes MM. Brakez et Delahaye, entre autres. Saluons, au passage, la restauration du dôme de l’ancien marché, avenue Mouquaouama, en souhaitant que son projet de salle de concerts se concrétise très bientôt (cf. Agadir Première n°29).

REPERES

LE CORBUSIER

Le Corbusier_1Étonnant, face aux œuvres presque futuristes de Le Corbusier, d’apprendre que sa naissance remonte à 1887 ! De son vrai nom Charles-Édouard Jeanneret, cet architecte, urbaniste, décorateur, peintre, sculpteur et homme de lettres, représente l’un des principaux initiateurs du mouvement moderne. Ses réalisations ont marqué le XXème siècle et des générations d’architectes, dont ceux de la reconstruction d’Agadir. Pour exemple, la Villa Savoye de Poissy, typique des principes de « l’Architecture Nouvelle », la Chapelle de Notre-Dame-du-Haut en Haute-Saône, le Musée National d’Art Occidental de Tokyo et bien d’autres. Né Suisse et naturalisé Français en 1930, cet architecte exceptionnel s’était choisi le pseudonyme de « Le Corbusier » pour signer les articles de sa revue « l’Esprit Nouveau » créée avec Amédée Ozenfant en 1919.

CINQ POINTS DE L’ARCHITECTURE MODERNE

Les cinq points de l’architecture moderne, publiés en 1927 par Le Corbusier et Pierre Jeanneret restent, aujourd’hui encore, en 2013, étonnamment actuels. Partie intégrante de l’identité architecturale d’Agadir, leurs caractéristiques vous seront certainement familières. Ces cinq points sont : les pilotis (le rez-de-chaussée est un espace dégagé), le toit-terrasse (pouvant servir de solarium, de terrain de sport, de piscine ou de jardin), le plan libre (structures de type poteaux-dalles en acier ou en béton armé), la fenêtre en longueur (rendue possible par les structures poteaux-dalles), la façade libre (murs légers et baies placées indépendamment de la structure). Et vous, reconnaissez-vous, à Agadir, les bâtiments détenteurs de ces « cinq points de l’architecture moderne ? »

PATRICE LE TIXERANT

Patrice Le TixerantPatrice Le Tixerant arriva à Agadir en 1969, alors que, pratiquement, seuls les bâtiments de la reconstruction étaient en place. Faisant partie de la génération des disciples de Le Corbusier et de Kenzo Tange, il fut stupéfait de leur qualité qui incarnait si bien leur orientation de travail, Né à Lille d’une famille champenoise, Patrice Le Tixerant effectua, dans les années 60, ses études à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, travaillant, en parallèle, chez un architecte. Diplômé, il envisageait un Master of Régional Planning aux USA mais l’effervescence de Mai 68 le retint à Paris, où il ouvrit une agence avec des amis. Son destin l’attendait, pourtant, au Maroc qui avait besoin d’architectes urbanistes. Depuis, il a exercé dans tout le royaume sur d’importants projets, dont le Palais des Congrès de Marrakech. 

MOHAMED SALEM BOUAIDA

Mohamed Salem BouaidiaDans la reprise en main du pôle urbain de Talborjt, Mohamed Salem Bouaida a su mettre en place un climat d’excellence, affichant une volonté d’obéissance à l’orientation de travail des architectes de la reconstruction. Originaire de Guelmim, Mohamed Salem Bouaida effectua ses études à l’École d’Architecture Saint Luca de Bruxelles. Diplômé en 76, il revint à Agadir où il entra comme Architecte à la Délégation de l’Urbanisme. C’est là qu’eut lieu sa première rencontre avec Patrice Le Tixerant avec qui il partage la même vision moderne. En 1981, l’architecte ouvrit son propre cabinet, travaillant essentiellement pour l’État et les institutionnels. Citons quelques-unes de ses réalisations : le Lycée Français d’Agadir, le programme immobilier El Wid (cité Dakhla), les études de lotissement des zones Al Houda et Tassila…

KENZO TANGE

Kenzo Tange_1Quel est le lien, direz-vous, entre Kenzō Tange et Agadir ? L’intégralité de l’oeuvre de cet homme a inspiré, au même titre que Le Corbusier, des générations d’architectes du mouvement moderne de notre ville, dont les architectes de la reconstruction d’Agadir et bien d’autres encore aujourd’hui. Né en 1913, Kenzō Tange fut un architecte-urbaniste connu pour ses créations d’envergure au style épuré, souvent en béton brut, revêtues de parois de verre ou de pierre, à l’exemple du bâtiment de la Place d’Italie à Paris, le Musée des Arts Asiatiques à Nice et de nombreux buildings à Tokyo. En 1987, il se vit décerner le prix Pritzker d’architecture. Kenzō Tange fut, également, appelé à planifier le nouveau centre-ville de la ville de Skopje en Macédoine, frappée, elle aussi, par un grand séisme en 1963.

Photos Michel Terrier (sauf les photos des Architectes)

Publié 27 février 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Urbanisme