Archives de avril 2015

Hausse des prix du gasoil et de l’essence à partir du 1er mai

h24info.ma – 30/04/2015

Les prix du gasoil et de l’essence super vont connaître une hausse de 43 cts / litre à partir du 1er mai 2015, a annoncé jeudi le ministère chargé des Affaires générales et de la Gouvernance.

essence

 

Le prix du gasoil et de l’essence super augmentera de 43 centimes le litre pour passer respectivement à 9,12 DH / litre et 10,80 DH / litre, précise le ministère dans un communiqué sur l’homologation des prix plafonds des carburants pour la période du 1er au 15 mai 2015.

Il s’agit de prix de ces produits à la sortie de Mohammedia, précise le ministère.

Publié 30 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Circulation, Transports

Ouverture des rayons Fromage et Charcuterie à l’Epicerie d’Illigh

Aujourd’hui a lieu l’ouverture de l’espace Fromages et Charcuterie à l’Epicerie d’Illigh de Fabrice et Sandrine, en présence du Maître Fromager Eric Meignat

Epicerie Iligh

Enfin, de bons fromages et de la bonne charcuterie à Agadir, de quoi se régaler !IMG_8706

Eric Meignat, le Maître Fromager entouré de Fabrice et SandrineIMG_8709

Fabrice devant le rayon charcuterie : déjà beaucoup d’amateurs sont passés par là !IMG_8710

 

Pour y aller :

Plan

Publié 30 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Commerce

Agadir : Universiapolis encourage l’esprit entrepreneurial

par Fatiha Nakhli – leconomiste.com – 29/04/2015

  • 35 nouveaux projets de création d’entreprises
  • Evaluation par un jury composé de professionnels
Véritable rush pour cette 2e édition, au cours de laquelle pas moins de 35 projets de création ont été présentés

Véritable rush pour cette 2e édition, au cours de laquelle pas moins de 35 projets de création ont été présentés

Fidèle à sa mission, la Faculté des Sciences de gestion, Universiapolis Agadir, continue de favoriser l’esprit entrepreneurial chez les étudiants. C’est ainsi que, pour la 2e année consécutive, se tient un Salon pour «Favoriser l’initiative par la création d’activité» (Ficra). Cette approche entrepreneuriale vise particulièrement les étudiants de 3ème année qui sont appelés à compléter leur formation du premier cycle par la réalisation d’un projet de fin d’études. En fait, ledit projet consiste en une étude de faisabilité pour la création d’une entreprise. Et ce sont ainsi les travaux des lauréats qui sont présentés lors de Ficra Expo 2015, qui s’est tenue la semaine dernière durant deux jours. Bien sûr, plusieurs points importants sont pris en compte. Notamment, le plan marketing, le plan juridique, le plan ressources humaines, le plan production et le plan financier. Pour ce faire, les étudiants sont encadrés dans les différentes phases de la création par des professeurs spécialisés et par  des professionnels. Les études ayant prouvé que les jeunes qui développent des compétences entrepreneuriales sont plus susceptibles que les autres de trouver plus facilement  un emploi et de progresser rapidement dans leur carrière professionnelle. Il faut noter que l’exercice a un double objectif. En premier lieu, il permet aux étudiants de valider l’enseignement et l’apprentissage acquis durant les trois années d’études. Ensuite, c’est pour eux l’occasion de créer effectivement leur propre entreprise à partir de l’étude de faisabilité réalisée. Pour précision, les secteurs représentés cette année sont le tourisme, la restauration, l’agroalimentaire, l’élevage, la formation, les services, le commerce, la beauté et les loisirs. Soit, pas moins de 35 projets de création d’entreprises dont le point commun est l’innovation. Afin de mieux mettre en situation les étudiants, les travaux sont soumis pour évaluation à un jury composé de banquiers, d’investisseurs potentiels, de professeurs et de professionnels. Les travaux sont de même redimensionnés selon la réalité du marché. «Chaque année 10% à 15% de ces projets novateurs voient le jour et bénéficient d’un suivi offert par la pépinière d’entreprises de l’Université Internationale d’Agadir durant leurs 2 premières années», explique le Professeur Jamal El Achmit. Et, depuis 25 ans qu’Universiapolis encourage l’esprit entrepreneurial, l’établissement s’est constitué une banque de plus de 800 études de faisabilité touchant différents secteurs économiques.
Pour rappel, Salon Ficra Expo, est un projet pilote, qui rentre dans le cadre du programme PNB-NAPEO (Partners for a new beginning- North Africa partners for Economic opportunities). C’est un programme US-Maghreb dans le domaine de l’entrepreneuriat et dont la composante principale est l’éducation entrepreneuriale. Il est actuellement expérimenté au Maroc et en Tunisie avec l’appui de partenaires américains,  tels qu’Intel Corporation, précisent les organisateurs.

Publié 30 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Université

AGADIR : CŒUR D’ARGAN, UN RALLYE QUI FAIT BATTRE LE CŒUR DES FEMMES

par Nathalie Perton – agadir.madeinmedina.com – 25/04/2015

BELLE CAUSE ON THE ROAD Il n’est pas nécessaire d’avoir de raison pour souhaiter écumer les dunes du Souss, néanmoins participer à l’information, au soutien et à la collecte de fonds pour la recherche sur les cancers féminins fait, selon nous de ces femmes au grand cœur (d’Argan) des héroïnes que nous voulions mettre à l’honneur.

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Le concept

Initié par l’association « Les Lyonnes de Tatooïne », le rallye Coeur d’Argan qui se déroulera du 09 au 15 mai 2015 propose un raid  » Aventure et Solidarité « , en 4×4, d’une durée de 6 jours dans le sud du Maroc, et réservé aux femmes. Son objectif : oeuvrer et participer à la lutte contre les cancers féminins.
Aux antipodes d’autres rallyes impliquant la possession d’un véhicule tout terrain et de frais d’inscriptions élevés, Cœur d’Argan invite toutes les femmes, atteintes ou pas par ces maladies et leur fournit les 4X4. 10 % du montant de l’inscription par équipage sont reversés à des associations de lutte contre le cancer : Europa Donna Forum France (une association militante qui informe, rassemble et soutient les femmes dans la lutte contre le cancer du sein) et l’Association Rose (qui soutient les femmes atteintes de cancer en publiant un magasine féminin, de qualité distribué à grande échelle – plus de 180 000 exemplaires- dans les hôpitaux et centres de lutte contre le cancer.)

Une lutte fraternelle

Dans ce rallye ; des femmes atteintes de ces maladies lutteront au côté d’autres, solidaires. Peut-être comme raisonnent les cœurs des femmes, assises en train de casser les noix d’argan dans les villages du Souss, ensemble, dans leur condition et ensemble pour la dépasser. C’est un très joli challenge et une remarquable aventure qu’elles nous proposent là, car c’est aussi la perspective de sortir de l’isolement, corollaire pesant de la maladie, c’est aussi se mettre en face d’autres épreuves, d’autres luttes, avoir une activité physique contrôlée et dans la mesure de leurs capacités. C’est aussi, ce rallye, la découverte des paysages marocains, partant d’Agadir vers le grand Sud et les échanges improvisés avec les populations locales, les discussions, la sensibilisation, toute une communication informelle autour de ces maladies.

A l’origine ; une révélation dans les dunes

Valérie Lugon est la fondatrice de ce raid, fondatrice également de l’association des Lyonnes de Tatooïne. En 2007 elle est elle-même touchée par un cancer du sein. Alors qu’elle est en prise avec la maladie, elle effectue un voyage dans le Sud marocain. C’est hissée au plus haut de la grande dune de Merzouga que lui vient cette conviction, sa révélation, charriée par les vents du désert : elle doit combattre pour ses enfants, son mari et peut être pour toutes les femmes qui ont besoin d’entendre murmurer à leurs oreilles que le combat est possible, qu’elles peuvent lutter ensemble et que, peut être, une traversée initiatique dans le désert, ce qu’elle apporte de difficultés, mais aussi de sérénité, ce qu’elle dit de notre place fondamentale au monde révélée par les grandes dunes, peut être, surement, leur donnera un élan, fondamental voire nécessaire. Cœur d’Argan nait ce jour là avec une inscription indélébile dans les beautés du Sud marocain.

La lutte contre les cancers féminins au Maroc

Il faut savoir que chaque année en France plus de 320 000 personnes sont touchées par le cancer. Même si la mortalité a fortement diminué ces vingt dernières années, il reste néanmoins, près de 150 000 personnes qui en meurent tous les ans. Si les bilans et chiffres sont plus difficiles à trouver au Maroc, tant la prévention, la sensibilisation et la communication autour de ces maladies sont tardives, la Fondation Lalla Salma, créée par notre altesse la Princesse Lalla Salma, fait peu à peu des émules dans le pays.

C’est aussi par la confrontation de femmes touchées par ce combat, que, comme autour d’un cercle où l’on casse les noix d’argan, on fera avancer la lutte des femmes et entres autres la lutte contre les cancers féminins au Maroc.

Alors, quel soit celui des seize équipages du Raid Coeur d’Argan que vous déciderez de supporter, faîtes comme Made in Agadir, encouragez-les toutes pour leur combat !

Les marées à Agadir pour le mois de mai

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Publié 30 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Météo

Lettre d’information Mai 2015 – Institut français d’Agadir – Médiathèque Michel Vieuchange

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Publié 29 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir

Le développement personnel et professionnel a le vent en poupe à Agadir !

Start-up, géants de l’agro-alimentaire, banques ou petites entreprises de service…ont choisi de booster leur potentiel en 2015 en se faisant accompagner par le cabinet ProLife Coaching, soit en coaching d’équipe, soit en coaching de dirigeants.

 

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Le coaching d’équipe
s’adresse aux managers et aux membres de leurs équipes (par ex : directeur commercial et son équipe de commerciaux) et a pour objectif d’optimiser le fonctionnement du groupe et la performance collective.

D’une durée de 1 à 2 jours, il est utilisé dans le cas d’un lancement de projet, d’une réorganisation, d’un changement de stratégie ou encore  pour résoudre un conflit, un dysfonctionnement et remobiliser les membres de l’équipe autour des objectifs stratégiques.

Le coaching des cadres dirigeants, révèle quant à lui le potentiel des cadres et des chefs d’entreprises. Sous forme de séance individuelle d’1 heure environ, le coaching permet par exemple, de  faire évoluer un comportement gênant, d’affirmer son leadership, de gérer son stress, de s’exprimer avec aisance ou de performer dans les plus brefs délais lors d’une prise de poste…

Coaching individuel ou Coaching de particuliers

Au-delà des entreprises, de plus en plus de particuliers, hommes, femmes, étudiants, porteurs de projet, saisissent l’opportunité de se faire accompagner pour parvenir à traverser plus facilement une situation délicate de leur vie ou à faire évoluer un comportement qui les limite dans leur vie personnelle ou professionnelle : confiance en soi, gestion des émotions, difficulté à s’organiser ou à réaliser ses projets…

C’est lors de séances individuelles d’une durée de 1h00 à 1h30, dans un cabinet situé à Talborjt, qu’ils peuvent atteindre plus facilement, avec plus de plaisir et plus de résultat, les objectifs qu’ils se fixent.

 

Presse-papiers-2Cabinet ProLife Coaching situé à Talborjt, Agadir.

Gsm : 06 18 72 39 41. Me Saliba Sandrine.

www.prolifecoaching.fr.

15 ans d’expérience dans ce domaine à l’international.

Publié 29 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Communication

20e Festival International du Théâtre Universitaire d’Agadir : La pièce espagnole «Tartufo» rafle trois prix

MAP – lematin.ma – 29/04/2015

Plus de 200 pièces ont été présentées, lors du 20e FITUA, de différents pays et de diverses écoles et tendances dramaturgiques, partant du théâtre classique jusqu'à l'improvisation en passant par le théâtre expérimental. Ph : facebook.com

Plus de 200 pièces ont été présentées, lors du 20e FITUA, de différents pays et de diverses écoles et tendances dramaturgiques, partant du théâtre classique jusqu’à l’improvisation en passant par le théâtre expérimental. Ph : facebook.com

La pièce théâtrale «Tartufo» de l’Ecole royale supérieure d’art dramatique de Madrid a raflé trois prix, dont le Grand Prix, à la clôture mardi soir, du 20e Festival international du théâtre universitaire d’Agadir (FITUA), initié par la Faculté des lettres et des sciences humaines, sous le signe «Promotion du dialogue des sensibilités théâtrales».

La comédienne Arachili Contreras de la même troupe s’est vu décerner le prix de la meilleure interprétation féminine dans cette pièce qui, sans être une version libre de Tartuffe de Molière (conçue en 1664), se veut une «version dénudée de ces fioritures finales dictées par le rapprochement étroit entre le personnage et l’auteur».

Le prix de la meilleure interprétation masculine est revenu au comédien de la même troupe espagnole Pablo Chavez ex aequo avec le comédien tchèque Pavole Seris pour son rôle dans la pièce «Ca vous a plu, monsieur ?» de la Faculté de Théâtre de Brno.

Le Prix d’espoir a été décerné à la pièce «Hibal min khazz» de l’ENCG Agadir et le prix de la scénographie à la pièce «Bastards in the mind» de l’Académie du théâtre de Roma Sofia (Italie), alors que le prix du Jury est revenu à la pièce «L’Opéra de quat’sous» de l’Institut national des arts et de la culture de Belgorod (Russie).

Le Jury de cette édition était composé de Hassan Youssefi, Fatima Boujou et de l’écrivain dramaturge Mohamed Khomis, à qui un vibrant hommage a été rendu au côté de l’artiste Bouchra Ahrich en signe de reconnaissance pour les services rendus à l’art de la scène.

Intervenant en clôture, le président de l’Université Ibn Zohr, Omar Halli a souligné qu’avec cette édition le FITUA aura présenté plus de 200 pièces théâtrales de différents pays et de diverses écoles et tendances dramaturgiques, partant du théâtre classique jusqu’à l’improvisation en passant par le théâtre expérimental.

Pour lui, c’est précisément ce cumul quantitatif et qualitatif, conjugué à l’implication active de gens épris des arts de la scène en terme d’écriture, de composition ou de mise en scène, qui redonnent force et détermination aux organisateurs pour aller de l’avant au service d’une manifestation «ayant montré la preuve, grâce à l’adhésion du public, que l’action culturelle ne manque ni de fans, ni de férus».

Le fait marquant de cette 20e édition a été le retour du FITUA à ses quartiers de départ dans la salle de la municipalité d’Agadir, d’où il est parti il y a vingt ans, avec pour objectif d’ancrer, selon ses initiateurs, l’engagement de l’Université à s’ouvrir sur son environnement immédiat pour s’ériger en composante essentielle de l’agenda culturel de la Cité.

L’autre nouveauté consiste en l’organisation, tout au long des journées du festival, de tableaux artistiques devant le siège de la commune urbaine d’Agadir et d’un concours d’improvisation encadré par des professionnels marocains et étrangers, en plus de la tenue d’une conférence-débat sur la thématique «Théâtre et médias» avec la participation d’une pléiade de chercheurs, experts et professionnels de divers horizons.

Sur un total de 26 demandes de participation, le comité d’organisation a retenu, lors de cette édition, neuf pièces théâtrales représentant des troupes de l’ENCG-Agadir, la Faculté des lettres d’Agadir, la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales-Aïn Sbâa de Casablanca, en plus d’autres pièces en provenance de la Palestine, Egypte, Tunisie, Tchéquie, Russie, Italie et d’Espagne.

Le Grand prix de la précédente édition du FITUA, organisée du 19 au 22 mars 2014, a été remporté par la pièce «Vie-rus» de l’Ecole normale supérieure de Meknès, relevant de l’Université Moulay Ismaïl.

Agadir City Tower : Le chantier prend forme

par Yassine Saber – leseco.ma – 28/04/2015.

Les acteurs locaux attendent actuellement la phase de démarrage des travaux qui porte essentiellement sur la démolition des bâtiments existants et les terrassements généraux par l’entreprise Sotrada.

 

Enfin le bout du tunnel pour l’hôtel Agadir City Tower, ex Salam? Après plusieurs années de déboires, le groupe Anwar Invest développement, propriétaire de l’hôtel Salam via la société « Vocation Loisirs SA », vient d’annoncer l’ouverture du chantier, porté par le cabinet d’architecture AWM. Déjà, les panneaux afférents à l’ouverture du chantier ont été posés et les acteurs locaux attendent la phase de démarrage des travaux qui porte essentiellement sur la démolition des bâtiments existants et les terrassements généraux par l’entreprise Sotrada. Ce déblocage intervient suite à l’acquisition de l’autorisation de construire n° 5815/1 du projet touristique «Agadir City Tower» qui sera construit sur les ruines de l’hôtel Salam, objet du titre foncier n°72154/09 et sis au boulevard Mohammed V.

Le complexe touristique, commercial et résidentiel porte sur la réalisation d’un hôtel 5 étoiles d’une capacité de 278 chambres et 43 suites en plus de 114 appartements sous forme de résidences immobilières de promotion touristiques (RIPT). S’ajoute à cela, un centre commercial, des restaurants et des cafés, un hammam et SPA en plus des équipements d’animation et de loisirs tels que les aires de jeux, piscines, espaces verts et bowling. La composante hôtelière sera aménagée sur la façade du boulevard Mohammed V tandis que la composante Ript serait érigée sur la rue en face de l’hôtel Transatlantique, fermé également depuis des années.Pour rappel, depuis la liquidation judiciaire de l’hôtel Salam après l’échec du plan de redressement, c’est la société « Vocation Loisirs » qui a acquis la propriété des lieux. Dès lors, «Vocations Loisirs» vendue à Anwar Invest a consacré un montant d’investissement pour construire une nouvelle unité hôtelière.

Toutefois, la société s’est trouvée face à deux obstacles majeurs. Le premier est d’ordre technique et législatif. Conformément au plan d’aménagement homologué d’Agadir, le terrain qui devrait abriter le projet se situe dans le secteur balnéaire qui est réservé uniquement à des établissements hôteliers et non pas aux RIPT. Le second est d’ordre social. Il s’agit des anciens employés de l’hôtel «Salam» qui sont au nombre de 113 employés (62 restants actuellement), délaissées après la liquidation judiciaire de l’hôtel. Le chantier est resté bloqué durant plusieurs années avant que la société «Vocations loisirs» ait finalement décidé de relancer le projet.

FIDADOC : toute la programmation de la 7ème édition

FIDADOC

Programmation de l’édition 2015

Pour sa 7eme édition, le FIDADOC met de nouveau en valeur les œuvres d’auteurs émergents venus du monde entier, mais également celles de réalisateurs plus confirmés. Elle rend compte de l’invention, du renouvellement permanent des écritures documentaires au contact des nouveaux formats et des nouveaux supports, avec une attention particulière portée à la production de nos voisins du Maghreb et Machrek.

Le FIDADOC n’est pas une manifestation thématique, mais chaque année des films s’imposent d’eux-mêmes, donnant le ton, la couleur de l’édition : en 2013, la résistance héroïque des cinéastes syriens, en 2014 les relations entre femmes et hommes, en écho aux dix ans de la Moudawana.

Cette 7eme édition donnera largement la parole au(x) peuple(s) à travers les regards originaux de cinéastes locaux et étrangers sur des territoires en pleine mutation : une Palestine qui oscille entre saut dans la modernité et devoir de mémoire, une Egypte déboussolée entre avancées et reculades démocratique, un continent africain turbulent et dynamique.

De nombreux films témoignent également de la condition adolescente, à travers des jeunes femmes et jeunes hommes qui partout dans le monde, expriment leurs doutes et leurs espoirs au moment de passer à l’âge adulte.

LES FILMS EN COMPETITION INTERNATIONALE

1°) AJI-BI, FEMMES DE L’HORLOGE de Raja Saddiki Maroc / 2015 / 66 minutes

« Aji, khti, viens, ma sœur »… C’est ainsi que Marème, vingt ans, alpague ses clientes aux abords de l’ancienne médina de Casablanca pour leur poser des faux-cils et des rastas. Marème est une «Aji-bi», une esthéticienne racoleuse, vivant au sein d’une petite communauté de Sénégalaises échouées elles aussi à Casablanca. Hésitant entre installation définitive ou transit vers l’Europe, ces jeunes femmes s’organisent pour survivre dans une société marocaine à la fois généreuse et hostile.

2°) BLA CINIMA de Lamine Ammar-Khodja Algérie, France / 2014 / 82 min

Alger, quartier Meissonier, en attendant l’ouverture du cinéma Sierra Maestra fraîchement rénové, le cinéaste interroge les passants sur le cinéma. A travers des dialogues spontanés et des situations improvisées autour de la vie, du temps, du pays, ce jeune algérien engage une réflexion sur le cinéma et dresse un portrait informel de la ville d’Alger et de ses habitants.

3°) COMING OF AGE de Teboho Edkins

Afrique du Sud, Lesotho, Allemagne / 2015 / 61 min

Pendant deux ans, Teboho Edkins observe quatre adolescents en train de grandir dans les montagnes du Lesotho, en Afrique australe. Les portes de l’âge adulte s’ouvrent et se referment. Certains quittent l’école de leur village pour garder des moutons et ne feront jamais rien d’autre. Et ceux qui partent pour l’école secondaire ne reviendront peut-être pas. L’été de la jeunesse prend vite fin. Une chronique qui révèle la beauté d’une région et d’une vie faite d’amitié, d’obligations familiales et de traditions.

4°) LE CONSEIL (AL MAJLIS) de Yahya Alabdallah Jordanie, Palestine / 2014 / 80 min

Quand une école primaire pour les réfugiés palestiniens en Jordanie en Jordanie, annonce la tenue d’élections pour un Conseil des élèves, ceux-ci ont hâte voir s’ouvrir une nouvelle ère dans les relations entre les élèves et les professeurs. Une semaine après la formation du conseil, Abul âgé de 10 ans et Omar de 13 ans, veulent mettre en oeuvre leurs promesses électorales.

Leçons de démocratie pour les jeunes réfugiés palestiniens, qui découvrent rapidement la dure réalité de la corruption dans leur communauté et l’absence d’institutions crédibles…

5°) GANGBE ! de Arnaud Robert Suisse / 2015 / 58 min

Le Gangbé Brass Band du Bénin part à la conquête de Lagos, au Nigeria. Gangbé! raconte le choc de deux Afriques. Sur cette longue route qui mène dans la mégalopole, se joue l’aventure d’un continent, les nouveaux aimants culturels du Sud, le gouffre qui sépare des pays frontaliers. En rencontrant Femi Kuti et les panafricanismes contemporains, le Gangbé Brass Band travaille au corps les idées reçues. Gangbé! ne raconte pas l’éternelle quête d’Europe des Africains. Sur un mode poétique et funky, il ouvre de nouvelles pistes.

6°) JE SUIS LE PEUPLE de Anna Roussillon France, Egypte / 2014 /111 min

En janvier 2011 en Egypte les manifestations anti-gouvernementales rassemblent des dizaines de milliers de personnes dans les rues du Caire, tandis que les villageois des campagnes du Sud suivent les événements de la Place Tahrir via leurs écrans de télévision et les journaux. Du renversement de Moubarak à l’élection de Mohamed Morsi, le film suit ces bouleversements politiques du point de vue d’un village de la vallée de Louxor. Entre espoirs et déceptions, le changement se fait attendre.

7°) LA NUIT S’ACHEVE de Cyril Leuthy France, Algérie / 2015 /100 min

Commencé il y a plusieurs années en toute liberté et sans aucun moyen, ce documentaire retrace le parcours de Bernard, né à El Kouif en Algérie, au moment où il entreprend un voyage vers son enfance, accompagné par son fils, cinéaste, et le petit-ami de ce dernier. Une aventure cinématographique très intime qui souligne la complexité des relations interculturelles en Algérie, des années 50 à nos jours.

8°) PIXADORES de Amir Arsames Escandari Finlande, Danemark, Suède / 2014 / 90 min

Djan, William, Ricardo et Biscoito vivent dans les favelas de Sao Paulo, où ils sont des artistes de rue, guidés par la volonté de faire la différence. Ils grimpent sur les bâtiments les plus hauts et les plus improbables, afin d’y peindre leurs slogans et leur messages. Appelés par certains anarchistes voire criminels, eux se considèrent comme des soldats. Invités à Berlin pour une biennale artistique, ils restent fidèles à leur esprit de liberté, défiant avec panache tous les codes et toutes les règles de bienséance…

9°) SAKEN de Sandra Madi Jordanie, Palestine / 2014 / 90 min

L’histoire d’amitié entre Ibrahim, fedayin qui a combattu l’invasion des israélien dans le sud du Liban et Walid, un jeune égyptien venu trouver du travail en Jordanie laissant sa famille au pays. Sorti paralysé du conflit, Ibrahim décide un jour de rejoindre l’hôpital des vétérans de l’OLP où Walid, devient son soigneur et son confident, partageant avec son aîné des discussions passionnées sur la Palestine, l’engagement, l’amour. Saken croise les sacrifices de ces deux hommes, dont les destinées sont intimement liées.

10°) TREVE de Myriam El Hajj Liban, France / 2015 / 67 min

A Beyrouth, Riad a ouvert une boutique de matériel de chasse où ses anciens compagnons d’armes viennent se remémorer autour d’un café leurs vieux faits d’armes du temps de la guerre civile. Intervieweuse habile et tenace, la nièce de Riad, tente de remonter avec eux aux origines de cette violence, interrogeant au passage la capacité de sa génération à tourner le dos à cet héritage grégaire.

SEANCES SPECIALES

PANORAMA MAROC

Le Panorama de cette année est exclusivement composé courts et longs-métrages marocains. Quatre films d’école ou réalisés par des lauréats du Master documentaire de l’Université de Tétouan et de l’ESAV de Marrakech. Deux projets développés dans le cadre la Résidence d’écriture de Safi organisée par l’équipe du FIDADOC. Un long-métrage coproduit par notre partenaire officiel TV2M. Tous ces films sont les premiers fruits de la démarche volontariste des principaux acteurs du cinéma documentaire de notre pays en faveur du développement d’une production nationale.

  • LA ROUTE DU PAIN de Hicham Elladaqui
    Maroc, Belgique, France / 2015 / 66 min
  • N’BERRA de Hajjar Setta
    Maroc, 2014 /10 minutes
  • ON N’ARRETE PAS LE PRINTEMPS de Zahra Sadiq, Mouna Karimai,
    Younes El Moumine, Houssam Azmani Maroc / 2014 / 28 minutes
  • TERMINUS de Med Akram Nemmassi
    Maroc / 2014 / 71 minutes

FOCUS SUISSE

Le pays invité de cette 7eme édition est la Confédération suisse.

L’occasion de présenter une sélection de documentaires suisses récents, grâce au soutien de l’agence Swiss Films :

  • LA TERRE PROMISE de Francis Reusser (film d’ouverture)
    Suisse, Palestine / 2014 / 85 min
  • BILADI, UNE REVOLUTION de Francis Reusser
    Suisse, Palestine /1970 / 63 min
  • CAPITAINE THOMAS SANKARA de Christophe Cupelin
    Suisse, Burkina Faso / 2012 /104 min
  • KABOUL SONG de Lisbeth Koutchoumoff, Wolgrand Ribeiro
    Suisse, Afghanistan / 2014 / 52 min
  • SPARTIATES de Nicolas Wadimoff
    Suisse, France / 2014 / 80 min

LES 50 ANS DE L’EMIGRATION MAROCAINE EN BELGIQUE

En partenariat avec le Festival de Cinéma Méditerranéen de Bruxelles et avec le soutien des différentes institutions de la région Wallonie-Bruxelles, nous consacrerons un programme thématique aux 50 ans de l’émigration marocaine en Belgique à travers une sélection de courts et longs métrages réalisés à l’occasion de cet anniversaire :

  • PATIENCE, PATIENCE. T’IRAS AU PARADIS de Hadja Lahbib (film de clôture)
    Belgique / 2014 / 85 min
  • QUE SONT-ILS DEVENUS ? NOS REVES… de Fouzia Boumedian
    Belgique / 2014 / 52 min
  • LES PETITES MAISONS
    Belgique / 2014 / 25 minutes

CATALOGNE

Un autre focus sera consacrée à la production documentaire catalane récente, en partenariat avec la ville de Barcelone et la région Catalogne dont le FIDADOC accueillera une importante délégation professionnelle venue participer à toutes nos activités et rencontrer leurs homologues marocains.

BUGARACH de Ventura Durall, Salvador Sunyer et Sergi Cameron Allemagne, Espagne / 2014 / 94 min

EDUCATION A L’IMAGE

Séances scolaires

Depuis la création du FIDADOC, notre salle principale accueille en matinées des projections destinées aux enfants de la ville. Ces séances animées par le comédien Ammi Driss bénéficient chaque année à plusieurs centaines d’élèves de 8 à 12 ans.

Cette année, deux courts métrages sont au programme :

  • POUSSES DE PRINTEMPS de Intissar Belaïd
    Tunisie / 2014 / 23 min
  • MALEK MEANS ANGEL de Lea Hjort Mathiesen
    Danemark / 2014 / 28min

Résolument tournée vers la jeunesse, notre manifestation accueille également à sa première séance de l’après-midi, des groupes de collégiens et de lycéens.

Nous poursuivrons la diversification des bénéficiaires de nos programmes d’éducation à l’image en impliquant d’autres structures éducatives comme le conservatoire ou les clubs de sport.

PROGRAMMES THEMATIQUES

Université Ibn Zohr

Comme chaque année, le festival est fortement présent au sein de l’Université Ibn Zohr : chaque soirée, nos séances au Complexe municipal Jamal Addora sont fréquentées par plusieurs centaines d’étudiants, tout comme nos projections en journée dans différents établissements supérieurs.

Une programmation élaborée avec la communauté éducative, enseignants et associations d’étudiants. Les thématiques des films rejoignent leurs centres d’intérêt comme les enjeux de la mondialisation, la situation au Proche-Orient, ou font écho au contenu de certains Masters de l’Université : migrations et développement durable, nouveaux médias…

Séances hors-salles

Grâce à nos unités de projection mobiles, notre manifestation irrigue tout le territoire de la commune urbaine d’Agadir, organisant des projections en journée dans les maisons de quartier, complexes municipaux, locaux associatifs ou éducatifs.

Une programmation composée de films principalement arabophones issus de notre sélection officielle, complétée par d’autres films choisis pour leur thème (droits des femmes, la protection de l’environnement), en accord avec la communauté universitaire et le tissu associatif local.

  • BONDY BLOG, PORTRAIT DE FAMILLE de Julien Dubois
    France / 2015 / 52 min
  • QUIVIR de Manutrillo
    Espagne, Maroc / 2014 / 59 min
  • MOTHER 0F THE UNBORN de Nadine Salib
    Egypte, Emirats-arabes-unis / 2014 / 85 min
  • THE DREAM OF SHAHARAZAD de François Verster
    Afrique du sud, Egypte, France, Pays-Bas, Jordanie / 2014 /107 min

Publié 29 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Art, Cinéma, Festival

FIDADOC : Festival International de Film Documentaire à Agadir : 7ème édition du 4 au 9 mai 2015

Une conférence de presse avait lieu cet après-midi pour présenter la 7ème édition de ce festival dont l’esprit reste fidèle au credo de sa créatrice Nouzha Driss :

« Nous croyons qu’il ne peut y avoir de développement économique sans développement social et culturel. Vecteur idéal pour sensibiliser les citoyens aux valeurs humanistes, le cinéma documentaire répond à ce besoin de construire et d’affirmer une identité.« 

L’événement nous a été présenté par :

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de gauche à droite : Hicham Falah : Délégué général, directeur artistique,  Lamia Faridi : Avocate, Association Femmes du Sud, Commission Régionale des Droits de l’Homme  et Hakima Moubsete : Coordinatrice générale.

Hicham Falah

Hicham Falah

Lamia Faridi

Lamia Faridi

Hakima Moubsete

Hakima Moubsete

Le FIDADOC sera l’occasion de consolider son statut de première manifestation cinématographique marocaine exclusivement dédiée aux films documentaires, en affirmant son ancrage local, son rayonnement national et sa reconnaissance internationale.

Comme chaque année, le FIDADOC est parrainé par une ou des personnalités éminentes de la famille mondiale du cinéma documentaire et, cette année, le parrain sera Luciano Barisone, journaliste suisse et critique de cinéma pour la presse spécialisée, très actif dans le milieu des ciné-clubs, directeur du festival Visions du réel de Nyon dont la 46ème édition s’est déroulée le mois dernier.

LE JURY ET LES PRIX

Composé de quatre personnalités marocaines et étrangères reconnues pour leur engagement au service de la culture en général et du cinéma documentaire en particulier :

  • Karim BOUKHARI (Maroc)
    Journaliste, écrivain
  • Meritxell BRAGULAT VALLVERDU (Espagne)
    Directrice de festival (Mostra i el cinéma àrab i mediterrani de Barcelone)
  • Marianne KHOURY (Egypte)
    Réalisatrice,   productrice   (Misr  International  Films),   exploitante   (Cinéma Zawya)
  • Marie-Clémence ANDRIAMONTA PAES (Madagascar, France)
    Auteure, réalisatrice, productrice (Laterit Productions)

Le jury professionnel attribuera :

  • Le Grand Prix « Nouzha Drissi » (Dotation d’une valeur de 30.000 MAD)
  • Le Prix spécial du Jury (Dotation d’une valeur de 15.000 MAD)
  • Le Prix des droits humains (Dotation d’une valeur de 10.000 MAD)

Notre partenaire officiel attribue Le grand Prix TV2M à son film coup de cœur (Achat d’une valeur de 55.000 MAD)

Un jury composé de cinéphiles gadiris et des participants à la Ruche documentaire vote pour le Prix du public « Nourredine Kachti »


 

FIDADOC

10 FILMS SERONT PRESENTES EN COMPETITION INTERNATIONALE

15 FILMS SERONT PRESENTES EN SEANCES SPECIALES :
Panorama Maroc
(4 films)
Focus Suisse (5 films)
Les 50 ans de l’émigration marocaine en Belgique
(3 films)
Catalogne
(1 film)
Education à l’image :
Séances scolaires (2 films)

Programmes thématiques : Séances hors-salles (4 films)


 

Fiche technique de la 7ème édition

Dates ; Du 04 au 09 mai 2015

Budget prévisionnel : 3 millions de dirhams

Espaces associés :

  • Hôtel de ville d’Agadir (Salle Brahim Radi, 400 fauteuils) : cérémonies d’ouverture
    et de clôture, projections de la Compétition internationale, de séances spéciales et
    d’éducation à l’image ;
  • Complexe municipal Jamal Adorra (500 places) : soirées thématiques destinées
    aux étudiants de l’Université Ibn Zohr ;
  • Salle de conférence de l’Hôtel Tivoli : activités de la Ruche documentaire et
    Rencontres professionnelles ;
  • Université Ibn Zohr (amphithéâtres de différents établissements supérieurs) :
    programmes thématiques ;
  • Espaces municipaux et associatifs : programmes de projections hors salles et en
    plein air ;
  • Commission régionale des droits de l’Homme : Séminaire sur l’Action culturelle,
    Etats généraux du documentaire ;
  • Jardins Olhao : Déjeuners et Rencontres professionnelles.

Nombre de films : 30 films dont 25 longs-métrages

> Pour tous les films présentés en sélection officielle, nous invitons l’auteur ou un autre membre de l’équipe à débattre avec le public.

Nombre d’invités attendus : 175 (Dont la moitié venus de i’étrangers)

Jurés, parrains : 10 (7) ;

Equipe des films : 30 (25) ;

Experts et intervenants aux activités professionnelles : 40 (25) ;

Presse : 25 (8) ;

Partenaires : 15 (5) ;

Ruche   documentaire:   15   porteurs   de   projet   et  40   participants   (étudiants   et

responsables pédagogiques).

Nombre de spectateurs visés : 15.000.

Nombre    de    médias    attendus :    40    locaux,    15    nationaux,    5 internationaux.


 

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Le FIDADOC en bref

Manifestation : Festival International de film Documentaire à Agadir
Organisateur : Association de Culture et d’Éducation par l’Audiovisuel
Date de création : 2008
Périodicité : annuelle
Devise : L’élitisme pour tous

Présidente du Festival : Hind Saïh
D
élégué général, directeur artistique : Hicham Falah

Le FIDADOC est membre du réseau AFRICADOC, de la Coordination des Festivals méditerranéens (Festmed) et de la Fédération des Festivals Internationaux de Cinéma du Maroc.

Présentation courte :

Le Festival international du film documentaire d’Agadir (FIDADOC) est la première manifestation cinématographique marocaine exclusivement dédiée aux films documentaires de création.

Sa programmation est composée d’une Compétition internationale, de séances spéciales (Panorama Maghreb/Machrek/Afrique Centrale et de l’Ouest, Cartes blanches à nos parrains et manifestations partenaires), de programmes thématiques destinés aux enfants, aux étudiants et aux associations de la ville d’Agadir, ainsi que des projections en plein air dans les quartiers périphériques.

La Ruche documentaire regroupe elle, toutes les activités pédagogiques et à vocation professionnelle organisées dans le cadre du FIDADOC (séances d’éducation à l’mage, master class, résidences d’écriture, ateliers, rencontres professionnelles), avec l’objectif, partagé par notre partenaire officiel TV2M, d’identifier les documentaristes marocains de demain et de les accompagner dans la concrétisation de leurs projets.

 

Affiches : El Mehdi El Ouazzani
Photos Michel Terrier

 

 

Publié 28 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Art, Cinéma, Festival

Agadir / Régionalisation : La CGEM recentre ses troupes

par Fatiha Nakhli – leconomiste.com- 27/04/2015

Photo M. Terrier

Photo M. Terrier

  • La déconcentration pour contrecarrer la lenteur administrative
  • L’implication collective pour la prospérité régionale

La régionalisation avancée doit s’accompagner d’une large déconcentration pour un système de gouvernance plus efficace, basé sur l’approche territoriale. Une idée débattue lors de l’assemblée générale ordinaire (AGO) de la Confédération générale des entreprises marocaines (CGEM), région Souss Massa, qui eu lieu jeudi dernier à Agadir.
Pour les participants, le transfert des compétences du centre vers les services déconcentrés peut donner une forte impulsion à la dynamique entrepreneuriale dans la région. «Pour éviter les pesanteurs administratives qui retardent le démarrage des projets, la déconcentration doit accompagner la régionalisation», explique Brahim Hafidi, président de la région Souss Massa. «Les représentants des ministères au niveau régional doivent avoir le pouvoir d’activer les procédures pour éviter la lenteur administrative», a-t-il ajouté. Le fait étant que la gestion de proximité est la condition sine qua non pour booster le développement local et lui donnner un rythme adéquat. Dans cette nouvelle vision de développement, la région est donc un élément structurant et non plus un simple organe d’opérationnalisation des programmes de développement nationaux.
Au cours de cette rencontre, la CGEM a présenté ses réalisations 2014/2015 pour développer l’attractivité régionale et encourager l’entrepreneuriat. «Nous sommes plus que jamais concernés par le développement de notre région et par l’influence des perspectives d’avenir qui se profilent sur le court, moyen et long terme», a déclaré Yassine Rhanmouni, président de la CGEM Souss Massa. «L’implication des adhérents et des commissions au sein de la CGEM est la seule garantie pour asseoir une position forte et compétitive dans la région», a-t-il ajouté. Rhanmouni a aussi mis en avant «l’intelligence collective» en tant qu’atout pour faire face aux aléas socio-économiques, à la pression fiscale et sociale, aux retards de paiement, à la concurrence déloyale et à l’économie parallèle.

. Ainsi qu’à l’environnement mutant et au manque de ressources financières et de liquidité par lesquels passent la majorité des entreprises. La prospérité et le développement de la région sont ainsi tributaires de l’intelligence individuelle combinée et orientée vers un même sens.
Dans le cadre de sa politique de communication pour le renforcement du partenariat avec les consulats d’Agadir, de multiples réunions de travail ont été organisées pour la promotion des échanges économiques avec les représentations consulaires de France et d’Espagne. Le but de ces séances étant la consolidation des liens de partenariat, au profit des membres de la CGEM SM tels que le traitement des rendez-vous et l’octroi des visas d’affaires. L’intérêt est aussi donné au volet social. Notamment via la mise en place du comité régional de l’environnement des affaires (CREA). Ainsi qu’à travers la signature du pacte de médiation sociale, levier incontournable pour l’instauration d’une paix sociale propice à l’investissement.

Requalification

Afin de remonter les besoins en métiers décelés par les opérateurs économiques de la région pour une meilleure correspondance entre la formation de requalification et l’emploi, la CGEM a été sollicitée en tant que partenaire privé. Ainsi, en février et mars derniers, une série de rencontres a été organisée par le comité de pilotage, représenté par les différentes commissions de l’antenne régionale du patronat, dans le but de statuer sur les besoins en métiers. Une action qui rentre dans le cadre du projet initié par le gouvernement visant la requalification en vue de la réinsertion des diplômés des universités marocaines et co-piloté par les universités et l’OFPPT.

Publié 28 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Entreprises

Pêche sardinière au Sud : La grève des pêcheurs continue !

Par NAIMA CHERII – leseco.ma – 27/04/2015

Sardinier

Depuis plus de deux semaines, quelque 1.200 marins pêcheurs sardiniers, aux ports de Tan-Tan, Agadir, Sidi Ifni et Laâyoune, sont en arrêt d’activité.

Décidément la mobilisation ne faiblit toujours pas chez les représentants de la pêche sardinière dans les provinces du Sud (www.leseco.ma). Depuis plus de deux semaines, quelque 1.200 marins pêcheurs sardiniers, aux ports de Tan-Tan, Agadir, Sidi Ifni et Laâyoune, sont en arrêt d’activité et visiblement ils ne sont pas prêts à baisser les bras. En effet, dans les milieux professionnels, on ne cesse de mobiliser l’ensemble des pêcheurs, dont certains n’ont pas encore rejoint le mouvement des contestataires. Pour l’heure, ce mouvement concerne quelque 400 barques opérant dans la pêche sardinière. «Jeudi 16 avril, on devait reprendre l’activité, mais les responsables de la tutelle n’ont pas répondu favorablement à nos revendications», lance un opérateur de Tan-Tan. Mercredi dernier, ajoute la même source, une réunion a été organisée, au niveau de la région Souss-Massa-Drâa, en présence du président de la région, Brahim Hafidi, et des représentants de la pêche sardinière, en vue de convaincre les contestataires pour reprendre l’activité. Mais en vain, aucune avancée n’a été enregistrée. En fait, la colère des pêcheurs protestataires s’explique par «l’utilisation des contenants normalisés».

A en croire les pêcheurs, pour chaque barque qui pêche 55 tonnes de poisson, les marins doivent mettre 35 tonnes dans des caisses en plastique, chose qu’ils refusent. «Au final, ce sont des efforts inutiles, puisqu’ils sont obligés de vider leurs caisses et vendre le produit, en vrac, aux industriels de la farine. C’est dire le temps perdu pour les marins à mettre le poisson dans des contenants normalisés, et, arrivés au port, être obligés à les vider». Ce n’est pas tout, le prix est un autre élément de déception.  «Ils pensaient que leur produit, une fois valorisé dans des contenants normalisés, ils allaient le vendre à 4 dirhams le kilogramme, comme l’avaient, d’ailleurs, déclaré, il y a deux ans, les responsables de la tutelle. Or, le prix de vente se limite à seulement à 2,40 dirhams», a-t-on argué.

Publié 28 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Pêche

Les «chibanis» de France : Questions à Salem Fkire, Président de l’Association CAP SUD MRE

par JAOUAD MDIDECH – lavieeco.com – 28/05/2015

«Même Devoir de contribuable,donc même Droit», L’Association CAP SUD MRE a vu le jour en mai 2010 à Agadir, avec l’ambition de servir de passerelle reliant les Marocains Résidents à l’Étranger à leur pays d’origine.

Salem-Fkire

La Vie éco : D’abord un mot sur votre association…

L’Association CAP SUD MRE a vu le jour en mai 2010 à Agadir, avec l’ambition de servir de passerelle reliant les Marocains Résidents à l’Étranger à leur pays d’origine. Elle est composée de chefs d’entreprise MRE qui ont fait le choix d’investir au Maroc et d’élus de la République de différentes tendances politiques. Ce qui nous confère une grande autonomie pour défendre nos convictions auprès des différentes instances marocaines et françaises.

Notre démarche participative est une réponse à l’appel du discours royal du 9 mars 2011 et du 20 août 2011, invitant la société civile à s’inscrire dans le processus démocratique amorcé. Elle est aussi une démonstration claire de l’implication des MRE dans la vie politique pour la construction du nouveau Maroc. Cap Sud MRE aime à dire qu’elle est apolitique, voulant influencer les politiques et qu’elle n’a surtout pas la prétention de représenter les MRE. Elle est néanmoins représentative par sa composition, ses objectifs et les revendications qu’elle met en avant. Sa devise, comme a dit Nelson Mandela, est «ce qui est fait pour moi, sans moi, est contre moi».

Qu’en est-il, en fait, de cette fameuse question de couverture sociale ?

L’assurance maladie ou sécurité sociale (visites médicales, urgences, médicaments…) est un gros problème qui nous chagrine à plus d’un titre. Car, bien que la pension de retraite soit exportable, la couverture de la sécurité sociale est soumise à une obligation de résidence, ce qui, de facto, empêche nos retraités de revenir définitivement. En effet, dès qu’ils dépassent 183 jours hors du territoire français, leurs droits sont suspendus (article de loi du code de la sécurité sociale L-311-7). Il est important de rappeler que nous parlons de retraités, donc d’anciens salariés, donc de contribuables. Cette précision est importante, car tout salarié a un devoir de contribution pour bénéficier des mêmes droits.

Autrement dit, un Marocain ayant travaillé toute sa vie en France, ayant cotisé pendant toute sa carrière pour avoir droit à une couverture sociale, ne peut pas bénéficier, ni ses ayants droit, d’une assurance maladie dans son pays d’origine, s’il décide un jour de s’y installer définitivement.

Cette disposition est plus qu’indispensable, au vu de la précarité des emplois qu’ont eue nos pères. Donc, oui à l’exportabilité de la pension de retraite et oui à la couverture de la sécurité sociale !

Les Français retraités ne sont-ils pas concernés ?

Si, justement, d’où notre mobilisation importante, car, depuis le 1er janvier 2014, un article de loi du code de la sécurité sociale L-311-9 a été promulgué exclusivement pour les retraités français, leur permettant de bénéficier de leur couverture de sécurité sociale sans la condition de résidence, et ainsi de résider de manière définitive hors de France et hors communauté européenne. Ainsi un Français a la possibilité de vivre sa retraite au Maroc sans aucune condition de temps et de bénéficier de sa couverture sociale sans aucune entrave, ce qui actuellement n’est pas le cas de son homologue marocain.

Donc, effectivement, nous pouvons dire que ceci est une loi anticonstitutionnelle et nous demandons une extension et une mise en conformité avec les principes d’équité que la France doit à tout contribuable. Les travailleurs marocains ont contribué à l’essor industriel de la France, ils ont cotisé comme les Français, donc, on leur doit les mêmes droits.

Même Devoir de contribuable, donc même Droit.

Publié 28 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Associations

Abdellatif Lâabi, nommé président d’honneur du Festival des poésies marocaines qui aura lieu en mai prochain à Agadir

par Mehdi Ouassat – libe.ma – 27/04/2015
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Le poète marocain Abdellatif Lâabi sera le président d’honneur de la 7ème édition du Festival Founoun des poésies  marocaines chantées, qui aura lieu du 5 au 7 mai prochain à Agadir, à  l’initiative du Forum «Founoun pour la culture et la création».
L’édition actuelle de cet évènement placée sous le signe « Les Elles de la Poésie », mettra en  exergue la créativité artistique de la femme, aussi bien aux niveaux pictural poétique qu’artistique, indique un communiqué des organisateurs. «Cette manifestation ambitionne de « conjuguer les arts de la créativité  féminine, faire connaître et reconnaître notre créativité poétique dans sa  diversité linguistique, culturelle et cultuelle, honorer la femme dans toutes  ses créations et dans toutes ses expressions», indique un communiqué des organisateurs.
Au programme figurent deux tables rondes, la première sera articulée autour  de «La poésie et la spiritualité» et de «La femme dans la poésie hassanie»,  alors que la seconde sera axée sur «L’évolution de la poésie amazighe» et «La femme dans la poésie amazighe». Outre une exposition artistique de femmes peintres d’Agadir et une  exposition de publication de l’IRCAM, cette édition sera émaillée de lectures  poétiques réunissant des voix féminines d’un Maroc pluriel, comme Touria Ikbal,  Alya Mae Lâaynine, et Khadija Arouhal.  Les organisateurs prévoient également de rendre hommage à Jocelyne Lâabi, épouse du poète marocain.
Il est à rappeler qu’Abdellatif Laâbi est né en 1942, à Fès. Son opposition intellectuelle au régime lui vaut d’être emprisonné pendant huit ans. Libéré en 1980, il s’exile en France et vit depuis 1985 en banlieue parisienne. Son vécu est la source première d’une œuvre plurielle (poésie, roman, théâtre, essai) située au confluent des cultures, ancrée dans un humanisme de combat, pétrie d’humour et de tendresse.
Tout au long de son parcours individuel et littéraire, le poète a contribué de façon notoire, à la fois par ses textes et sa personne, au rayonnement de l’identité et de la littérature marocaines, et la reconnaissance de cette contribution s’est vue couronnée par le Prix Goncourt de la poésie en 2009 et par le Grand Prix de la Francophonie de l’Académie française en 2011. Abdellatif Laâbi appartient à cette catégorie de poètes dont les histoires personnelles épousent les parcours littéraire et poétique.
Parmi ses œuvres, publiées en majeure partie aux Editions de la Différence: L’Œil et la nuit (2003), Le Chemin des ordalies (2003), Chroniques de la citadelle d’exil (2005), Les Rides du lion (2007), Le Livre imprévu (2010), pour les romans ; pour la poésie : Le soleil se meurt (1992), L’Etreinte du monde (1993), Le Spleen de Casablanca (1996), Les Fruits du corps (2003), Tribulations d’un rêveur attitré (2008), œuvre poétique I et II (2006; 2010). Par ailleurs, les éditions Gallimard ont publié son roman Le Fond de la jarre (2002; collection Folio 2010).
Ses œuvres sont traduites en plusieurs langues, dont l’arabe, l’espagnol, l’anglais, l’allemand et le turc. Il a, par ailleurs, traduit en français les œuvres de plusieurs poètes et écrivains de langue arabe (Mahmoud Darwich, Abdelwahab Al-Bayati, Samih Al-Qassim, Mohamed Al-Maghout, Ghassan Kanafani…)
Prix et distinctions

-Prix de l’amitié franco-arabe (1970)
-Prix international de poésie, décerné par la Fondation nationale des arts, Rotterdam (1979)
-Prix de la liberté, parrainé par le Pen Club français (1980)
-Prix Albert Droin de la Société des gens de lettres de France (1981)
-Prix Fonlon Nichols de l’ « African Literature Association » au USA (1999)
-Prix de poésie Wallonie-Bruxelles (1999)
-Prix de l’Afrique méditerranéenne de l’ADELF (2002)
-Prix Alain Bosquet, pour l’ensemble de son œuvre (2006)
-Prix Naïm Frashëri, décerné par le Festival international de poésie de Tetovo, Macédoine (2008)
-Prix Robert Ganzo de poésie (2008)
-Prix Goncourt de poésie (2009)
-Prix international de littérature francophone Benjamin-Fondane, de l’Institut culturel roumain, Paris (2011)
-Grand Prix de la Francophonie, décerné par l’Académie française (2011)
-Prix du Club arabe libanais (2014)
-Prix Ecritures et Spiritualités (2015)

Publié 27 avril 2015 par Michel Terrier dans Agadir

Le semi marathon d’hier à Agadir.

Ils étaient nombreux ce matin à prendre le départ du semi-marathon d’Agadir, avec pour certains l’envie de se prouver qu’ils pouvaient le faire !

J’ai fait, moi aussi le parcours entier (21,… km), mais, je l’avoue, assis à l’arrière d’un camion (!!!) pour pouvoir vous présenter des photos.

En voici déjà une cinquantaine, mais vous pourrez en voir (et télécharger) beaucoup plus en cliquant sur le lien ci-dessous (il vous faudra un peu de patience : 180 photos en haute définition, ça prend du temps !!)

https://onedrive.live.com/redir?resid=c968de7e7222f946!9742&authkey=!AKvjLwJ4XmvaWvg&ithint=folder%2cJPG

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Coucou Silvia !IMG_8581

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L’UFE alignait une belle et nombreuse équipe !IMG_8672

 

Publié 26 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Sport

La Cigogne Volubile 2015

if-maroc.org

Le printemps des livres jeunesse au Maroc

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Dédiée aux jeunes lecteurs de 4 à 12 ans, La Cigogne volubile a pour objectif cette année de sensibiliser le jeune public aux questions d’écocitoyenneté et de biodiversité. Parce que la littérature jeunesse aide les plus jeunes à grandir et à construire leur regard sur le monde, parce qu’elle enchante leur univers et pose des questions sérieuses, petits et grands sont conviés à ouvrir grand leurs yeux et leurs oreilles et à participer aux nombreuses activités.

HALIMA HAMDANE est née au Maroc où elle fait des études de lettres et enseigne le français au collège puis au lycée. En 1986, elle s’installe en France. Sa rencontre avec le conteur Henri Gougaud va la réconcilier à la fois avec le conte et sa langue maternelle. Elle raconte en arabe et en français, puise dans la littérature orale marocaine la majorité des histoires qu’elle partage.

BRUNO PILORGET. Après les Beaux-Arts de Lorient, il se lance en auto-didacte dans l’illustration. Il débute chez Gallimard en 1981, illustre plus d’une centaine de romans, contes et albums chez différents éditeurs, des incontournables comme Le vieil homme et la mer ou l’Odyssée, albums pour tout-petits ou encore ouvrages de science-fiction. Il met les mots en image en utilisant des tons très colorés.

RUDY MARTEL. Après des études de gestion du patrimoine culturel, il change de carrière pour devenir journaliste à la radio. Son expérience radiophonique dure quatre ans et il rejoint ensuite Benjamins Médias. Fondée en 1987 par des professionnels de la culture, cette maison d’édition crée et diffuse des livres sonores pour enfants.

SOPHIE RUHAUD. Vit du côté de Guérande où elle est professeur de français, chroniqueuse de bouquins avec le site “Callioprofs” et écrivain. Elle est l’auteure de plusieurs romans comme La Saveur des figues, 14-14 ou encore Fortune Cookies, Féelure et Le Manoirenfolie. Elle est co-directrice du Guide des éditeurs de l’imaginaire, à destination des jeunes auteurs. Silène écrit également sous les noms de Silène Edgar et de George Silène.

Du jeudi 14 au samedi 16 mai à l’Institut français
Entrée libre

Publié 25 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Littérature

Tournoi Universitaire de Tennis en mai à Universiapolis Agadir

 

 

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Universiapolis organise du 06 au 22 Mai 2015 le tournoi universitaire de Tennis à Agadir !

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Publié 25 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Sport, Université

La foire aux livres – Ouvrages à petits prix

if-maroc.org

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Pour la troisième année consécutive, la médiathèque de l’Institut français d’Agadir organise sa “Foire aux livres” le samedi 9 mai de 10h à 17h30.

La médiathèque vous offre ainsi la possibilité d’acquérir à petits prix les ouvrages qui ont fait l’objet du “désherbage” annuel ! Vous pourrez dénicher toutes sortes d’ouvrages sur l’économie, les sciences sociales, la bande dessinée, le roman, les essais…

Pour faire de bonnes affaires, il faut venir tôt et farfouiller sans répit. Surtout, n’oubliez pas de venir avec vos sacs et cartons pour pouvoir tout remporter chez vous !

Samedi 9 mai de 10h à 17h30 à l’Institut français d’Agadir

Publié 25 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Littérature

FESTIVAL INTERNATIONAL DU THÉÂTRE UNIVERSITAIRE D’AGADIR

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La vingtième édition du Festival international du théâtre universitaire d’Agadir (FITUA), initiée par la Faculté des lettres et des sciences humaines relevant de l’Université Ibn Zohr, aura lieu du 25 au 28 avril sous le signe «vers une consécration de la créativité et du dialogue entre les sensibilités théâtrales». Placée sous le Haut Patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, cette édition sera marquée par la participation de neuf troupes théâtrales universitaires du Maroc et de l’étranger, sur un total de 26 demandes de participation parvenues au comité d’organisation, indique un communiqué de la Faculté.

Le public aura ainsi l’occasion de suivre neuf pièces théâtrales présentées par l’Université Ibn Zohr, représentée par la Faculté des lettres et l’ENCG Agadir, la Faculté des lettres Aïn Sbâa de Casablanca, en plus d’autres pièces en provenance de la Palestine, Égypte, Tunisie, Tchéquie, Russie, Italie et d’Espagne. Outre une conférence sur «théâtre et médias» animée par des spécialistes et des enseignants chercheurs, cette édition sera ponctuée par des hommages aux artistes Bouchra Ahrich et Mustapha Khoumays.

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Publié 25 avril 2015 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Art, Théâtre, Université