Crocoparc Agadir , le premier parc aux crocodiles du Maroc
ouvre au public Dimanche 31 Mai à 10 Heures.
Plus de 300 crocodiles vous y attendent !
Le 20 mai 2015, le lycée français d’Agadir, un établissement OSUI, a présenté le travail de ses élèves dans le cadre d’un projet d’interprétation des sites et monuments d’Agadir encadré par Mme Tassain-Aboutayeb. Ledit projet avait été réalisé dans le cadre d’une collaboration avec le Conseil Régional du Tourisme d’Agadir Souss Massa Drâa (CRT) d’où son caractère innovant puisqu’il s’agit d’une démarche participative dans le développement touristique de la destination. En effet, les jeunes de la ville ont élaboré une interprétation touristique en français et en anglais pour certains sites et monuments touristiques de la ville via des outils numériques.
Les trois élèves qui ont brillamment présenté ce projet :
Plusieurs représentants des organismes et institutions publiques et privées, du CRT, de la wilaya, de la Commune urbaine, Association des agences de voyages d’Agadir, des professionnels du tourisme étaient présents. Le Consul général de France à Agadir, M. Marc Peltot et son épouse ont également assisté à l’événement.
La destination d’Agadir est certes la première destination touristique balnéaire du Royaume avec une prédominance du tourisme international (80% des nuitées en hôtels classés sont enregistrées par le tourisme international). Toutefois, la Agadir souffre notamment du manque de valorisation patrimoniale et d’animation touristique (information et interprétation touristique).
Les élèves ont donc tenté de répondre à cette problématique via l’Etourisme : l’utilisation d’outils numériques pour la valorisation touristique. Les visiteurs peuvent ainsi découvrir la ville d’Agadir autrement, avec leur smartphone d’une manière originale et ludique.
Les élèves ont présenté un travail approfondi et rigoureux sur la ville d’Agadir. Ils ont, tout d’abord, créé un site internet (www.agadirmonuments.com) afin que les internautes aient une interprétation en ligne, en français et en anglais des sites et monuments de la ville. Ils ont également préparé des codes QR qui pourraient être affichés sur chaque monument. Les visiteurs pourraient ensuite scanner ces codes afin d’obtenir l’interprétation du site en question en français et en anglais.
Ils ont également utilisé une application de réalité augmentée « Aurasma » pour l’interprétation de deux monuments de la ville à savoir : Agadir Oufella et le mur du souvenir. Il suffit, pour les visiteurs, de télécharger gratuitement l’application et de suivre le compte « Agadir ». Ensuite, les visiteurs scannent le monument à l’aide de l’application et des icones s’affichent en superposition de l’écran afin de proposer une interprétation via une vidéo ou des textes. Par exemple, pour le mur du souvenir, ils ont mis une vidéo du discours de Sa Majesté le Roi Mohamed V, vidéo dont les élèves ont fait les traductions en français et en anglais.
Deux copies d’écran de l’application Aurasma (téléchargeable gratuitement sur Google Play Store pour Android et sur App Store pour Apple)
Ce genre d’initiative est très louable de la part de la nouvelle génération qui maîtrise parfaitement les technologies de l’information et de la communication. Le projet est à la fois créatif, innovant et ouvre sur des perspectives concrètes pour la valorisation touristique d’Agadir. Il a permis aux nouvelles générations de participer au développement local, de mettre en avant leur identité gadirie et de découvrir une nouvelle perspective de leur patrimoine et au devoir de mémoire qui y est intimement liée.
Vidéo de présentation :
Il manque maintenant très peu de choses pour finaliser ce projet innovant qui serait si utile à la Ville d’Agadir et ce peu de choses ne coûterait rien : il suffit de la part des autorités de donner les autorisations d’apposer des QR-codes discrets sur ou à proximité immédiate des monuments ou sites choisis pour qu’il soit pleinement opérationnel. Il faut espérer que l’occasion sera saisie rapidement !
C’est Guy Magotte et Sandrine Saliba qui tiennent une très agréable Maison d’hôtes tout près de Taroudant le « Riad Jardin des Orangers » qui nous ont fait découvrir ce petit paradis à environ 75 km du riad.
Pour situer les lieux, deux cartes :
et pour y aller : depuis Taroudant, rejoindre la route qui va vers Tioute (la R109), arrivés à l’embranchement de Tioute, ne pas prendre à droite mais continuer tout droit vers Igherm. 5 km après un douar nommé Wawfangha, prendre la route à gauche, direction Souk Tlat Nihit. passer ce village et continuer jusqu’au bout de la route goudronnée. Là, vous trouverez un chemin en béton qui vous amènera après une belle descente directement à Ida Oulimit.
Quelques photos de cette magnifique balade :
La moisson a été faite et, dans les villages, les aires de battage ont été nettoyées et préparées
Et justement, en traversant un douar, nous sommes en plein dans une scène de battage traditionnel :
12 ânes participent au travail :
Il faut chaud (très chaud), les femmes sont fatiguées et Sandrine leur donne un petit coup de main :
Une belle porte en passant à Nihit :
Nous entrons
dans un coin de la cour, la cuisine avec le tafarnout
et la cuisinière à bois
Nous arrivons à Ida Oulimit : quelle merveille !
Là aussi, sur la place du village, c’est le battage :
Zineb, une belle petite jeune-fille assiste au spectacle :
Nous laissons là la voiture et nous descendons au fond de la vallée :
Après le déjeuner sur l’herbe (non, sur le rocher), c’est le retour :
Arrivés sur la place, le battage n’est pas terminé : il faut maintenant séparer le grain de la paille :
Pour le retour, nous ne prenons pas la route directe Erfoud – Tinejdad, mais nous décidons de prendre par Errachidia et Goulmima pour rejoindre ensuite Tinejdad : environ 70 km supplémentaires, mais on n’est pas à ça près (!!!) et nous pourrons ainsi découvrir la vallée du Ziz :
La vallée du Ziz : une très belle vallée dans laquelle la palmeraie s’étend sur plus de 70 km !
Casse-croûte après Kelaat M’Gouna où le festival des roses se termine
Passage à Ouarzazate avec ses larges avenues et ses studios de cinéma :
Il fait beau ce matin encore et nous partons avec notre voiture vers Taouz au sud, au bout de la route goudronnée :
Après quelques kilomètres, on quitte les paysages de dunes pour les paysages de pierre
Dans le village, nous rencontrons Mohamed qui nous propose de nous accompagner pour nous montrer ce qu’il y a dans le coin.
Première étape, les gravures rupestres, à quelques kilomètres de Taouz :
Et, juste à côté, des tumulus de pierre, vestiges de « maisons » préhistoriques qui se sont écroulées. Il en reste pourtant une en assez bon état :
Mohamed veut ensuite nous faire découvrir l’ancien village de Taouz construit en pisé et maintenant en ruines :
C’était la maison de ses grands-parents :
Mohamed semble en incantation devant ces ruines :
Il y a des tas de choses à voir dans la région ! Mohamed nous emmène ensuite voir un artisan qui travaille sur les fossiles : Ahmed, de la famille de Saïd, cousin de notre ami Harite Gabarit :
Le voici au travail :
Les pierres sont d’abord coupées en deux :
Après le thé, Ahmed nous emmène voir ses réserves :
Une vraie caverne d’Ali Baba !
des pierres polies, des sculptures…
Si vous allez vers Taouz, allez découvrir son travail !
Nous re-déposons alors Mohamed près de chez lui à Taouz et repartons vers Merzouga.
La journée d’hier nous a laissé un peu de frustration : avec le vent de sable, nous n’avons pas pu voir les lacs dans des conditions normales :
Nous allons donc voir le lac de Merzouga et faisons les 3/4 du tour du lac :
et des flamants roses très loin, au milieu du lac :
Direction l’autre lac, celui de Yasmina :
La très belle auberge Yasmina, en bordure du lac :
Le lac est plus petit que celui de Merzouga, mais plus beau, avec les dunes qui plongent directement dans l’eau :
Au retour, nous faisons une halte près du barrage de Beida :
Il fait chaud (46°) et les dromadaires apprécient un bon bain :
Il est temps de rentrer à l’hôtel où nous arrivons après un ensablement !!!
A suivre…
Photos M. Terrier
Mardi matin, il fait très beau
Nous insistons pour effectuer tôt la promenade en dromadaire assez longue que nous avions prévue.
Un 4X4 vient nous chercher pour nous emmener
Aie ! après quelques kilomètres : panne ! heureusement le pilote connaît bien sa machine et en 2 minutes, le problème est réglé.
On se promène quelques minutes pendant la préparation de nos montures.
Non, Nicole, pas aujourd’hui, il fait trop chaud !
Là, c’est plus de circonstance et on ne regrettera pas d’avoir mis un chèche, la suite le prouvera !
Au bout de quelques minutes, un terrible vent de sable se lève : on n’y voit pas à 20 m !
Après avoir mangé, nous attendons un autre 4X4 pour effectuer le tour de l’erg Chebbi.
Une longue promenade pendant laquelle nous avons pu constater les difficultés qu’endurent les nomades qui vivent là-bas !
Arrivée à proximité de l’Auberge Yasmina,
Là, surprise : un grand lac en plein désert : Non, ce n’est pas un mirage ! C’est le lac Yasmina, un grand lac naturel alimenté par les eaux de pluie et des oueds qui convergent vers lui
Arrivée à Tissadmine : c’est de là que viennent beaucoup des objets de décoration, salle de bains… dans lesquels on trouve ammonites, trilobites et belemnites.
La visite continue, toujours dans la tempête de sable
Malgré les apparences, il y a beaucoup d’eau dans la région : il suffit de creuser 3 ou 4 m pour en trouver et de nombreux abreuvoirs sont disponibles pour le bétail :
Quelques khaïmas sont dispersées ça et là :
et toujours prêtes à vous accueillir pour un thé.
Nicole s’est fait une copine :
Cette jeune femme nomade vit toute seule dans sa khaïma depuis que son mari est parti avec une autre. Elle assume seule tous les travaux habituels plus le gardiennage des bêtes…
Nous arrivons à Mifis où nous découvrons des mines de barytine en exploitation (la barytine contient de la baryte, et du plomb…)
L’ancienne ville de Mifis, aujourd’hui abandonnée, avec son souk :
Là, sur la hauteur, il est difficile de tenir debout tant le vent souffle fort :
Le nouveau village de Mifis est occupé par des Gnaouas, descendants d’anciens esclaves noirs d’origine subsaharienne qui ont conservé leurs coutumes, leurs chants qu’on m’a dit être plus traditionnels que chez les Gnaouas d’Essaouira.
Un bon petit moment avec eux pour les écouter et oublier le vent qui souffle dehors.
et nous repartons pour trouver à quelques kilomètres de là un autre lac, encore plus grand que le lac d’Yasmina vu en début d’après-midi :
au moins 5 kilomètres de long ! Surprenant et inattendu ici !
A suivre …
Photos M. Terrier
Récit-photo de la première journée : Agadir – Merzouga
Départ tôt d’Agadir le 4 mai sous le brouillard jusqu’à Aoulouz. Passage par Taliouine puis Tazenaght
Après Tazenaght, direction Ouarzazate
Au moment du casse-croûte, rencontre inattendue…
Arrivée à Erfoud où nous découvrons les Khettaras
Les Khettaras (Foggaras en Algérie) constituent un système d’irrigation né il y a plus de 3000 ans en Perse et elles auraient été introduites au Maroc par les arabes lors de leur conquête du Maghreb ; mais, plusieurs écrits historiques affirment que ce système est une pure création des habitants de l’Afrique du Nord « Imazighen » (Malika Hached – Les premiers Berbères)
La khettara est une galerie drainante qui amène l’eau de la nappe phréatique à la surface du sol, par gravité. La sortie de la Khettara se situe toujours au village (vu la maîtrise du nivellement). La conduite souterraine est accompagnée sur le sol par des puits d’aération qui servent aussi de points d’épuration.
La khettara est composée:
Dans le cas de celle que nous avons vue à Erfoud, la profondeur maximum des puits du côté de la montagne est de 50 m et la longueur de la galerie souterraine de 45 km.
Il y a 3 réseaux parallèles : le premier pour les nomades, le second pour les berbères et le troisième pour les arabes.
Bachir nous a fait visiter l’intérieur, en descendant à l’intérieur de la khettara
La galerie souterraine où circulait l’eau. Malheureusement les sources à l’amont sont taries depuis 2006.
C’est par le panier suspendu à cette corde que la terre était remontée à la surface au moment du creusement de la khettara avec pioche et pelle, au rythme de 1,50 à 2 m par jour.
On reprend ensuite la route qui passe par Sijilmassa, Rissani, Hassilabied puis arrivée à Merzouga
Premier contact (visuel) avec les dunes de sable
Arrivée au Riad Merzouga où une bonne nuit sera la bienvenue !
A suivre…
Photos M. Terrier
Beaucoup de monde hier pour visiter l’agadir d’Ikounka : une cinquantaine de personnes venaient de Dyar Shemsi pour découvrir ce grenier fortifié.
Depuis qu’il n’est plus possible de visiter l’agadir d’Imchguiguilne (la situation là-bas est toujours bloquée) ceux qui veulent découvrir un grenier fortifié viennent voir celui d’Ikounka
qui est très facilement accessible, quelques kilomètres (2 ou 3) avant Imchguiguilne.
M’Bareke d’Imchguiguilne était là, venu en voisin et en assistant du guide (en bas à droite de la photo ci-dessus)
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quelques restaurations ont été faites, mais il en reste beaucoup à faire.
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Cette tour a été heureusement restaurée à temps pour ne pas disparaître, même s’il aurait été possible de faire un peu mieux.
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Voici dans que état elle se trouvait quand nous l’avions découverte en 2011
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Tout le monde s’est ensuite retrouvé chez M’Bareke et Saadia à Imchguiguilne pour déguster tajines, couscous, pâtisseries marocaines… délicieux…!!!
Lien vers l’article « Musée de Tazouda ou comment les dinosaures sortent de l’anonymat un patelin perdu du Haut Atlas » de Saïd Afoulous (lopinion.ma) qui a paru dans ce blog :
Je remercie M. jacques Gandini pour la mise au point que vous pouvez trouver ci-dessous.
Pour rappel, les différentes éditions des guides Gandini « Pistes du Maroc » et « Pistes du Maroc à travers l’histoire » constituent une « bible » pour ceux qui veulent visiter le sud marocain en sortant des sentiers battus.
Voici le texte de son mail :
Bonjour
Dans vos pages : Musée de Tazouda ou comment les dinosaures sortent de l’anonymat un patelin perdu du Haut Atlas
L’article de Saïd Afoulous (lopinion.ma) a attiré l’attention de M. Brahim Boukayoud, tenancier d’un gîte à Imi n’Oulaoune qui reçoit des randonneurs à pied en 4×4. Il m’a demandé d’intervenir auprès de vous pour rétablir la vérité si c’est possible.
Extrait :« Malgré ses kasbahs, ses gorges, grottes et cascades, la commune rurale d’Imi N’Oulaoune ne figure sur aucun circuit touristique », note-t-on dans le Rapport de diagnostic participatif de la commune en 2009. Les choses ne semblent pas avoir changé d’un iota depuis.Ce journaliste n’est pas très au fait de ce qui se passe dans l’Atlas marocain. Il reprend des affirmations qui sont fausses, sans se donner la peine de les vérifier.
Mon guide 4×4 Pistes du Maroc à travers l’histoire, dont le tome 1, paru en 2006 (500 pages), fait l’inventaire des possibilités de randonnées en véhicules tout-terrain dans la région, et propose deux parcours qui passent par Imi n’Oulaoun, en citant le gîte d’étape classé de Brahim Boukayoud.
A noter que s’il y a un gîte depuis 1993, c’est bien que des touristes passent par ce village…
Pour information, voici ci-joint le descriptif de deux de mes parcours dans le guide qui passent par Imi n’Oulaoun.
Merci pour votre attention.
Bien cordialement
Jacques Gandini
Q4. Toundoute – Tazouda – Aguerd – Amezri
Feuilles Skoura & Qualat M’Gouna
Km 0. 31°16,37’N – 06°35,17’W. Toundoute. Par la route remontée de la vallée de l’oued Tabia en laissant à droite le village d’Aguerd n’Ouzrou, à ne pas confondre avec le suivant.
Km 3,2. 31°17’N – 06°34,50’W. Tazouda. Musée des dinosaures
Km 5,2. 31°17,79’N – 06°33,59’W. Oued Tabia.
Visite à la mine de sel.
Km 0. 31°17,79’N – 06°33,59’W. Oued Tabia. Prendre la piste sur la rive gauche (lauriers roses) qui contourne la vallée et ses jardins. Garder la piste par la gauche.
Km 1,1. 31°17,21’N – 06°33,47’W. Aguerd n’Ouzrou. Prendre piste qui monte à gauche.
Km 1,8. 31°16,98’N – 06°33,18’W. 1752 mètres. Ifri n’Tissant (la grotte du sel). Premier puits de mine descendant à – 10 mètres et plus. Cristallisation de sel et chauves-souris. Descente possible avec chaussures adéquates. La zone d’exploitation s’étend ensuite le long de la piste sur quelques centaines de mètres. Beaucoup de puits de mines et de salles d’excavation sont effondrés. Attention en bordure des trous. Demi-tour, retour au km 5,2.
Km 10. 31°18,66’N – 06°30,90’W. Petit col (1664 m)
Km 10,5. 31°18,68’N – 06°30,59’W. Aguerd. Départ du parcours Q6.
Continuer cap au Nord en bordure de l’assif Assaka n’Aït Affan.
Km 14,5. 31°20,13’N – 06°29,94’W. Fin de la route.
Km 16. 31°20,58’N – 06°29,53’W. Garder la piste de gauche qui va circuler en surplomb de l’oued. Passer le village d’Ifrane.
Km 20,5. 31°22,49’N – 06°30,22’W. Jonction avec l’arrivée du parcours Q6 par Imi n’Oulaoun, village sur la rive opposée avec un gîte d’étape classé, en surplomb de l’oued. La piste entame son ascension en bordure de l’assif Ghalb, affluent de l’assif Assaka n’Aït Affan, vers les villages d’altitude au pied de l’assif n’Tiferdane en face du jebel Hyiyane.
Km 25,5. 31°23,68’N – 06°31,52’W. Point-panorama.
Km 29,5. 31°24,65’N – 06°32,70’W. Tamzrit.
Km 31. 31°24,75’N – 06°33,23’W. Point-panorama sur la haute vallée et ses Azibs.
Ancien marabout de Sidi Ali en contrebas, à l’architecture particulière.
Km 32,5. 31°24,72’N – 06°33,90’W. Altitude 2320 mètres. Vue sur la piste montant au col.
Km 34,7. 31°24,75’N – 06°35,05’W. Halte bain de pieds dans petit torrent.
Km 37. 31°24,82’N – 06°35,58’W. Altitude 2620 mètres, panorama sur l’aval de la vallée.
Km 38,5. 31°24,90’N – 06°36’W. Dans le jebel Tizoula, tizi n’Oulaoun, 2810 mètres au GPS, 2787 mètres sur les cartes. Début d’une descente d’enfer…
Km 40,5. 31°25,30’N – 06°36,27’W. Panorama sur l’assif n’Idmamene et ses carrés de cultures de céréales, sur fond de terre rouge. Nombreuses sources près de la piste.
Km 41,2. 31°25,68’N – 06°36,15’W. Départ à droite d’une récente et bonne piste de 6 km pour rejoindre directement le village de Tessaout n’Oufella (Tessaout d’en haut) d’où une piste rejoint Amezri.
Km 41,7. 31°25,80’N – 06°36,30’W. Bon endroit de bivouac, gazon à terrain de golf, source.
Km 44,5. 31°26,70’N – 06°36,85’W. Bordure des falaises dominant l’assif n’Bou Ilghmane, façon Grand Canyon à petite échelle (impressionnant). Vue sur la vallée de la haute Tessaout et le village d’Amezri.
Km 45,8. 31°26,95’N – 06°37,50’W. Après avoir traversé le gué de la Tessaout, en haut de la montée, arrivée à Amezri. Jonction avec le parcours F9 (Toufghine – Amezri).
Q5. La boucle des vallées perdues
Feuilles Skoura & Qalaa’t Mgouna
Cette boucle d’une soixantaine de kilomètres, départ et arrivée à Aguerd. (parcours Q4)
Km 0. 31°18,60’N – 06°30,70’W. 1670 m. Aguerd. Prendre la route qui descend dans l’oued Aghouzi, dominé au Sud par la chaîne du jebel Tadaout (1934 m).
Km 11. 31°18,71’N – 06°24,74’W. 1870 m. Suivre par la gauche, cap Nord, pour quitter R2.
Km 13. 31°19,70’N – 06°25,10’W. Jonction avec une piste arrivant de droite, cap Nord.
Km 15,5. 31°20,86’N – 06°25,72’W. 1918 m. Croisement d’une piste Est-Ouest.
Km 18,4. 31°22’N – 06°26’W. 2160 m. Tizi Kantola.
Km 20,2. 31°22,59’N – 06°25,96’W. 2004 m. Jonction avec une piste arrivant de gauche, en descente. Gué de l’assif Imi n’Kamdon.
Km 21,3. 31°22,88’N – 06°25,70’W. 2062 m. Souk Kantola. Fin du goudron. Début d’une ascension.
Km 24,8. 31°23,46’N – 06°25,65’W. 2256 m. Après avoir dépassé Ighil, arrivée à une plate-forme pour un panorama, dominée au Nord-Est par le jebel Aklim (3432 m).
Km 25,4. 31°23,57’N – 06°25,88’W. 2300 m. Dans les jardins de Tighouzzirine. Monter dans le village pour suivre la piste par la gauche.
Km 26,4. 31°23,52’N – 06°26,35’W. Tizi à 2327 mètres.
Km 27,8. 31°23,63’N – 06°26,76’W. 2374 m. Tamsitl, suivre par la droite en montée, puis à environ 100 mètres, tourner à gauche pour contourner l’école par l’Ouest avant de poursuivre l’ascension.
Km 29. 31°23,95’N – 06°26,84’W. Tizi à 2472 mètres.
Km 30. 31°24,44’N – 06°27,44’W. Tizi à 2460 mètres. Début d’une descente DPM.
Km 31,5. 31°24,14’N – 06°28,10’W. 2300 m. Douar Tighermt, dominé au Sud par le jebel Azguigh (2617 m). La descente se poursuit dans les amandiers subissant une invasion de cochenilles.
Km 34,8. 31°24,92’N – 06°29,33’W. 1990 m. Gué dans l’assif Assaka, au pied d’Assaka n’Aït Affan. Suivre par la gauche en montée, cap WSW.
Km 35,3. 31°24,75’N – 06°29,46’W. Suivre par la droite en montée.
Km 36,4. 31°24,89’N – 06°29,68’W. 2075 m. Suivre deux fois par la gauche en montée.
Km 37,2. 31°24,80’N – 06°29,72’W. Jonction avec une piste arrivant de gauche en montée. Plusieurs belles plate-formes à bivouac dans l’ascension.
Km 38,3. 31°24,48’N – 06°30,11’W. Tizi à 2200 m. Ensuite la piste surplombe, presque à pic, un douar avec sa tighermt presque en ruine.
Km 40,1. 31°24,80’N – 06°30,65’W. 2084 m. Jonction par la droite avec une piste arrivant du village d’Amassine. Ascension puis descente à flanc du cirque de l’Astif Tiferdane.
Km 44,3. 31°23,45’N – 06°30,15’W. 2040 m. Belle prairie à bivouac.
Km 46,3. 31°22,74’N – 06°30,03’W. 1865 m. Jonction avec une piste arrivant de gauche par l’oued, cap Sud.
Km 46,9. 31°22,55’N – 06°30,08’W. 1850 m. Imi n’Oulaoun. Gîte d’étape de Brahim Boukayoud, rustique et sympa, existe depuis 1993.
Km 47,7. 31°22,44’N – 06°30,10’W. 1790 m. Arrivée dans l’oued Assaka n’Aït Affan. La piste qui monte à droite rejoint la parcours Q5 pour Amezri et la vallée de la Tessaout. Continuer la piste par le lit de l’oued vers l’aval.
Km 49,3. 31°21,72’N – 06°29,79’W. 1760 m. Sortie par la droite de l’oued Assaka n’Aït Affan.
Km 49,8. 31°21,55’N – 06°29,85’W. 1795 m. Jonction avec la piste Amezri (parcours Q5). Suivre par la gauche.
Km 53,6. 31°20,13’N – 06°29,94’W. 1700 m. Tourner à droite pour rejoindre la route.
Km 57,4. 31°18,60’N – 06°30,70’W. Aguerd, retour au point de départ.
Vous pouviez déja trouver sur ce blog les publications déjà faites sur l’histoire d’Agadir :
Talborjt 1930-1960
Agadir, Ville Nouvelle 1930-1960
Agadir, Quartier Industriel 1930-1960
Kasbah d’Agadir, du début du XVIème siècle au 29 février 1960
Un nouveau volet vient d’être terminé par la même équipe : Agadir Quartier Industriel d’Anza 1930-1960
Vous pouvez le consulter en cliquant sur sa couverture ci-dessous :
livremoi.ma
Livremoi.ma est une librairie et un espace culturel (Librairie Livremoi) ainsi qu’une librairie sur Internet (www.livremoi.ma).
Librairie Livremoi :
6 rue Kaouakibi, Gauthier, Casablanca.
Tél: 05 22 27 17 05 et 05 22 27 17 21
ISBN / EAN | agadir_ville_ impassible |
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Editeur | azigzao |
Auteur | Hassan Wahbi |
Date de publication | 15 janv. 2015 |
MAP – aufait.ma
L'épave du cargo "Baynyassa SS" découverte près d'Agadir./MAP
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L’épave du cargo anglais « Baynyassa SS », échoué en 1918 près d’Agadir, a été découverte ce week-end par des archéologues subaquatiques. Il effectuait un voyage commercial du Brésil à Gibraltar.
Une équipe constituée de plongeurs et d’un chercheur spécialisé en archéologie subaquatique est parvenue, dimanche, à mettre au jour l’épave d’un bateau à vapeur anglais qui aurait échoué, en l’été 1918, au large de la plage de Sidi Toual, située à 15 km au sud d’Agadir, dans la commune de Sidi Bibi.
Les données préliminaires de la plongée, qui s’est poursuivie ce week-end, font ressortir l’existence de morceaux d’épaves d’un navire éparpillés sur une superficie d’environ 700 m2, a déclaré à la MAP Azeddine Karra, spécialiste au ministère de la Culture en recherches subaquatiques et directeur régional du même département à Marrakech.
Il a assuré que le constat des lieux et des vestiges, situés à près de 500 m de la terre ferme et entre 6 et 10 mètres de profondeur, a permis la localisation de nombre de composantes toutes rouillées du navire, dont des portes, différentes pièces du moteur, de grandes barres de fer et de pièces constituant la coque.
Relevant que cette mission s’inscrit dans le cadre de la stratégie du ministère de la Culture visant à établir la localisation et l’inventaire des sites du patrimoine subaquatique marocain en vue de sa sauvegarde et de sa préservation, il a signalé que le département de tutelle prévoit des missions similaires de vérification et de localisation de sites signalés par nombre de clubs de plongée à l’échelle nationale.
Il s’agit de cinq sites, déjà programmés pour l’année 2015, en l’occurrence à Al Hoceima, Nador, M’diq, Belyounech et Cap Cantin (province de Safi), a-t-il précisé.
De son côté, Said Ait Bâaziz, président de l’Association marocaine pour la recherche et la conservation du patrimoine subaquatique, a indiqué que la découverte de l’épave de ce navire britannique, dont la construction remonterait à 1915, est partie d’un avis reçu par ladite association de la part de deux jeunes de la région, il y a bientôt une année.
M. Ait Bâaziz, plongeur professionnel, a assuré qu’il s’agit du cargo à vapeur « Baynyassa SS » qui, en mission commerciale du Brésil à Gibraltar, aurait changé d’itinéraire de navigation vers les côtes d’Agadir à cause d’une panne mécanique.
Le même plongeur, à qui l’on doit la découverte, en juillet 2013, de l’épave d’un navire portugais datant du 16e siècle au large de Safi, a affirmé que son association a établi un rapport sur ce sujet et en a avisé les autorités locales et le ministère de la Culture pour tenir compte de cette découverte, dans la perspective de l’inscrire sur la liste du patrimoine archéologique subaquatique national.
Faisant valoir des données techniques sur ce cargo, long de 122 m sur 16 m de largeur et de 8,5 m de hauteur et doté d’une puissance de 476 chevaux et d’une capacité de 4.937 tonnes, M. Bâaziz assure qu’il s’agit bel et bien du navire britannique qui, en voyage transatlantique du port de Santos (Brésil) à Gibraltar, aurait été détruit, le 15 septembre 1918, par erreur humaine à la plage Sidi Toual, au sud d’Agadir, sans faire de pertes humaines.
Une très sympathique rencontre à Aourir-Tamaouanza : celle de Richard Sylar et son épouse qui nous ont parlé de leur séjour ici et du livre que Richard a fait éditer pour faire connaitre son expérience :
Si ce livre vous intéresse, vous pouvez contacter directement l’auteur : rnchaudron@orange.fr
L’information qui vous était donnée le 18 novembre 2014 sur ce blog fait l’objet d’un nouvel article sur yabiladi.com
Des chercheurs des universités de Cadix (Espagne) et d’Agadir (Maroc) ont récemment découvert une nouvelle espèce de mollusques, rapporte Grenadaenlared.com (voir ci-dessous).
Les premières caractéristiques de cette espèce marine sont entre autres sa forte coloration, sa toxicité et le fait de ne pas disposer de coquille.
Surnomée « Piseinotecus soussi », cette espèce a été capturée après des opérations menées par les chercheurs sur la côte atlantique du Maroc et la plage de Santa Maria del Mar à Cadix.
Le « Piseinotecus soussi » a été d’abord découvert sur les côtes marocaines, bien que plus tard « en réalisant des travaux sur la plage de Cadix, nous en avons trouvé par surprise deux types », explique le chercheur de l’UCA, J. Lucas Cervera.
Après quelques recherches, l’espèce a été retrouvée « dans le sud de la péninsule ibérique, sur la côte catalane et le sud de l’Italie ». Le « Piseinotecus soussi » ressemble fortement aux mollusques Flabellina, mais il présente certaines différences, notamment au niveau de la couleur et des dents.
Photo Cataldo LicchelliL’article de granadaenlared.com :
Investigadores del departamento de Biología de la Universidad de Cádiz, en colaboración con la Unversidad de Ibn Zohr d’Agadir (Marruecos), han descubierto una nueva especie de molusco. En esta ocasión se trata un nudibranquio, animal invertebrado marino caracterizado, entre otras cosas, por no tener concha y poseer una llamativa coloración, lo que alerta a sus depredadores de su toxicidad.
Esta nueva especie, denominada Piseinotecus soussi, ha sido descrita tras los trabajos de recolecta que se llevaron a cabo a manos de estos investigadores en las costas atlánticas de Marruecos y en la playa gaditana de Santa María del Mar. Y es que no se debe pasar por alto que se descubrió en un primer momento en las costas marroquíes, aunque más tarde “realizando trabajos de recolecta en esta playa de Cádiz nos encontramos por sorpresa dos ejemplares de esta nueva especie”, como explica el investigador de la UCA, J. Lucas Cervera. Así, si bien inicialmente se pensó “que nos encontrábamos ante una especie con una distribución aparentemente restringida, con posterioridad y poco a poco, hemos visto que tiene una distribución más amplia. Tras estudiar este caso en profundidad, hemos detectado que también se han localizado en el sur de la Península Ibérica, en las costas catalanas y en el sur de Italia”.
La Piseinotecus soussi se parece externamente a otras especies de moluscos del género Flabellina, muy comunes en nuestras costas (tales como la Flabellina affinis, laFlabellina ischitana o la Flabellina pedata) ya que también posee un color violeta muy llamativo, por lo que es posible que durante años se haya confundido con alguna de estas especies pensando que eran la misma. Sin embargo, “esta nueva especie que hemos descrito tiene diminutas manchas blancas opacas sobre las ceras que no están presentes en las especies de Flabellina mencionadas. Además, otra característica muy importante, es que un órgano interno que tienen estas especies, que se llama rádula (que es como una lengua con una serie de dientes), en la Flabellina posee filas de tres dientes, pero en la especie nueva sólo son filas de un diente”, como explica el profesor Cervera. De igual forma, “hemos secuenciado esta especie nueva y en los análisis filogenéticos realizados su posición en los árboles filogenéticos obtenidos es muy distante respecto a las especies antes mencionadas, lo que nos muestra que el parentesco real es muy lejano”, matiza el investigador de la UCA.
El descubrimiento de esta nueva especie de invertebrado es un ejemplo más que refuerza la línea de investigación en la que estos expertos de la Universidad de Cádiz llevan trabajando desde hace años: la detección de lo que se denomina especies crípticas, animales que se encuentran bajo el mismo nombre pero que en realidad son diferentes. “Existen muchas especies desconocidas aún y no sólo en el Amazonas, en Indonesia o en Australia. Aquí, en Europa, en nuestras costas, existen todavía muchas por descubrir, sobre todo en el ámbito marino y en el terreno de los invertebrados, que son los que constituyen la inmensa mayoría de la biodiversidad animal”.
Los autores de este trabajo, publicado en la revista norteamericana ‘Bulletin of Marine Science‘, son los investigadores Naoufal Tamsouri y Abdellatif Moukrim, de la Universidad de Ibn Zohr d’Agadir (Marruecos), y Leila Carmona y Juan Lucas Cervera, de la Universidad de Cádiz. Es interesante señalar que tan sólo Juan Lucas Cervera posee una trayectoria investigadora en la que figura la descripción de unas 50 especies nuevas y dos géneros de invertebrados marinos.
Nous continuons notre démarche « produits de la ferme »
Notre domaine cette année fait de la courgette noire.
Nous vous invitons a venir visiter le domaine et de découvrir la cueillette et l’emballage de celle ci.
Un déjeuner courgette et beignet de fleur de courgettes sera préparé et la remise d une caisse 10 kg de légumes anti-caloriques
Une participation financière de 140 dh sera demande par visiteur.
En espérant que vous serez parmi nous prochainement
Meriame et Christian
domaine Mimounia
0626840186
Ait Amira
Les dates proposées sont les suivantes :
les mardis 18 et 25 novembre
les vendredis 22 et 29 novembre
les mardis 2, 9 et 16 décembre
les vendredis 5 et 12 décembre
par Fatiha Nakhli – leconomiste.com
Il aura fallu trois ans d’investigation marine pour que la recherche donne ses résultats. Et des résultats de taille! Deux espèces nouvelles pour la science, viennent d’être découvertes dans la baie d’Agadir. Ces deux mollusques porteront les noms de P. Amazighi et R. Soussi, noms choisis par les chercheurs en référence à la région Souss Massa Draâ. La découverte, qui a été validée selon les procédures internationales, vient d’être annoncée dans des journaux spécialisés. Il s’agit en l’occurrence de « Bulletin of Marine Science » et de « American Malacological Bulletin ». Derrière ce projet, qui contribue à l’étude de la biodiversité marine de la baie d’Agadir, une équipe de deux chercheurs et trois doctorants de la Faculté des Sciences d’Agadir, Université Ibn Zohr, et un chercheur de l’INRH. Le projet, mené sous la direction du Professeur Abdellatif Moukrim, chercheur en Sciences de la mer, est réalisé en partenariat avec des laboratoires étrangers spécialisés. Basés notamment, à Cadiz, Malaga, Séville (Espagne) et Angers (France). La zone d’étude de cette recherche, d’un grand apport scientifique en termes de biodiversité de mollusques marins, comprend Cap Ghir, Aghroud, Taghazout, Anza, Port d’Agadir et Cap Aglou. Il faut préciser qu’au Maroc, une partie des ressources marines est relativement bien connue en raison de son intérêt socio-économique. Par contre, d’autres ressources, particulièrement des fonds marins, sont plutôt méconnus malgré leur intérêt environnemental et leur place dans la chaîne alimentaire.
Ainsi, ce groupe de Mollusques qui connaît un intérêt scientifique croissant à l’échelle mondiale en termes de biodiversité, potentiel d’exploitation en industrie pharmaceutique et aussi en tant qu’ indicateur du changement climatique de la biodiversité marine, n’a pas eu, au Maroc, la place qu’il mérite en matière de recherche scientifique et de valorisation. Désormais, avec ce projet multidisciplinaire qui compte trois thèses, le nombre de la faune d’épisthobranches récencé sur les côtes marocaines est passé de 70 à 130. Sur ce chiffre, 58 espèces sont nouvelles pour le Maroc et 2 nouvelles pour la science. Comment expliquer cette présence: effet du changement climatique ou introduction accidentelle?
« Notre optique est d’exploiter les résultats de cette étude dans l’évaluation des changements climatiques sur les écosystèmes marins », explique Pr Abdellatif Moukrim. « Et aussi de former de jeunes chercheurs dans un domaine comptant peu de spécialistes marocains, tout en développant une coopération nationale et internationale sur cette thématique », a-t-il ajouté. – See more at: http://www.leconomiste.com/article/961988-la-baie-dagadir-livre-deux-especes-nouvelles-la-science#sthash.kQdIDiMF.dpuf
yabiladi.com
Si l’annonce de la découverte de pétrole par San Leon Energy dans le permis de Sidi Moussa a été largement commentée dans les médias, l’Office national des hydrocarbures et des mines joue la carte de la prudence.
L’ONHYM et ses partenaires Genel energy, San Leon Energy, et Serica annoncent que « le puits SM1 situé à 59 Km au large de la ville d’Ifni, dont les travaux de forage ont démarré le 30 juillet dernier pour atteindre la profondeur finale de 2825 m le 16 octobre, a rencontré des indices d’huile au niveau du Jurassique Supérieur à la profondeur de 2087 mètres ».
Toutefois, l’office indique que « des opérations spécifiques sont en cours de réalisation pour qualifier la nature de l’huile rencontrée et apprécier les qualités pétrophysiques des roches traversées afin de se prononcer sur le réel potentiel de la zone d’intérêt ». Donc tout reste à confirmer.
Pour tous ceux qui sont venus voir l’exposition « BILMAWEN, CROQUE-MITAINES DE L’ATLAS », voici une vidéo mettant en scène de nouvelles photos prises lors du dernier Aïd al Adha, il y a tout juste 2 semaines.
Et pour ceux qui n’y sont pas encore allés, l’expo continue jusqu’au 31 octobre, et vous y êtes accueillis de 14h à 18h.
Marc Belli
www-darzahia-taroudant.com
Départ hier matin, avec Chantal, en direction de Taliouine, en passant par Taroudant et Aoulouz.
En arrivant à Taliouine, arrêt à « L’Or Rouge de Taliouine » pour des emplettes de safran, puis à « L’Auberge du safran » pour un très bon déjeuner tout au safran, depuis l’entrée, jusqu’au thé : tout était excellent ! et, en plus devant un paysage somptueux :
Départ ensuite pour Ifri : il faut traverser Tassousfi (sur la route de Ouarzazate) et prendre après 5 ou 6 km la direction Agadir Melloul sur la droite.
Le premier village qu’on voit sur la gauche est le village d’Ifri : il faut prendre la piste (bonne) pratiquement à la hauteur du village, traverser l’oued et aller jusqu’au centre du village.
Là, on tombe sur un colporteur ambulant qui s’est installé pour vendre des vêtements et des bijoux berbères. Il est content de faire quelques affaires avec nous !
On demande ensuite Aïcha qui a les clés du grenier et qui nous y emmène en suivant un petit chemin à travers les cultures.
Rapidement on aperçoit le grenier entre les arbres.
Contrairement à l’agadir de Tizgui qui est construit à mi-hauteur d’une falaise, celui-ci est construit au pied de la muraille et, plutôt qu’agadir de falaise, je le qualifierai d’agadir troglodyte.
L’entrée :
L’agadir a été, en partie restauré et il est en relativement bon état. Aïcha nous en fait visiter tous les recoins et on peut voir qu’un bon nombre de cases sont encore utilisées.
Quelques photos :
Toutes les petites grottes ont été utilisées pour y installer des cases :
Depuis l’agadir, on découvre un paysage merveilleux :
Nous sommes rentrés hier soir de cette belle promenade :
Départ vers Tiznit puis vers la côte et, juste après Aglou, montée vers les centres de parapente du « Nid d’Aigle »
Il a fallu que je les retienne !
Sortie de Mirleft, à côté de Dar Najmat :
Un petit arrêt à Sidi Ifni :
Arrivée à Guelmim :
Il a plu pendant presque 24 heures sans arrêt dans la région et de nombreuses routes sont inondées, mais ça passe quand même ! :
Direction Fask, pour aller vers les (petites) cascades : la piste est un peu boueuse, mais là aussi, ça passe :
Puis, direction Oasis de Tighmert où nous avons prévu de dormir à la « Maison d’hôtes Nomades » chez Brahim :
La Maison d’hôtes Nomades est installée au coeur de la palmeraie, dans un cadre incomparable et l’accueil de Brahim ainsi que de tout le personnel est d’une gentillesse extrême,
Ali nous emmène ensuite faire une promenade dans la palmeraie et visiter le musée de l’oasis :
Le soir, tajine de dromadaire (délicieux !) puis on passe la nuit dans un calme complet si reposant !
Le matin, délicieux petit déjeuner sur la terrasse : huile d’argane, huile d’olive, miel, beurre….
On reprend ensuite la voiture pour aller vers les sources qui alimentent en eau la palmeraie :
Retour vers Tiznit, en passant au milieu des collines où ont été plantés des millions de figuiers de Barbarie :
Et pour finir, petite visite à Tiznit vers la source bleue où ont lieu de très gros travaux sous la houlette de Salima Naji qui en feront un endroit merveilleux : mais là, pas de photo, il y en aura dans 4 ou 5 mois quand les travaux seront entièrement terminés !