par Malika Alami – leconomiste.com
- LES DISPOSITIONS DE L’ARTICLE 145 BIS DU CGI EN CAUSE
- LA TENUE OBLIGATOIRE ET DE MANIÈRE RÉGULIÈRE D’UN REGISTRE DES ACHATS ET DES VENTES DÉPLAÎT
- LA MESURE EN VIGUEUR DÈS JANVIER 2015
par Malika Alami – leconomiste.com
Our definitive guide to Top 10 UK Summer Festivals and 25 of the Best International Festivals
Believe it or not, summer is fast approaching, so why not unplug your headphones, ditch your iPod and head outdoors to really experience the music you love. We’ve compiled a list of this year’s top festivals from the world and folk music scenes so take a look and make sure you fill your calendars.
You can read profiles on each of the festivals in our full festival guide in the upcoming special 100th issue (June 2014) – on sale April 25.
Here are the Songlines recommendations:
Royaume Uni :
Festivals internationaux classés par ordre alphabétique :
Mohamed Chakir Alaoui – le360.ma
Des unités des Forces armées royales (FAR), des Etats-Unis, de l’Allemagne, organisent des manoeuvres militaires au large d’Agadir dans le cadre de l’opération African Lion 2014.
13 partenaires africains et européens participent à ces manoeuvres, a indiqué un communiqué de l’ambassade des Etats-Unis au Maroc. « African Lion est un exercice combiné et conjoint (annuel) entre le royaume du Maroc et les Etats-Unis d’Amérique, comprenant environ 350 membres américains en service, 150 soldats des Forces armées royales marocaines, et du personnel supplémentaires en provenance des pays partenaires européens et africains », est-il indiqué.
Exercice opérationnel
« La deuxième brigade expéditionnaire des Marines est honorée de faire partie de l’exercice African Lion », a déclaré le général de brigade John K. Love, général de la 2e brigade expéditionnaire des Marines. « L’exercice African Lion a une longue histoire et il est très important pour la relation entre le Maroc et les Etats-Unis. Nous reconnaissons l’importance de l’exercice African Lion dans la poursuite de cette amitié et le partenariat entre nos deux nations ». « La différence entre cette édition de l’African Lion et les exercices précédents est que cet exercice est élevé au niveau opérationnel », a déclaré le général Love. « Cet exercice est un engagement qui comporte divers types de formations telles que des exercices dans l’aide humanitaire et les secours en cas de catastrophe, des opérations de stabilité, la formation sur les armes non létales, de tirs réels et des exercices de réponse aux crises ainsi qu’un atelier de renforcement des capacités de renseignements et un programme d’observation multi-nationale », précise-t-il.
Il a ouvert tout récemment à Tamraght :
C’est Khalid et son épouse qui vous y accueillent avec beaucoup de gentillesse :
Vous pouvez y prendre un petit déjeuner complet à partir de 8 H 30, y déguster un brunch ou y prendre un repas : au menu, salades marocaines, différentes omelettes, légumes grillés au poulet, tomates au thym, et toutes toutes sortes de crêpes au dessert. Si vous voulez manger sur la plage, pas de problème : on vous prépare tout pour emporter. Le soir, c’est ouvert jusqu’à 21 H. Pour les accros du smartphone, il y a même le Wifi !
Et, à l’intérieur, vous pourrez y trouver des petits objets d’artisanat, des souvenirs, cartes postales…
Très sympas, ces deux jeunes méritent de réussir !
Pour y aller : environ 150 m après le camping de Tamraght, sur la droite :
Hafsa Sakhi – lematin.ma
La 17ème édition aura lieu du 12 au 15 juin prochain à Essaouira et promet une programmation riche et variée.
Comme chaque année le prestigieux magazine britannique «Songlines Magazine» vient de publier son classement des 10 meilleurs festivals anglais et 25 mondiaux.
Dans ce cadre, le festival Gnaoua et Musiques du Monde d’Essaouira a été classé parmi les cinq meilleurs festivals internationaux pour 2014.
Une belle consécration pour cet évènement qui met en scène les grands Mâalemines (Maîtres) Gnaouas, depuis 1998, et qui a pour but de créer un métissage culturel et musical, en proposant une sélection d’artistes venus du monde entier pour mêler leur musique à celle des gnaouis.
Ainsi, cela fait 17 ans que le festival Gnaoua et Musiques du Monde accueille les des centaines de milliers de visiteurs dans toute la ville (ruelles, plages et places publiques) dans une ambiance où les rencontres musicales se renouvellent, se mélangent et se côtoient.
Enfin, notons que le festival des Musiques sacrées de Fès (du 13 juin au 21 juin 2014) et le festival Timitar d’Agadir (date non connue pour 2014) font aussi partie des 25 meilleurs festivals du classement international de Songlines Magazine.
Chers adhérentes et sympathisantes, nous vous annonçons notre soirée féminine annuelle qui aura lieu le samedi 05 avril 2014 prochain!
Les membres du Bureau Français du monde vous donnent donc rendez-vous le samedi 05 avril 2014 au Café del Mar à 20h00
Inscriptions 06.55.18.86.88, ou à l’adresse ou auprès des personnes suivantes : M. Rebecchini, M. Berrada, G. Etrillard,
Tarifs (comprenant entrée + plat + dessert + eau et ½ bouteille de vin) :
250.00 dhs pour adhérents et sympathisants Français du monde
300.00 dhs pour les autres
Une permanence pour l’achat des tickets aura lieu lundi 31/03 mardi 01 avril et mercredi 02 avril devant l’école Paul Gauguin Agadir a 12h00
Dans un souci d’organisation, aucune personne ne pourra se présenter à la soirée sans réservation et paiement préalables.
Venez nombreuses !
Un cocktail de bienvenue et une tombola vous seront offerts !
Un accueil chaleureux était réservé à nos gazelles gadiries pour leur retour après le magnifique rallye qu’elles ont réalisé.
Sympathique photo de famille :
Carolyne et Naïma avec Harite Gabarit :
Elles n’ont cessé de progresser dans leur classement tout au long du rallye, leur place est passée de 41 à 23 puis18, 15 pour terminer à une magnifique 14ème place !
La barrière est placée haut pour l’année prochaine !!!
Encore un grand bravo à vous deux.
Juste avant cet accueil réservé aux gazelles, avait lieu une course de kart sur cette piste toute entourée maintenant d’un beau gazon.
Et qui s’est classé 1er ?
C’est Khalid, le papa de Naïma !
Entre Khalid, Nadir et Naïma, nous avons une belle famille de champions dans les sports mécaniques !
Nous étions invités hier par Mohamed El Mokhtar Ghalib à visiter un ouvrage d’irrigation construit de 1938 à 1951 destiné à l’approvisionnement en eau de la ville de Taroudant : le drain de Freija.
Les drains :
Il en existe deux sortes: les traditionnels et les modernes. Les drains traditionnels sont nombreux dans le bassin de Souss, beaucoup d’entres eux tarissent par effondrement ou épuisement de la nappe et sont abandonnés. Ces drains ou « khettara » (ouvrage hydraulique qui permet le captage des eaux souterraines avec une galerie conductrice qui minimise les pertes par évaporation) ont en général un débits faible : un à quelques litres par seconde. Pour leur majorité, les khettara sont groupées dans la région d’Ouled Berrehil au nord et au sud des collines formant le pli d’Igouder, à Ouled Teïma, à Ouled Aïssa et surtout à Aoulouz. Parmi les drains modernes, on a surtout « Le drain des dunes » qui a longuement alimenté la ville d’Agadir en eau potable; et le drain de Freija dont la longueur totale dépasse 4 km, construit de 1939 à 1946 par les services des Travaux Publics dans le remplissage alluvionnaire d’un lit fossile au nord du lit actuel du Souss, son débit variait de 500 à 1200 l/s.
Le drain de Freija :
Le drain de Freija est dû à M. Philippe Ambroggi, une sommité de l’hydrogéologie du Maroc, qui fut ancien fonctionnaire auprès des Nations Unies, membre de l’Académie du Royaume du Maroc et conseiller de Sa Majesté le Roi Hassan II en matière d’eau et de géologie en général.
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Extrait du document « Relations entre les débits du drain de Freija et les crues de l’oued Souss de Robert Dijon (En 1968, Robert Dijon a achevé une thèse d’Etat sur l’hydrogéologie et l’inventaire des ressources en eau de la vallée du Souss. Il a minutieusement étudié les caractéristiques hydrogéologiques des aquifères de la plaine du Souss, le régime de la nappe phréatique, son hydrochimie etc… Son travail constitue une référence majeure pour les travaux relevant de l’hydrogéologie de la plaine du Souss).
RÉSUMÉ
Le drain de Freija mis en service en 1946 est disposé sous une terrasse basse du niveau 3-5 mètres de la rive droite de l’Oued Souss, à une dizaine de kilomètres en amont de la ville de Taroudannt, dont il irrigue les olivaies et les jardins (d’une superficie de 2.000 hectares environ).
C’est une «foggara» (au Maghreb et au Sahara, conduite d’irrigation souterraine) de construction moderne dont la longueur en souterrain est de l’ordre de deux kilomètres.
Son débit varie de 500 à 1300 litres par seconde environ, en rapport avec les crues qui se produisent dans le lit de l’Oued Souss.
La ville de Taroudannt, ancienne capitale du Sud Marocain est située à 80 kilomètres à l’Est d’Agadir. L’Oued Souss, principal fleuve de la région, étale son large lit deux kilomètres environ au Sud de Taroudannt. Ce lit, sec la majeure partie de l’année, connaît des crues parfois très violentes. Entre l’Oued et la ville s’étendent, sur une superficie de trois mille hectares environ, des olivaies et des jardins.
Ce périmètre était irrigué autrefois à partir de tranchées drainantes pratiquées dans le lit de l’Oued Souss, ouvrages provisoires au débit souvent faible et toujours irrégulier — qu’il fallait rétablir après chaque crue.
C’est pourquoi, en 1937, l’Administration des Travaux Publics établit un projet de drain moderne destiné à capter dans les alluvions du Souss, à l’amont de Taroudannt un débit de 2 m3/seconde.
La construction de l’ouvrage interrompue par la guerre, permit d’obtenir le tiers environ du débit escompté.
1. Historique
1.1. Travaux 1938-40
La première tranche du drain fut réalisée de 1938 à 1940.
A 10 kilomètres à l’Est de Taroudannt, sur la rive droite du Souss (lit majeur) la partie aval de l’ouvrage actuel, jusqu’au regard IV, fut construite, en fouilles ouvertes.
De l’aval vers l’amont :
– Le tracé restait au départ parallèle au cours de l’oued, et perpendiculaire aux courbes de niveau phréatique, jusqu’au regard III.
– Du regard I une première branche drainante s’orientait vers le Sud-est sous les alluvions et transversalement au lit de l’Oued Souss jusqu’au regard II situé sur la rive gauche; 700 mètres environ à l’Est du village de Freija.
– Du regard III une deuxième branche orientée perpendiculairement au canal du drain, c’est-à-dire vers le Nord, était enfin construite, jusqu’au regard IV.
La construction était ainsi terminée en janvier 1940 car il n’était pas possible de poursuivre l’ouvrage en fouille ouverte au delà du regard IV, et les moyens disponibles sur place à ce moment, ne permettaient pas de continuer en souterrain.
1.2. Travaux effectués en 1947-1951
Les jaugeages effectués dans le drain permirent d’établir que la majeure partie du débit de 500 à 600 1/sec. venait de la branche III-IV. En 1946 il fut donc décidé de prolonger l’ouvrage en travaux souterrains à partir du regard IV et de l’orienter de manière à recouper les courbes phréatiques à 45°; on espérait obtenir ainsi un débit de 1.000 1/sec.
La galerie put être prolongée jusqu’au regard IX grâce à l’exécution de puits filtrants et le pompage des eaux venant du front d’attaque; Mais l’exécution de sondages de reconnaissance dans l’alignement du tracé, jusqu’au douar Oulad mharza, permit de reconnaître (puits 690 et 691) l’existence de terrains imperméables. Il n’y avait donc pas lieu de poursuivre la galerie. Une campagne de géophysique par prospection électrique fut alors effectuée. Elle révéla l’existence, sous les terrasses de la rive droite, d’un lit alluvionnaire fossile, nettement distinct du lit alluvionnaire actuel, surélevé par rapport à celui-ci, et que la galerie n’était donc pas susceptible d’atteindre si elle était poursuivie dans la même direction.
Les sondages d’essai : 696 – actuellement aménagé en station de pompage des Aït Yazza (débit : 160 I/sec. pour 0,60 m de rabattement) -, 692 et 740, donnèrent de bons résultats.
La galerie fut donc poursuivie à partir du regard IX dans le lit fossile, jusqu’au regard XIII. Mais ces travaux longs et coûteux ne permirent pas d’augmenter notablement le débit du drain.
2. Description de l’ouvrage
2.1. Première tranche : 1938-40
Elle comprend :
– une tête morte à ciel ouvert, longue de 1.800 mètres de la sortie du drain à l’air libre jusqu’au partiteur.
– une galerie : longueur totale 2.965 mètres dont :
– branche principale de la sortie au regard III : longueur 1.510 m, direction 66°, étanche sur les 493 premiers mètres et drainante au delà;
– branche «d’oued» entre le regard I situé à 1.010 m en amont de la sortie et le regard II; longueur 847 m; direction 124″ Est;
– «branche amont» du regard III au regard IV : Longueur 608 m ; orientation : 14° Ouest.
Le revêtement est constitué d’anneaux circulaires en béton armé de 2 mètres de diamètre intérieur et de 0,50 m de longueur.
La pente du radier est de 0,2.10-3. Les débits pouvant circuler dans le drain sont donc de l’ordre de :
950 1/sec. pour 1 mètre d’eau,
600 1/sec. pour 0,80 mètre d’eau,
325 1/sec. pour 0,60 mètre d’eau,
150 1/sec. pour 0,40 mètre d’eau.
2.2. Deuxième tranche : 1947-51
– Du regard IV au regard IX le tracé long de 447 m, est orienté à 11° Est.
– Du regard IX au regard XIII le tracé est long de 800 mètres dans la direction 64° Est.
La pente du radier de l’ouvrage est uniforme : 0,5.10-3.
Le revêtement est formé d’éléments préfabriqués en béton armé : cunettes, et voussoirs longs de 0,40 m.
La hauteur intérieure de la clef est de 1,90 m : la largeur maximum de 1,30 m; la section utile de 1,85 m.
Dans son état actuel cet ouvrage est unique au Maroc par son développement ; son débit, de l’ordre de 600 1/sec., constitue l’écoulement pérenne de surface le plus important de la partie amont et moyenne de la vallée du Souss.
L’implantation de deux autres ouvrages analogues a été étudiée dans la région. Les travaux n’ont pas été entrepris en raison des conditions d’exécution moins favorables et du coût très élevé des travaux.
Assèchement du drain de Freija :
La baisse continue du niveau de la nappe du Souss en raison de la surexploitation par puits et forages et du déficit d’alimentation engendré par la succession d’années de sécheresse s’est traduite par l’assèchement progressif des résurgences, des sources et des Khettaras. Actuellement, la contribution de la nappe dans le débit de base de l’Oued Souss est négligeable alors qu’elle était importante durant la période 1950 – 1970. L’exemple du drain de Freija, qui s’est asséché depuis les années 80, illustre bien ce phénomène.
Le drain de Freija maintenant :
Situation de la tête morte (canal non drainant à l’air libre entre la sortie du drain souterrain et le répartiteur vers les séguias)
Vue de la sortie :
Quelques vues du canal (tête morte)
(L’eau vient des pluies de la veille)
Le répartiteur qui servait à alimenter 4 séguias :
Le départ des séguias :
Une des séguias qui est maintenant alimentée par de l’eau de pompage :
L’un des buts de la création du barrage d’Aoulouz situé en amont était d’alimenter artificiellement la nappe phréatique pour permettre de réutiliser ce drain, ce qui n’a pas été fait.
Malheureusement, cet ouvrage considérable qui a rendu des services énormes à la ville de Taroudant pendant de nombreuses années est maintenant laissé à l’abandon complet alors qu’il devrait faire partie du patrimoine hydrogéologique du Maroc.
Il serait encore temps de procéder à son nettoyage et à l’aménagement de ses abords pour en faire une promenade et un lieu attractif d’intérêt scientifique et historique.
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Nous avons également eu le plaisir, au cours de la journée, de visiter l’oliveraie de Mohamed El Mokhtar Ghalib qui compte de magnifiques spécimens de plus de 500 ans : là aussi, c’est un patrimoine qu’il y a lieu de conserver !
Nous avons jugé bon de vous le rappeler: l’heure légale au Maroc sera avancée de 60 minutes (GMT+1) ce dimanche à compter de 02 heures du matin.
Une décision qui fait suite à l’application du décret n° 2.13.781 du 28 septembre 2013 du ministère de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration.
Un décret qui stipule, rappelle-t-on, que l’heure légale au Maroc est avancée de soixante minutes à partir du dernier dimanche du mois de mars à 02h00, et sera retardée de 60 minutes le dernier dimanche du mois d’octobre, à partir de 03h00.
Rappelons que le mois du ramadan 2014 ne sera pas affecté par ce changement d’heure puisque le Maroc repassera à l’heure d’hiver le premier jour de ce mois, et repassera de nouveau à l’heure d’été à sa fin.
La section RANDO / MARCHE UFE d ‘ Agadir vous souhaite un excellent printemps bien que les escargots aient fait une timide apparition ce jour , ce n’est pas grave, le principal s’étant déroulé hier sur la plage de Tifnit autour d’un barbecue géant , d’une participation record et d’une ambiance inégalées !
Pour info , cette même section rando vient de boucler le grand tour du Haut et Moyen-Atlas en 9 jours , ( du 1 au 9 mars ) soient 2300 KM , dont voici les points forts :
Découverte ou retrouvailles pour certains , en visitant : l’or rouge de Taliouine, l’impressionnant ksar de Ait Ben Haddou , les gorges du Dadès – du Todghra – du Ziz, la palmeraie de Aoufouss, Er Rachidia, l’atelier de tissage des soeurs franciscaine à Midelt ( merci à Nicole ), la forêt de Cèdres à Azrou ( 2 nuits ), les sources de l’Oum-er-Rbia , Ain-Leuh, les parachutistes du para-club de Beni Mellal, le barrage et lac de Bin-el-Ouidane, Azilal, les cascades d ‘Ouzoud ( 2 nuits ) et ses 23 sources, la visite de la mosquée de Tin Bel ( XII° siècle ), le pont naturel d’Imi n’Ifri à Demnate, le col du Tizi-n-Test et le salaire de la peur en plongeant sur la plaine du Souss !
En remerciant au passage notre discret mais néanmoins actif chef de la section rando Jean-Pierre Hurtaut, tous les participants à cette aventure et ceux qui n’ont pu être du voyage cette année, faute de place…. logistique !
Après les opérations Dromadaire – Tizourgane – Naila – Djebel , je vous donne RDV pour la saison prochaine à l ‘expédition ? ? ? ? ? ? ? ?
Cricri.
A la dernière étape, Carolyne et Naïma se classent 17èmes
Et au classement général, elles remontent encore d’une place pour terminer 14èmes !
Bravo encore à toutes les deux : parties de la 41ème place à la première étape, elles ont progressé au fil de l’épreuve : 23èmes puis 18, 17,15 pour terminer 14èmes sur 137 au classement 4×4 et camions !
Cette fin de semaine, l’IFA aura l’honneur de recevoir 2 grands réalisateurs invités à participer au Festival International du Cinéma d’Animation de Meknès.
2 séances seront organisées pour découvrir des films d’animation et échanger avec les réalisateurs :
Vendredi 28 mars à 19h30 à l’IFA : Séance adulte avec la projection de Jasmine, en présence du réalisateur Alain Ughetto.
Synopsis:
Dans le Téhéran de Khomeiny, mystérieux et oppressant, dans le tumulte de l’Histoire, des êtres de pâte et de sang luttent comme bien d’autres pour l’amour et la liberté. Du frémissement de la pâte modelée, surgit la plus incroyable des histoires mêlant l’amour et la révolution : France, fin des années 70, Alain rencontre Jasmine, une Iranienne ; elle change le cours de sa vie.
Samedi 29 mars à 19h30 à l’IFA : Séance enfant et familiale avec la projection de l’Apprenti père Noel en présence du réalisateur Luc Vinciguerra.
Synopsis :
Le Père Noël ne veut pas prendre sa retraite, mais le règlement est formel : il doit se choisir un apprenti qui le remplacera. Sélectionné parmi des millions d’enfants, l’heureux élu devra s’appeler Nicolas, être orphelin et avoir le cœur pur.
De l’autre côté de la terre, un petit garçon répond parfaitement à ces critères, mais son manque de confiance en lui et son vertige font un piètre candidat.
Le Père Noël acceptera-t-il l’idée de passer la main et aider son apprenti à prendre sa place ?
Samedi 29 mars à 17h sur la corniche en face du mc Donald : Spectacle acrobatique Julot
Un mât érigé sur un carré de couleurs, des hula hoops en suspension sur des haubans…
Et voilà notre homme, à la démarche souple et élastique qui, dans un même déplacement d’énergie, va divaguer autour d’un mât, animer des cerceaux aux rythmes de son corps jouant gaiement sur les couleurs et la musique… jusqu’à se retrouver, de vertiges en ondulations… à neuf mètres de hauteur !
Pour plus d’informations, suivez-nous sur les réseaux sociaux :
Facebook: Institut français d’Agadir / https://www.facebook.com/institutfrancaisagadir
Allemagne : Le transporteur aérien allemand Air Berlin a annoncé le lancement prochain, d’une ligne direct sans escale, entre la ville allemande de Düsseldorf et la cité ocre marocaine de Marrakech.
Selon, le site spécialisé Travel Daily News, cette ligne aérienne nouvelle, qui sera desservie par un avion Airbus A320, sera opérationnelle à partir du 3 Novembre 2014, à raison de deux vols par semaine, les lundis et vendredis. Les vols de correspondances, sont disponibles à partir de Berlin, Hambourg, Munich, Stuttgart, Vienne en Autricheet Zurich en Suisse.
Par Ailleurs, airberlin, a indiqué, selon la même source, qu’elle mettra en place courant la saison d’hiver 2014, un vol supplémentaire hebdomadaire reliant Düsseldorf à Agadir. NIKI, la filiale autrichienne du groupe airberlin, lancera également de nouvelles lignes au départ de Vienne à destination d’Agadir, à partir de l’hiver prochain (voir communiqué ci-dessous).
A noter que Air Berlin, généralement désignée par airberlin ou airberlin.com, est la deuxième compagnie aérienne en Allemagne après Lufthansa.
Communiqué de Niki :.Ladies and Gentlemen,We are proud and happy to announce that NIKI will start operating two new weekly flights between Vienna and Agadir in October:HG 3734/5 VIE-AGA-VIEweekdays of operation 1 & 3/4start of operation: 1st October 2014The flights perfectly fit into the hub structure that NIKI has in Vienna with connections to destinations in Germany, Switzerland and the rest of Europe in both directions.For further information on flight times and connections please see the attached press release.So, we wanted to take this opportunity to thank you once again for welcoming us in Agadir and for providing all the valuable information and data that you have shared with us.With this information at hand, we were able to put together a convincing business case and open a new route out of VIE.We want to encourage you to share the great news about the new flights and to help us to make this new NIKI destination a success!Best regards,Andreas Gruber (NIKI) & Daniel Maier (airberlin)Daniel MaierSenior Manager Alliance DevelopmentAlliances & Cooperation –Air Berlin PLC & Co. Luftverkehrs KGSaatwinkler Damm 42-4313627 BerlinAirberlin group | member of oneworld®T: +49 (0)30 3434 2028F: +49 (0)30 3434 2039Become a fan on facebook: facebook.com/airberlinDon’t miss out on any offers: airberlin.com/newsletterAndreas Gruber, MASenior Manager Network Planning & Development
NIKI Luftfahrt GmbH
Office Park I, Top B03
1300 Wien Flughafen
FB: FN 230533W
Handelsgericht Wien
MAP – lnt.ma
La circulation autoroutière au Maroc a connu une croissance de plus de 5,4 % sur l’ensemble du réseau en 2013, indique le ministère de l’Equipement, du transport et de la logistique.
Les recettes de péage ont crû de 7 % pour s’établir à 2,27 milliards de dirhams (MMDH), selon un communiqué publié au terme de la réunion, mercredi, du conseil d’administration de la Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM), sous la présidence du ministre de l’Equipement, du transport et de la logistique, Aziz Rebbah.
Cette augmentation, a expliqué la même source, est due principalement à la croissance qu’a connue le trafic sur les sections autoroutières du contournement de Casablanca, Casablanca-El Jadida et Berrechid-Agadir.
En termes de développement du réseau, l’année 2013 a été marquée par le lancement officiel des travaux de construction de l’autoroute Safi- El Jadida par SM le Roi Mohammed VI, le 21 avril 2013, et la tenue de la conférence régionale “Afrique du Nord/Méditerranée” à Marrakech, les 19 et 20 mars 2013, à l’initiative de la Fédération routière internationale (IRF) en partenariat avec l’ADM et l’Association marocaine des routes, rappelle la même source.
Le total bilan, quant à lui, est passé de 45,9 millions de dirhams (MDH) en 2012 à 46,7 MDH en 2013, soit une augmentation de 2 %, note le communiqué, ajoutant que cette hausse est due essentiellement aux investissements liés à la réalisation des tronçons autoroutiers Berrechid- Beni Mellal, El Jadida- Safi, contournement de Rabat et à l’élargissement à trois voies de l’autoroute Casablanca- Rabat.
L’exercice 2013 a dégagé un excédent brut d’exploitation de 1,6 MMDH et le résultat financier s’est soldé par un déficit de 762 MDH contre 640 MDH en 2012, a fait savoir la même source, notant que cette baisse du résultat financier s’explique essentiellement par l’importance des charges d’intérêts des prêts contractés par l’ADM pour le développement du réseau autoroutier et qui excèdent 1,44 MMDH en 2013 contre 1,296 MMDH en 2012.
Pour ce qui est du résultat net de l’ADM au titre de l’exercice 2013, il s’est soldé par une perte de près de 149 MDH contre 179 MDH en 2012 du fait de l’amélioration du résultat d’exploitation.
S’agissant des comptes consolidés de l’ADM, ils ont été également traités et présentés selon les normes IAS/IFRS, s’établissant à 45,4 MMDH.
Yassine SABER – leseco.ma
Le projet de l’agropole Souss-Massa-Drâa sera introduit au parc Haliopolis. La 1rephase du projet mobilisera 31 ha brut dont 23 ha cessibles. Des arrangements seront faits pour arriver à un coût raisonnable permettant la commercialisation du projet à un prix abordable.
L’agropôle de la région du Souss-Massa-Drâa sera intégrée en fin de compte au parc Haliopolis d’Agadir. C’est du moins le scénario avancé par Medz, filiale de CDG développement, lors de la réunion du comité de pilotage tenue ce mardi à la wilaya pour la réalisation de ce projet tant attendu par les professionnels de la région du Souss-Massa-Drâa. Au moment où les travaux de la valorisation du parc Haliopolis situé dans la commune de Drarga sont toujours en attente, vu que 14 acquéreurs sur 47 ont déjà déposé leurs autorisations de construire auprès des services concernés, l’agropole, quant à elle, traîne toujours le pas depuis la révision de l’étude de dimensionnement et de positionnement pour la mise en place de ce projet, prévu en deux sites, l’un dans la province de Chtouka Aït Baha et l’autre à Taroudant. À cet égard, l’agropole sera réalisée selon le scénario avancé sur 50 hectares au parc Haliopolis, tandis que la 1re phase dudit projet mobilisera 31 ha brut, dont 23 ha cessibles. De l’avis de plusieurs intervenants, cette décision intervient en effet après l’avis défavorable émis par les eaux et forêts à l’égard de la cession de la parcelle domaniale identifiée à Chtouka Aït Baha, ce qui retardera davantage la réalisation de ce projet. De surcroît, le peu d’engouement exprimé pour la seconde tranche en comparaison avec la précédente a poussé les intervenants à intégrer l’agropole dans une partie réservée au parc Haliopolis, pour sortir ce projet de terre. En chiffres, depuis le déroulement des commissions d’attribution du parc Haliopolis, près de 168 demandes d’affectation ont été reçues, dont 87 ont été examinées favorablement et 47 octroyées (dont 5 sur la 2e tranche) avec un taux de rejet de 12%, ce qui générera un investissement prévisionnel d’1MMDH et la création de 3.884 emplois. S’agissant du coût du foncier au parc Haliopolis, il est jugé élevé en comparaison avec le prix de vente prévu en faveur des futurs acquéreurs de l’agropole (entre 300 et 400 contre 600 DH/m² au parc Haliopolis). C’est pourquoi des arrangements seront faits afin d’arriver à un coût raisonnable permettant de commercialiser le projet à un prix abordable et attractif, en faveur des professionnels. Toutefois, le projet du parc Haliopolis a été confronté à de sérieuses difficultés.
Il s’agit essentiellement du déblocage de la subvention de l’Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) et de celle du Conseil régional du Souss-Massa-Drâa, respectivement de 59 MDH et 12 MDH. Sur ce dernier point, il faut signaler que pour permettre le raccordement du projet au «hors site» et desservir les premiers industriels en eau et en électricité, le déblocage de la totalité de ces subventions est nécessaire, alors que les factures en souffrance relatives au «hors site» s’élèvent à 85MDH. De ce fait, la société mixte Halioplis SA, gérée par Medz, filiale de CDG développement est toujours en attente du déblocage de ces subventions, après leur report à maintes reprises depuis plus de 2 années. Aujourd’hui, le Conseil régional du Souss-Massa-Drâa s’est engagé à débloquer sa subvention, tandis que celle du gouvernement est toujours en suspens. Pour ce qui est des autorisations de construire pour la valorisation des lots industriels, l’Agence urbaine a émis un avis défavorable pour les activités de support, entre autres, la menuiserie inox ou aluminium, le froid, la climatisation, l’emballage métallique et les caisses en plastique, autorisées par la commission d’attribution des lots, et exige de ce fait de l’acquéreur la modification de l’intitulé de son activité pour se conformer à la: «transformation des produits de mer». Par conséquent, la RASMA exige la justification du respect des limites des rejets liquides, ainsi que de prévoir une station de traitement desdits rejets. Pourtant, les activités support ne comportent pas de rejets liquides. L’autre point et non des moindres est la libération du foncier, notamment de la parcelle domaniale occupée par une exploitation agricole, qui concerne la 3e tranche du projet. L’expertise qualitative de cette occupation a déjà été effectuée par la commission. Reste actuellement à négocier avec l’occupant l’éviction de cette occupation, sachant bien qu’une action en justice menée par les Domaines est en cours à l’encontre de cet occupant sans droit ni titre.
MAP – lematin.ma
Le bureau de l’Unesco à Rabat organise en collaboration avec le ministère de la Culture, à Agadir, une session de formation sur la mise en œuvre de la convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le territoire national.
Les travaux d’une session de formation, sur la mise en œuvre de la convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, ont démarré, mercredi à Agadir, à l’initiative du bureau de l’Unesco à Rabat, en collaboration avec le ministère de la Culture.
Cette session, qui se poursuivra jusqu’au 30 mars avec pour objectif de renforcer les compétences nationales en matière de sauvegarde du patrimoine culturel national immatériel, est marquée par la participation des représentants de plusieurs départements gouvernementaux, services centraux et extérieurs du ministère et ses établissements de recherche scientifique, d’enseignants et étudiants de l’Université Ibn Zohr d’Agadir, ainsi que de plusieurs associations de la société civile concernées.
Sanae Allam du bureau de l’Unesco à Rabat a souligné, dans une déclaration à la MAP, que cette session s’inscrit dans le cadre d’un programme plus vaste financé par la Norvège à travers le fonds du patrimoine immatériel.
Ce programme, a-t-elle dit, vise à soutenir le Maroc en matière de renforcement de ses compétences nationales dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine culturel matériel et immatériel, particulièrement au vu de la richesse et de la diversité que renferme le Royaume.
Ce séminaire est, également, dédié à consolider les compétences des participants dans la perspective d’élaborer un plan d’action commun visant à inventorier, archiver, enregistrer et à réhabiliter ce volet important et riche du patrimoine national.
La Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a été adoptée par l’assemblée générale de l’Unesco le 17 octobre 2003.
La Convention engage les Etats parties à prendre les mesures nécessaires pour assurer la sauvegarde de leur patrimoine culturel immatériel, et pour promouvoir la coopération aux niveaux régional et international en la matière.
Jeudi dernier avait lieu à Taalat le Moussem des hommes et aujourd’hui, le Moussem des femmes qui viennent de tout le Maroc rendre hommage à Fatima benti Mohamed (une sainte femme de Talaat) et, seules les femmes ont accès au mausolée où elle repose.
C’est l’occasion d’une énorme foire commerciale dans toutes les rues de Taalat :
toutes les attractions habituelles sont de la fête :
Les belles broderies sont de sortie :
Et quelques commerçants attendent sans trop d’impatience les clients !
Ajar et Asma, les filles de Saadia et M’Bareke (d’Imchguiguilne) étaient là avec leur maman :
Déjeuner, un très bon tajine pris assis sur les nattes, comme tout le monde,
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Au retour, nous en avons profité pour aller voir un ancien village malheureusement en ruines : Iferiaden :
et ensuite, deux igoudar, dans lesquels nous n’avons pas pu entrer, les responsables étant partis, eux aussi, au moussem de Taalat :
l’Agadir de Aït Ighjil,
et, plus près des Aït Baha, l’agadir Imaizen Tasguedelt dont une partie d’un mur s’est écroulé assez récemment :
Le trajet depuis Biougra, avec les indications des endroits visités :
Pour la 5ème étape, voici le classement de nos Gazelles d’Agadir : 20 èmes !
Elles sont bien arrivées ce soir à l’issue de la dernière étape, mais on ne connaîtra leur place et le classement général final que demain.
Dernière ligne droite, dernier préparatif… Après 8 jours ce sera la dernière fois que les équipages franchiront la ligne de départ. Une étape assez courte et sans difficulté particulière mais pas sans intérêt car sur les deux dernières éditions le podium s’est toujours décidé la dernière journée.
Les caps seront ici plus courts mais les reliefs aussi plus nombreux. On alterne entre grandes plaines, vallées encaissées et passages de pilotage technique. Pas forcément de problème de temps aujourd’hui alors les meilleures devraient en profiter pour avancer avec prudence et précision… car chaque kilomètre perdu sera précieux.
En fin de journée c’est la montagne du guerrier sumérien qui sera gardien du dernier CP. Sa flèche dressée au milieu du massif du « grand M’daouer » sera une consécration pour les Gazelles. Un but à tant de galère, tant d’effort, tant d’égarement. Mais un but à tant de bonheur et de satisfaction…
Un dernier azimut pour rejoindre le bivouac et savourer la fierté de franchir la ligne d’arrivée.
Une dernière nuit de fête au bivouac puis en route pour le monde réel … Mais ça, c’est une autre histoire.
» Une secrète mélancolie s’attache aux choses qui meurent quand on les a beaucoup aimées. Bien sûr, il faut savoir refermer la parenthèse, accepter de se voir relayer, savoir, sur la pointe des pieds, discrètement disparaître dans les coulisses. «
Depuis la sortie du tube Happy, avec un clip qui dure 24 heures où des gens dansent dans la rue, des fans des quatre coins du globe ont repris la vidéo à leur sauce. Ils se filment en train de danser dans les rues de leurs villes. Agadir n’échappe pas à la règle, des jeunes ont sorti leurs caméras pour se filmer en dansant sur le rythme de la chanson.
Quelques-unes de ces vidéos tournées à Agadir :