Archives de janvier 2014

Les Musicales d’Agadir au Sofitel Thalassa Sea & Spa

Ce soir, Daniel Karbownik directeur du Sofitel Thalassa Sea & Spa nous accueillait pour un concert : « Virtuose » donné par les solistes de  l’ensemble instrumental de Paris dans le cadre des Musicales d’Agadir.

Un nouveau concept musical pour l’animation du festival «Les Musicales d’Agadir» a été mis en place par le Conseil Régional du Tourisme du Souss-Massa-Drâa en partenariat avec l’Office National Marocain du Tourisme. En se focalisant sur le thème de la musique méditerranéenne, les organisateurs proposent plusieurs soirées dans différents hôtels de la ville.

IMG_0872

Les solistes de l’Ensemble Instrumental de Paris ont ravi l’auditoire par leur interprétation en particulier Christian Ciuca au violon et Cornel Pana à la flûte de Pan qui joue de cet instrument avec une virtuosité étonnante.

Quelques photos prises pendant ce concert :IMG_0875

IMG_0876

IMG_0878

IMG_0880

IMG_0881

IMG_0882

IMG_0886

et, à la fin du concert, Daniel Karbownik nous  a fait le plaisir d’interpréter avec maestria une chanson de Claude Nougarot : Cécile.

IMG_0896

Photos M. Terrier

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Musique

Grand écran et relations femmes-hommes Festival international de film documentaire à Agadir

MAP – libe.ma

.

.

La 6-ème édition du Festival international de film documentaire  (FIDADOC), initiée par l’Association de culture et d’éducation par l’audiovisuel (ACEA) aura lieu, du 28 avril au 04 mai prochains, à Agadir.
« Première manifestation cinématographique marocaine exclusivement dédiée aux films documentaires, le FIDADOC est devenu au fil des éditions le rendez-vous incontournable des passionnés du genre dans notre pays », a-t-on indiqué dans un communiqué de l’ACEA.
 Sa programmation, qui est « reconnue par le public comme les professionnels pour son exigence artistique », comprend « une compétition internationale, un panorama et des séances spéciales (cartes blanches, hommages, ciné-concert), outre des projections en plein air dans les quartiers d’Agadir et la région de Souss-Massa-Drâa, ajoute-t-on de même source.
« Tourné résolument vers la jeunesse, le FIDADOC propose également des séances thématiques spécifiquement destinées aux écoliers et collégiens de la ville ainsi qu’aux étudiants de l’Université Ibn Zohr », poursuit cette source.
Cette 6e édition se déroulera sous le parrainage de deux personnalités éminentes, en l’occurrence le réalisateur français Nicolas Philibert et la programmatrice libanaise Rasha Salti (Festival international de Toronto), précise le communiqué, en ajoutant : « Ils seront présents à Agadir tout au long de la semaine, pour partager leur passion du cinéma documentaire avec nos spectateurs et les apprentis cinéastes venus de tout le Maroc participer à la ruche documentaire ». 
Au menu de cette programmation, une large place sera dédiée à une thématique dont les échos résonnent fortement dans la société marocaine, à savoir : « Les relations entre les femmes et les hommes à travers le monde », en particulier « l’évolution de leurs rôles respectifs ».
Y sera également mis en valeur « le dynamisme de la création documentaire chez nos voisins du Maghreb et du Machrek », qui demeure « marquée par le métissage des genres et des supports, ainsi que « l’apport des nouveaux outils numériques de tournage et de diffusion à l’écriture cinématographique », précise-t-on.

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Cinéma, Festival

2M diffuse la 9ème édition du Concert pour la Tolérance

lavieeco.com

La 9ème édition du concert sera diffusée intégralement sur la chaine nationale 2M le samedi 1er février 2014 à 21h30.

Rendez-vous majeur et porteur de l'image et des valeurs du Maroc à l'international, le Concert pour la tolérance bénéficie d'une visibilité sans cesse élargie. Ph : MAP - See more at: http://www.lematin.ma/express/agadir-fete-le-dialogue-des-cultures_une-neuvieme-edition-tres-reussie/190949.html#sthash.n7bOPfiA.dpuf

.

La 9ème édition du concert sera diffusée intégralement sur la chaine nationale 2M le samedi 1er février 2014 à 21h30. Une occasion pour tous les spectateurs de vivre ou revivre les moments uniques de cet événement porte-étendard de la culture d’échange, de respect et de tolérance qui caractérise le Maroc depuis des siècles.

La 9ème édition du Concert pour la tolérance, qui s’est déroulée à Agadir le 9 novembre dernier, a adopté un nouveau concept scénique faisant la part belle aux rencontres et aux échanges entre les artistes. Ils se sont relayés sur une réalisation originale et créative, offrant un spectacle encore plus riche et porteur de sens. Les artistes du Concert pour la Tolérance 2013 ont assuré un show exceptionnel, faisant vibrer les plus de 200 000 spectateurs réunis pour l’occasion ont pu vivre un moment inoubliable.

Fnaire, Ribab Fusion, DJ Van, Michel Fugain, Bernard Lavilliers, Dany Brillant, Vigon Bamy Jay, Chico et les Gypsies, Brice Conrad, Mickael Miro, Vincet Niclo, Kenza Farah, Sofia Essaidi, John Mamann, Julie Zenatti, Lucenzo, Ayo, Flavel et Neto, Fafa Monteco, DJ Pat Angeli, Collectif Métissé et VV Brown se sont tous donné rendez-vous autour des messages de fraternité, de respect et de diversité culturelle.

Le Concert pour la Tolérance est un événement produit par Electron Libre Production et la chaîne publique française France 2, en partenariat avec 2M. Il est organisé par l’Association pour la Tolérance, basée à Agadir et regroupant les représentants des partenaires officiels marocains de la manifestation (Collectivité locale, 2M, RAM, ONMT, CRT d’Agadir).

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Musique

Agadir / Université Ibn Zohr – Enseignants-chercheurs : Que le meilleur gagne !

par Fatiha Nakhli – leconomiste.com

  • La 10e édition du prix pour la recherche scientifique ce 30 janvier
  • Des distinctions qui leur permettront d’avoir une visibilité nationale et internationale
.

.

30 ans au compteur et beaucoup d’initiatives au programme pour l’Université d’Agadir qui organise la 10e édition du prix Ibn Zohr pour la recherche scientifique. Une «compétition» qui crée l’émulation et pousse les enseignants universitaires à se surpasser, chacun dans sa spécialité à travers des travaux de recherche scientifique. Des efforts qui seront aussi récompensés et mis en exergue au niveau national et international, lors de la cérémonie prévue ce 30 janvier.
«L’Université Ibn Zohr poursuit sur sa lancée et confirme sa stratégie de développement de la recherche scientifique et de la valorisation des travaux de recherche des enseignants, explique Dr Omar Halli, président de l’UIZ. La reconnaissance des efforts déployés par les uns et les autres, chacun dans son domaine, est une motivation pour aller encore plus de l’avant», a-t-il ajouté.
Les prix attribués à la recherche portent sur des thèmes bien précis tels que les sciences et technologies, les sciences humaines et sociales, les sciences juridiques, économiques et de gestion. La deuxième catégorie est décernée au prix de la structure de recherche la plus productive. Ce prix concerne les activités des deux dernières années des structures de recherche accréditées relevant de tous les établissements de l’UIZ. Le troisième prix concerne la meilleure thèse de doctorat. Il est ouvert à tous les étudiants ayant soutenu leurs thèses en 2013. Enfin, le prix Ibn Zohr de distinction est réservé à tous les enseignants-chercheurs ayant obtenu une distinction nationale ou internationale durant l’année écoulée.
Pour rappel, une liste des structures de recherche accréditées pour la période 2010/2013 et des responsables des disciplines est disponible pour les établissements concernés. Notamment la faculté des sciences (FS), la faculté des lettres et des sciences humaines (FLSH), la FSJES, l’ENCG, l’EST, l’ENSA, la faculté Poly- disciplinaire d’Ouarzazate

Décentralisation

Avec 80.000 étudiants inscrits, l’Université Ibn Zohr continue sur sa politique de décentralisation. Sa capacité est donc passée de 240% à 165%. Un résultat obtenu suite à l’élargissement de l’offre avec l’ouverture d’autres structures universitaires notamment à Ouarzazate, Taroudant et à Guelmime. Récemment, l’UIZ a acquis, grâce à l’aide de la direction régionale des eaux et forêts, une superficie de 27 ha à Aït Melloul pour la construction d’une annexe. «Le choix de ce site a été déterminé par l’importance du flux d’étudiants en provenance de la préfecture d’Inezgane Ait Melloul et qui est aussi important que celui en provenance d’Agadir Ida Outanane», explique Halli. Des données précises que l’université a pu obtenir grâce à une minutieuse étude menée sur le flux des étudiants en provenance de la périphérie, réalisée par une étudiante doctorante, a-t-il ajouté. La livraison de la première tranche de ce projet, qui a nécessité un budget de 50 millions DH, est prévue pour la prochaine rentrée universitaire.

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Université

CAN Maroc 2015 : la 30e édition du 17 janvier au 7 février

MAP – lnt.ma

videoooo

La phase finale de la 30e édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) se déroulera du 17 janvier au 7 février 2015 dans les villes de Rabat, Agadir, Tanger et Marrakech, a annoncé lundi la Confédération africaine de football (CAF).

Le tirage au sort des éliminatoires de cette édition se déroulera le dimanche 27 avril 2014 au Caire en Egypte, précise la CAF sur son site internet à l’issue d’une réunion de son comité exécutif au Cap (Afrique du Sud) en marge du championnat d’Afrique des joueurs locaux (11 janvier-11 février).

Les éliminatoires se dérouleront en divers tours préliminaires ainsi qu’une phase de poule avec sept (7) groupes de quatre équipes. Les deux premières équipes de chaque groupe seront directement qualifiées pour la CAN- 2015 ainsi que le meilleur 3e des sept groupes.

La phase de groupes se déroulera entre le 5 septembre et le 19 novembre 2014.

Sur les 51 pays engagés pour ces éliminatoires, les 21 premiers au classement CAF sont qualifiés d’office pour la phase de groupe. Les sept autres participants à la phase de groupe seront connus à la suite des tours préliminaires qui se dérouleront entre mai et aout 2014.

Lors de cette réunion du comité exécutif plusieurs points étaient à l’ordre du jour dont les candidatures pour l’organisation des CAN 2019 et 2021 ainsi que les candidatures pour l’organisation du CHAN 2018 et 2020

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Agadir, Animation, Sport

Maroc : Environ 20 hôtels ouvriront leurs portes cette année

Anne-Sophie Martin – lavieeco.com

Deux nouveaux établissements à Marrakech et deux réouvertures à Agadir en plus du lancement progressif de la station Imi Ouaddar. Aucune ouverture pour la capitale, 6 projets à Casablanca.

hotel-Tanger-Maroc-(2014-01-29)

Malgré un taux d’occupation de 44% à fin 2013, et donc une rentabilité relativement faible, l’investissement touristique se poursuivra en 2014. Si des retards sont observés ici et là sur bon nombre de projets, certains hôtels ouvriront leurs portes cette année, à commencer par les destinations phare que sont Marrakech et Agadir.

Dans la ville ocre d’abord, deux unités de 5* sont attendues. Le Royal Palm, du groupe mauricien Beachcomber, en soft opening depuis décembre et jusqu’en février prochain, sera totalement opérationnel cette année. Le spa ouvrira en mars, et les deux restaurants en mars et septembre. The Baglioni Marrakech, un autre 5* de 80 chambres, sera également inauguré en 2014. Avec ces deux nouveaux établissements, Marrakech comptera un total de 71 000 lits.

A Agadir, deux hôtels, longtemps restés fermés, rouvriront leurs portes en 2014. Il s’agit de l’hôtel Salam (308 lits) et de l’hôtel Valtour (800 lits). A cela s’ajoute l’ouverture progressive de la station Imi Ouaddar du programme Biladi, avec à terme 5000 lits supplémentaires, qui démarrera cet été. A la station Taghazout, les premières livraisons, à savoir le futur hôtel Hyatt (150 chambres) et le Village des surfeurs, sont attendues pour début 2015. Le golf et son club seront achevés à la fin de cette année. A noter que la capacité actuelle de la ville est de 23 000 lits. «Le potentiel de la ville est tel qu’il faudrait 100000 lits supplémentaires pour être au niveau de destinations identiques, tel Sharm-El Cheikh. Aujourd’hui, près de la moitié des lits disponibles ne sont pas aux normes», indique-t-on sur place. 

Du côté de la capitale, aucune ouverture ne se fera cette année malgré les nombreux projets en cours. Initialement prévues pour 2013 ou 2014, certaines ouvertures ont en effet été repoussées à plus tard. Les projets en cours de réalisation comprennent le futur Ritz Carlton (120 chambres et 20 villas) au golf Dar Es Salam, le Rotana Palace (132 chambres) au complexe Bab Al Bahr, le Baccarat Hotel Rabat (135 chambres) sur l’avenue Mehdi Ben Barka, le Sun City (150 chambres et près de 20 suites) de la chaîne marocaine Atlas Hospitality à Hay Riad et le futur Marriott au centre commercial Arribat Center (185 chambres) dont l’ouverture est prévue pour 2016. Ce seront alors 1400 lits additionnels qui s’ajouteront à une capacité actuelle de 4 389 lits, avec 34 établissements classés et quelques maisons d’hôtes.

Regain de dynamisme à Fès

A Casablanca, 6 hôtels devraient ouvrir leurs portes en 2014, d’après les données non détaillées fournies par le CRT de la ville. Cela représente une capacité additionnelle de 924 lits. 11 autres projets sont à l’ordre du jour pour 2015 et 2016 et «d’autres sont à l’étude», précise le CRT.

Au nord, et même si les délégués provinciaux de Tanger et Tétouan préfèrent ne pas avancer de dates précises, l’on sait déjà que le Golden Tulip Tanger City Center (230 chambres et suites), situé dans le nouveau complexe multifonctionnel de la ville, ouvrira ses portes en mai prochain. Le complexe accueillera deux autres unités hôtelières d’ici 2015, à savoir le Hilton Hotel & Residences (182 chambres) et le Hilton Garden Inn (323 chambres). Au total, ce sont donc près de 1 500 lits supplémentaires qui s’ajouteront aux 7 920 lits que comptait Tanger à fin 2012.

A Fès enfin, ce sont pas moins de 8 établissements, de la première catégorie au 5*, qui ouvriront en 2014. 906 nouveaux lits s’ajouteront ainsi aux actuels 8 732 lits dont dispose la région Fès-Boulemane.

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Construction, Hôtellerie, Tourisme

Souss-Massa-Draâ: Pas assez de pluies pour remplir les barrages

ecologie.ma

Les réserves des barrages du Souss-Massa-Draâ sont encore à un niveau très bas malgré les dernières pluies. C’est ce qui ressort du dernier conseil d’administration de l’Agence du bassin hydraulique régional.

La répartition des apports se situe autour de 41% pour le barrage Youssef Ibn Tachefine, 45% pour le barrage Abdelmoumen, 60% pour le barrage d’Aoulouz (ci-dessus), 58% pour le barrage Imi Alkhang et de 35% pour le barrage Mokhtar Soussi

La répartition des apports se situe autour de 41% pour le barrage Youssef Ibn Tachefine, 45% pour le barrage Abdelmoumen, 60% pour le barrage d’Aoulouz (ci-dessus), 58% pour le barrage Imi Alkhang et de 35% pour le barrage Mokhtar Soussi

 

Les neuf barrages du Souss-Massa-Drâa (SMD) ont atteint, au 20 janvier dernier, 501,14 millions de m3, soit un taux de remplissage de 42% de leur volume normal de stockage. La région continue donc à faire face au stress hydrique surtout que la demande globale en eau dépasse 1.000 millions de m3/an face à une offre actuelle qui ne dépasse pas 901 millions de m3/ an.

Le bilan global offre/demande montre un déficit actuel de 136 millions de m3/an. Il devrait se situer autour de 132 millions de m3 en 2020 et 175 millions de m3 en 2030 si rien n’est fait, est-il indiqué.

Le secteur agricole est le plus consommateur d’eau avec 994 millions de m3/an dont 412 millions de m3/an d’eaux de surface et 582 millions de m3 /an d’eaux souterraines. La zone d’action de l’Office régional du Souss-Massa absorbe 889 millions de m3 par an, soit près de 90% de la demande globale. C’est dire le poids du secteur agricole sur les ressources en eau dans le Souss.

Une situation qui rappelle que l’économie de l’eau et la gestion rationnelle de la ressource sont incontournables dans la région. C’est dans ce sens que l’Agence régionale du bassin hydraulique, en partenariat avec le Conseil régional Souss-Massa-Draâ, et l’ORMVA, dans le cadre du contrat de nappe, ont mis en œuvre un programme de développement de la micro-irrigation au profit de 50.000 ha à l’horizon 2017.

Dans la région, pour faire face à la problématique de la rareté de la ressource, d’autres mesures ont été prises ces dix dernières années et les agriculteurs n’ont cessé d’innover en matière de gestion rationnelle de l’eau. Le développement de l’irrigation de précision grâce à la mise en place de la station météo sans oublier l’expérience initiée par une entreprise à Aït Amira de la culture hors-sol de la tomate, sont autant d’actions en faveur de l’économie de l’eau.

Outre l’agriculture, les besoins en la matière sont aussi importants au niveau de la demande en eau potable comme pour l’industrie. Pour ces deux volets, les besoins en 2030 de ce bassin atteindraient 250 millions de m3, soit une augmentation globale de 108% par rapport à l’état actuel. Mais ce sont les besoins en eau du secteur touristique qui devraient connaître la plus importante hausse puisqu’ils devraient passer de 14 millions de m3/an aujourd’hui à 32 millions de m3/an à l’horizon 2030.

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Eau, Environnement, Météo

Agadir: Prés de deux cents empreintes de dinosaure découvertes sur la côte d’Anza

Je vous l’avais signalé il y a quelques semaines, grâce à mon ami Adrien Andreohttp://ecologie.ma/ publie un article sur les empreintes de dinosaures à Anza.

« Ces empreintes de dinosaures dateraient d’il y’a 85 millions d’années. Un trésor historique présent sur la cote d’Anza prés d’Agadir. Visibles à marée basse, la valeur géologique de cette portion d’empreinte a été confirmée par les scientifiques.

« la valeur scientifique de ces empreintes de dinosaures, d’une extrême rareté, remontraient à une aire géologique propre à l’Afrique: l’air Tonien coniacien santonien » dixite Mr Moussa Masrour, enseignant-chercheur en paléontologie.

les premières observations relevaient quelques deux cents empreintes de dinosaures, des carnivore ayant vécus sur la cote d’Anza : un rivage à protéger, c’est ce que souhaitent les acteurs de la société civile d’Agadir.

« Nous appelons en tant que société civile toutes les autorités compétentes à  valoriser ce site en le considérant comme un site national est aussi mondial, un site qui aura sa place au sein d’un plan d’aménagement, nous souhaitons que les autorités compétentes veillent à sa préservation et à sa valorisation » dira Mustapha Habach de l’association marocaine d’orientation et de formation ciblée.

Ni exploitées ni protégées, pour le moment l’avenir de ces empreintes s’inscrit en pointillés, un coup de pouce est attendu du coté des autorités compétentes, de nombreux circonstances ont permis de les préserver jusqu’à aujourd’hui, mais jusqu’à quand ? »

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Découverte, Insolite

Trophée Hassan II et Coupe Lalla Meriem : Ça va swinguer à Agadir du 10 au 16 mars

aufaitmaroc.com

L'Allemand Marcel Siem est le vainqueur de la précédente édition du Trophée Hassan II de golf. /DR

L’Allemand Marcel Siem est le vainqueur de la précédente édition du Trophée Hassan II de golf. /DR

.

L’Association du Trophée Hassan II de Golf a a annoncé dans un communiqué que la 41e édition du Trophée Hassan II et la 20e édition de la Coupe Lalla Meryem de golf seront organisées du 10 au 16 mars 2014 à Agadir.

Les deux événements, inscrits au calendrier de l’European Tour et du Ladies European Tour, se tiendront respectivement au Golf du Palais Royal et au Golf de l’Océan, avec comme fait marquant, la célébration du 20e anniversaire de la Coupe Lalla Meryem.

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Golf, Sport

Eau potable & Oléicole Appui financier de la BID au Maroc

lematin.ma

● La Banque islamique du développement accorde au Maroc un prêt d’environ 1,8 MMDH en faveur de projets d’eau potable et du secteur oléicole
● Le président de la BID, Ahmed Mohamed Ali a réitéré la détermination de cette banque d’accompagner et de soutenir les projets de développement socioéconomique dans le Royaume.

Maroc_BID_G1

La BID a accordé mercredi un prêt d’environ 1,8 milliard de dirhams (MMDH) au Maroc pour réaliser deux projets concernant l’alimentation en eau potable dans les régions d’Agadir et Chtouka Aït Baha et le secteur oléicole pour les petits agriculteurs. Ce prêt a fait l’objet de conventions de financement signées, lors d’une cérémonie à Rabat, par le ministre de l’Economie et des Finances, Mohamed Boussaid et le président du groupe de la BID, Ahmed Mohammed Ali. Le premier projet, qui profitera à une population de plus de 1,5 millions d’habitants, portera sur le renforcement des ouvrages d’adduction d’eau potable permettant l’acheminement des eaux produites à partir de la station de traitement Tamri vers la ville d’Agadir. Il portera également sur la réalisation de systèmes d’alimentation en eau potable au profit de communes rurales au niveau de Chtouka Ait Baha, a indiqué Boussaid qui s’exprimait lors de cette cérémonie. Le deuxième projet, qui s’inscrit dans le cadre du Plan Maroc vert, triplera les revenus des petits agriculteurs et contribuera à l’amélioration de leur productivité et de leurs conditions de vie, a-t-il précisé. Le ministre a remercié la BID pour son soutien de longue durée, saluant l’excellence des relations liant le Maroc et la Banque. Un mémorandum d’entente sur la stratégie de partenariat avec le groupe de la BID a été, également, signé à cette occasion. Il donnera une impulsion aux relations marocaines avec ce bailleur de fonds, dans les domaines des infrastructures, notamment les routes, l’eau potable, les énergies et l’agriculture, selon Boussaid. Pour sa part, Mohamed Ali Ahmed a exprimé la volonté de la BID à renforcer sa coopération avec le Royaume, se félicitant des progrès économiques réalisés au Maroc grâce aux réformes et plans sectoriels de développement. Le mémorandum d’entente sur la stratégie de partenariat avec le groupe de la BID, qui a été « élaboré en concertation avec les acteurs publics et privés, s’étale sur trois ans (2013-2016) », a fait savoir M. Ahmed Ali Mohamed. Il porte sur l’amélioration de la compétitivité du Maroc, le développement rural, la promotion du secteur privé, à travers l’amélioration du climat des affaires, et sur le transfert de l’expertise et du savoir-faire marocain aux pays membres de la BID, notamment en matière du renforcement des capacités, de l’électrification rurale et de la gestion des ressources hydriques, a-t-il précisé. De son côté, le ministre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, Abdelkader Amara, a souligné l’importance des infrastructures dans l’augmentation des flux d’investissements. Amara a exprimé, à cette occasion, la disposition du Maroc à exporter son savoir-faire et son expertise dans les domaines des énergies, de la production de l’électricité et de la gestion hydrique. Durant la période 2007-2013, le volume global des engagements de la BID au Maroc a atteint environ 11 MMDH et a concerné différents secteurs notamment l’électrification, l’alimentation en eau potable, les routes et les autoroutes, la liaison ferroviaire et les ports.Maroc_BID_G2

Publié 30 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Aménagement, Développement, Eau

Agadir : Conférence sur la revitalisation de la médina de Tiznit

Hier soir avait lieu au Musée Municipal du Patrimoine Amazigh (un musée trop méconnu qui renferme des trésors de l’art et de la mémoire amazigh), une conférence organisée sous l’égide de l’Institut Français d’Agadir dans le cadre de l’Université populaire du patrimoine, sur la revitalisation de la médina de Tiznit.

De gauche à droite : M. Lahcen Boumehdi, M. Ahmed Boumzgou historien, Salima Naji architecte spécialiste de la préservation du patrimoine amazigh, et M. Abdellatif Ouammou maire de Tiznit

De gauche à droite : M. Lahcen Boumehdi, M. Ahmed Boumzgou historien, Salima Naji architecte spécialiste de la préservation du patrimoine amazigh, et M. Abdellatif Ouammou maire de Tiznit

Tiznit est un site exceptionnel classé depuis des décennies, en effet,

  • les remparts, portes et bastions de Tiznit sont classés comme monuments historiques par le Dahir du 29 safar 1351 (4 juillet 1932)
  • quelques mois plus tard, c’est le site de Tiznit tout entier qui a été classé et protégé par le Dahir du 21 châbane 1351 (20 décembre 1932)
  • en outre, un arrêté viziriel est paru le 27 chaoual 1373 (29 juin 1954) portant classement de la ville ancienne de Tiznit, qui étudiait ses zones d’extension et de protection
  • est annexé à cet arrêté, un règlement de protection de la ville ancienne qui précise les mesures à prendre en matière de construction et d’aménagement à l’intérieur de la médina.

Une conférence extèmement intéressante au cours de laquelle :

IMG_0846  M. Ahmed Boumzgou a résumé l’histoire de la ville de Tiznit pour replacer cette action de revitalisation de la médina dans son contexte historique.

.

.

.

IMG_0863  Salima Naji a expliqué comment l’ancienne prison civile a été oubliée au profit de la renaissance du site de la Kasbah Aghenaj, citadelle bâtie en 1810. Son enceinte est désormais presque complètement restaurée. La construction du musée est maintenant lancée.

Comme pour la restauration, il sera question de revisiter les procédés anciens et de poursuivre leur réhabilitation aux yeux de la population. L’essentiel, est de conserver un bâtiment parfaitement restitué, protégé et l’inscrire dans la dynamique culturelle de sa ville. La ville a porté ce projet, a entendu la réflexion sur la restauration des techniques anciennes, a sauvé le lieu et, avec ses moyens propres le met en valeur.

IMG_0869 M. Lahcen Bouhmedi a fait état des travaux déjà effectués et de ceux qui vont suivre dans différents quartiers de la médina et leur intégration dans la vie de Tiznit.

.

.

.

IMG_0871 Enfin, M. Abdellatif Ouammou, maire de Tiznit a fait état de la notion de patrimoine qui s’est considérablement élargie au cours des dernières décennies. Il faut distinguer le patrimoine matériel du patrimoine immatériel. La première catégorie comprend les édifices historiques et le patrimoine naturel, archéologique, scientifique, technique, ainsi que les diverses formes d’artisanat.

La seconde se compose des traditions orales, des coutumes, des langues, de la musique, de la danse, des rituels, des festivités, de la médecine et de la pharmacopée traditionnelle, de la gastronomie et de tout type de savoir-faire.

Dans un peu de temps, les choses ne se faisant pas toutes seules, Tiznit pourra présenter à tous un aspect resplendissant, grâce à sa médina remise en état et en valeur et sa palmeraie également réhabilitée.

Il convient de féliciter toute cette équipe qui travaille efficacement, la main dans la main, pour la préservation de ce patrimoine exceptionnel.

Photos M. Terrier

Recherche & innovation : L’UIZ d’Agadir organise les 1ères assises

MAP – lematin.ma

L’Université Ibn Zohr d’Agadir organise les premières assises de la recherche scientifique et de l’innovation

Le président de l’Université Ibn Zohr d’Agadir, Omar Halli animant un point de presse. Ph : MAP

Le président de l’Université Ibn Zohr d’Agadir, Omar Halli animant un point de presse. Ph : MAP

L’UIZ s’apprête à organiser, le 30 janvier, les premières assises de la recherche scientifique et de l’innovation, à l’occasion de la cérémonie de remise des prix Ibn Zohr aux chercheurs méritants qui coïncide cette année avec le 30e anniversaire de la création de cette université.
Cette édition sera l’occasion de travailler en ateliers sur la thématique de la recherche scientifique, son avenir et ses orientations, dans la perspective d’inciter les chercheurs à travailler dans le cadre de groupes interdisciplinaires, a affirmé le président de l’UIZ, Omar Halli, lors d’un point de presse lundi au siège de la présidence de l’université.
Ces assises devront permettre d’enclencher une nouvelle dynamique entre les chercheurs, les laboratoires, les structures de l’Université, son environnement et ses partenaires en vue de définir des stratégies précises de travail en commun sur des thématiques ayant un rapport direct avec le développement local, régional et national, a-t-il souligné.
Il a assuré que l’UIZ entend continuer sur cette tendance pour amener la communauté des chercheurs à travailler dans le cadre d’une action stratégique, au vu des cumuls et acquis réalisés par l’université en termes de recherches et de publications diverses couvrant nombre de secteurs et de spécialités.
A cet effet, Halli a relevé que le nombre de thèses soutenues à l’UIZ, devenue en 30 ans une grande institution de par son dynamisme, ses espaces et l’effectif de ses étudiants et enseignants, est passée de 300 à 600 actuellement, alors que le nombre de doctorats s’élève à 80 par an contre 35 auparavant, alors que le nombre des projets scientifiques est passé de 5 à 15.
Il a soutenu que cette dynamique de recherche, qui couvre désormais des secteurs nouveaux et pointus comme la logistique, la mobilité de la ville ou encore le patrimoine culturel et immatériel, va de pair avec l’ouverture de nouvelles filières et la publication d’articles dans les revues scientifiques, outre l’amélioration du rayonnement de l’université et de sa visibilité en termes de communication comme en termes de services et prestations fournis.
En plus d’un hommage à Mustapha Dkhissi, ancien président de l’UIZ, et à Mohamed Bouâyad, chercheur à Haliopolis, l’Université Ibn Zohr devra remettre quatre prix récompensant les efforts et travaux de ses chercheurs et structures de recherche.
Il s’agit du Prix Ibn Zohr pour la recherche scientifique, du Prix Ibn Zohr de la structure de recherche la plus productive, du Prix Ibn Zohr de meilleure thèse de Doctorat et du Prix Ibn Zohr de Distinction.

– See more at: http://www.lematin.ma/express/2014/recherche—innovation_l-uiz-d-agadir-organise-les-1res-assises/195754.html#sthash.WJgZ8T7N.dpuf

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Université

Agadir : Une cartographie des entreprises opérant dans les technologies solaires

Majda Saber – aujourdhui.ma

La MASEN (Moroccan Agency for Solar Energy) et la coopération allemande pour le développement durable (GIZ) ont organisé, récemment, une réunion de lancement de ce projet à Agadir.

La MASEN (Moroccan Agency for Solar Energy) et la coopération allemande pour le développement durable (GIZ) ont organisé, récemment, une réunion de lancement de ce projet à Agadir.

La création d’une cartographie des entreprises à potentiel dans les technologies solaires est en marche. La MASEN (Moroccan Agency for Solar Energy) et la coopération allemande pour le développement durable (GIZ) ont organisé, récemment, une réunion de lancement de ce projet à Agadir.

«Dans le cadre des efforts engagés pour favoriser le développement industriel des technologies solaires au Maroc, la Masen et la GIZ, à travers son projet «Accompagnement du plan solaire marocain (APSM), soutiennent la mise en place d’un cluster industriel en énergie solaire. Les deux partenaires ont déjà lancé plusieurs activités préparatoires en faveur du futur cluster solaire et de ses potentiels adhérents», soulignent les organisateurs.

Programmée pour le premier trimestre 2014, la première phase de ce projet est ainsi lancée. L’objectif étant de permettre l’identification des entreprises dans les secteurs de l’industrie métallique et métallurgique (IMME), électrique et électronique (IEE) et de l’industrie plasturgique (IP). Une deuxième phase sera au rendez-vous afin de répertorier les entreprises, et ce, selon leurs potentiels pour le renforcement de l’offre locale dans le domaine des technologies solaires. Par ailleurs, la troisième phase constituera la finalité de ce projet et mènera à la constitution d’un annuaire des entreprises marocaines pouvant délivrer, actuellement ou à l’avenir, des produits ou services dans l’industrie solaire.

«Cet annuaire sera notamment utilisé dans le cadre des actions que Masen et GIZ mènent en faveur des entreprises nationales souhaitant s’investir dans les technologies solaires. Il pourra aussi être mis à la disposition des développeurs de centrales solaires et des entreprises nationales ou étrangères pour d’éventuels partenariats.

A titre d’exemple, l’année dernière plusieurs actions de soutien ont été menées en faveur des entreprises: formation pour industriels et professionnels sur les technologies solaires ; mission d’information sur le solaire thermique ; séminaire sur la chaîne de valeur», expliquent les organisateurs. Le programme élaboré de l’année 2014 se focalisera sur plusieurs actions de développement et d’accompagnement de cette filière.

La première étape étant l’élaboration de l’annuaire. Par ailleurs, d’autres actions sont inscrites au programme, notamment en matière d’accompagnement, par des experts, des entreprises pour lever certaines contraintes au développement des entreprises ainsi que l’organisation de formations pratiques et de missions d’études et de partenariat au profit des industriels.

«Nous tenons à noter que seules les informations utiles à la constitution de l’annuaire seront recueillies et ne seront utilisées que dans le cadre des actions de développement industriel de la filière solaire. A cet égard, le projet APSM de la GIZ et les experts, affectés à la réalisation des différentes missions, s’engagent à traiter toutes les informations recueillies dans le cadre de ce projet avec la plus grande discrétion et dans le respect de la confidentialité», soulignent-ils.

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Entreprises

Tournée Maroc Electrik : Le meilleur de la scène de musiques actuelles

aufaitmaroc.com

La jeune scène marocaine commence une tournée intitulée “Maroc Electrik”, dédiée à la scène des musiques actuelles, du 30 janvier au 22 février, dans les salles de concert des Instituts français. Elle veut faire découvrir le meilleur de la relève des musiques actuelles, qu’il s’agisse de world fusion, rap, rock ou métal.

Une sélection des meilleurs groupes issus d'une formation de jeunes artistes de la scène des musiques actuelles sera en tournée dans 11 Instituts français, du 30 janvier (Rabat) au 22 février (Oujda). /DR

Une sélection des meilleurs groupes issus d’une formation de jeunes artistes de la scène des musiques actuelles sera en tournée dans 11 Instituts français, du 30 janvier (Rabat) au 22 février (Oujda). /DR

Un tour du Maroc en musique avec des artistes de world fusion, rap, rock et métal,  c’est la proposition de la tournée “Maroc Electrik” qui fait escale entre le 30 janvier et le 22 février dans 11 villes.

“Maroc Electrik” va, avec 24 groupes, investir le temps de 30 concerts gratuits les salles des Instituts français pour faire découvrir le meilleur de la relève de la scène des musiques actuelles, et ce, à l’issue des sessions de formation “Profession Musicien”, organisées par EAC-L’Boulvart et le label Metis Records, qui ont bénéficié à près de 150 jeunes musiciens.

Une sélection des meilleurs groupes issus de cette formation sera donc sur les scènes des 11 Instituts français de Rabat, Casablanca, Kénitra, Agadir, El Jadida, Marrakech, Tanger, Tétouan, Meknès, Fès et Oujda.

Un tour du Maroc en musique à ne pas rater dans votre ville !

Tournée Maroc Electrik :

Jours, lieux et dates de la tournée:

• Rabat: 30 janvier à 19h30 – Salle Bahnini
• Casablanca: 31 janvier à 20h00 – Théâtre 121
• Kénitra: 1er février à 18h30 – Espace Balzac
• Agadir: 6 février à 19h30 – Institut français
• El Jadida: 7 février à 19h00 – Théâtre Afifi
• Marrakech: 8 février à 18h00 – Théâtre Institut français
• Tanger: 13 février à 19h00 – Salle Beckett
• Tétouan: 14 février à 18h00 – Institut français
• Meknès: 20 février à 20h00 – Théâtre Institut français
• Fès, 21 février à 19h00 – Complexe culturel Al Houria
• Oujda: 22 février

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Musique, Spectacle

Le Trophée Hassan II et la Coupe Lalla Meryem de golf, du 10 au 16 mars à Agadir

MAP – lemag.ma

Rabat- L’Association du Trophée Hassan II de golf (ATH) a annoncé que la 41ème édition du Trophée Hassan II et la 20ème édition de la Coupe Lalla Meryem de golf auront lieu du 10 au 16 mars prochain à Agadir.

6272052-9409503

Le Trophée Hassan II sera disputé au golf du Palais Royal d’Agadir alors que la Coupe Lalla Meryem, qui fêtera ses 20 ans d’existence, sera organisée au golf de l’Océan, précise dans un communiqué l’ATH que préside SAR le Prince Moulay Rachid. 

En 2013, le Trophée Hassan II a été remporté par l’Allemand Marcel Siem. En Coupe Lalla Meryem, la victoire est revenue à la Thaïlandaise Ariya Jutanugarn. 

Le Trophée Hassan II et la Coupe Lalla Meryem sont deux épreuves du circuit européen.

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Golf, Sport

Autoroute : Le réseau étendu au-delà d’Agadir ?

ALM – soussannonces.net

Le projet de la Grande Autoroute reliant le nord du pays à l’extrême sud sera-t-il bientôt mis en pratique et dépassera-t-il le stade théorique ?

26710d701cbac2568772a11ae0ed5a2d

Toujours est-il que le ministère de l’équipement, du transport et de la logistique vient de lancer un appel d’offres qui fait jaser et spéculer une grande partie de la presse nationale. Et pour cause, l’appel concerne le contournement de la ville d’Agadir.Celle-ci a longtemps été congestionnée par le trafic de transit généré par son raccordement à la route nationale 1. D’où l’imminence de ce projet. Oui mais contourner Agadir pour aller où ensuite? Telle est la question reprise par la presse qui table sur une extension prochaine du réseau autoroutier, et son prolongement jusqu’à la ville de Guelmim. Le ministère semble considérer le projet comme vital pour le sud du Royaume. Il en va du développement socio-économique et touristique des provinces du Sud et de la consolidation de la politique de régionalisation avancée.

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Aménagement, Circulation, Transports

L’enseignement privé contribue à moins de 7 % dans la région de Souss-Massa-Drâa

libe.ma

.

.

La région Souss-Massa-Drâa (SMD) compte actuellement 203 institutions d’enseignement privé, avec un taux d’encadrement des élèves ne dépassant guère les 7%, soit un « taux en deçà des aspirations », a affirmé, récemment à Agadir, le directeur de l’Académie régionale éducation-formation Ali Berrad.

M. Berrad a souligné, à l’ouverture d’un colloque international sur « L’enseignement privé : défis et contraintes », que le Maroc compte actuellement 3800 institutions d’enseignement privé qui regroupent un effectif de 880 mille élèves, avec un taux de croissance annuel de près de 8%.
Il a assuré que le ministère de l’Education nationale ambitionne, conformément à son plan à moyen terme (2016), d’élargir l’offre pédagogique des institutions privées pour créer davantage de postes d’emploi et d’atteindre l’objectif de 20% d’élèves scolarisés.
Il a prévenu que cet objectif serait hors de portée sans un encadrement et un contrôle pédagogique et administratif conséquents, tant au niveau des programmes et manuels, des outils didactiques et des livres, que du contrôle des documents administratifs concernant les institutions, leurs employés pédagogiques, leurs dépendances sanitaires ou leurs moyens de transport.
« Parmi les défis auxquels nous sommes confrontés de nos jours, en tant que ministère, académies, délégations et parents d’élèves, il y a lieu de citer le problème des coûts obéissant à la logique de l’offre et de la demande et à la qualité des prestations exigées par les parents des élèves », a-t-il noté.
A ce propos, le même responsable a rappelé que le ministère de tutelle a publié, dès septembre 2011, une missive enjoignant aux institutions d’enseignement privé d’afficher les montants de scolarité et intimant aux directions régionales de tenir des réunions avec les associations du secteur en vue de les sensibiliser à l’impératif d’obtenir auprès des établissements concernés l’affichage des prix des différents services fournis. De son côté, Hicham Aâyich, du bureau régional SMD de l’Union de l’enseignement et de la formation libre au Maroc, la partie organisatrice de ce colloque de deux jours, a fait observer que 12% des élèves marocains poursuivent leurs études actuellement dans le secteur de l’enseignement-formation privé, notant que « ce taux peut atteindre jusqu’à 31% dans les grandes villes du pays ».
Il a également signalé que l’extension de l’offre éducation-formation privée, qui emploie plus de 15,9 mille cadres administratifs, plus de 30,5 mille agents et assistants et pas moins de 63,7 mille enseignants, est confrontée, aujourd’hui, à nombre de contraintes « requérant des mesures pratiques et audacieuses », en vue d’atteindre le taux des 20% préconisé par le Pacte éducation-formation de la dernière décennie.
Ce colloque vise, selon ses initiateurs, à jeter la lumière sur la place de l’enseignement privé, son rôle et sa position juridique au Maroc, contribuer à améliorer l’enseignement et la formation à travers l’ouverture sur des expériences internationales et l’échange des expertises et à encourager les partenariats privé-public en matière d’enseignement aux niveaux national et international.
Trois axes de réflexion sont prévus dans le cadre de cette rencontre, en l’occurrence « le curriculum de l’enseignement privé entre la libre initiative et les contraintes institutionnelles et juridiques », « l’investissement et le financement dans l’enseignement privé sur les plans national et international » et « le partenariat entre les établissements privés, l’Etat et les instances élues ».
Animés par une pléiade d’experts venus du Maroc, des Etats-Unis, de France, de Hollande, du Chili, d’Espagne, du Qatar, de Jordanie et d’Algérie, les travaux de ce colloque devraient être sanctionnés par une série de recommandations et de résolutions.

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Enseignement

Exportations : Le coup de pouce de l’EACCE aux produits du terroir

Youssef Boufous – lematin.ma

Le ministère répertorie 11 produits du terroir qui sont dotés de signes distinctifs d’origine et de qualité (SDOQ)

Le ministère répertorie 11 produits du terroir qui sont dotés de signes distinctifs d’origine et de qualité (SDOQ)

Les produits du terroir, nouveau souffle pour l’export marocain  ? Le ministère de l’Agriculture y croit. L’offre marocaine a, en effet, gagné en maturité, et l’on commence déjà à parler de bassins de production et de plateformes de stockage régionales. Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture, rencontré en marge de l’International Green Week (IGW) de Berlin, qui a clôturé ses travaux hier, dimanche 26 janvier, estime que l’offre marocaine de qualité a toutes les chances de s’imposer à l’international. L’Établissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (EACCE), qui relève du département de l’Agriculture, devra mettre la main à la pâte. Lors de l’IGW, Salon mondial de l’agroalimentaire, le DG de l’établissement, Abdallah Janati, nous a déclaré que l’EACCE va redoubler d’effort pour accompagner davantage les coopératives à l’international. Ainsi, si seulement quinze coopératives ont pu faire le déplacement à l’IGW de Berlin, l’EACCE compte doubler ce nombre pour la prochaine édition du Salon Fruit Logistica (à Berlin également), voire aussi pour les prochains rendez-vous internationaux de l’alimentaire. Déjà, pendant les 10 jours qu’a duré l’IGW, l’EACCE et sa tutelle n’ont pas lésiné sur les moyens pour l’animation d’un grand stand de 350 m2, à l’image d’une Médina marocaine, avec ses grands portails et ses arabesques. «Le budget de la com va encore augmenter pour les prochaines participations du Maroc dans ce genre de Salon», soutient le ministre de l’Agriculture.

Depuis août 2013, l’EACCE a vu ses statuts et ses attributions révisés. Ainsi, en plus de la coordination et du contrôle des exportations, l’établissement est aujourd’hui appelé à assurer le contrôle technique, particulièrement des produits agroalimentaires destinés à l’exportation et la promotion des exportations dans le secteur de l’agroalimentaire. Pour cette seconde mission, l’EACCE empiète sur les prérogatives de Maroc Export, également chargé de la promotion de l’export marocain, y compris l’industrie agroalimentaire. «Nous serons plutôt complémentaires», répond le directeur de l’EACCE, qui rappelle que ses services s’occupent uniquement de la promotion de l’agroalimentaire, alors que Maroc Export est plutôt global dans son action.

Rappelons que l’offre marocaine en produits du terroir se développe aussi à l’échelle locale. L’ex-Office de commercialisation et d’exportation (actuellement Maroc Taswiq), converti depuis peu dans le commerce équitable et solidaire (changement de statuts), se fixe comme objectif d’ouvrir le réseau de distribution aux produits du terroir pour toucher une plus large cible de consommateurs marocains et les touristes étrangers. Avec l’EACCE à l’international et l’OCE au niveau local, les produits du terroir devraient disposer de bons relais de promotion. Rappelons que le Plan Maroc vert, qui intègre une stratégie pour le développement des produits du terroir, ambitionne de doubler les exportations agroalimentaires à l’horizon 2020. 


Produits d’origine animale : dans l’attente des accords phytosanitaires

À ce jour, et depuis l’entrée en vigueur de la loi 25-06 relative aux signes distinctifs d’origine et de qualité des denrées alimentaires et des produits agricoles et halieutiques, le ministère répertorie 11 produits du terroir qui sont dotés de signes distinctifs d’origine et de qualité (SDOQ), dont un label agricole. Il s’agit des produits de l’Argane de la région de Souss Massa Drâa, de l’Huile d’olive «Tyout-Chiadma» de la région de Marrakech Tensift Al Haouz, de la Clémentine de Berkane, du Safran de Taliouine, des dattes Majhoul de Tafilalet, de la viande agneau Béni Guil (région de l’Oriental), de la grenade Sefri Ouled Abdellah (région de Tadla Azilal), de la figue de Barbarie d’Aït Baâmrane, du fromage de chèvre de Chefchaouen et de la Rose de Kélâat M’Gouna-Dadès, ainsi que le label agricole Agneau Laiton.
La majorité de ces produits s’exportent, notamment, vers l’Europe. Mais certains, comme le fromage de chèvre de Chefchaouen, ont du mal à accéder au marché européen (il n’a pas pu être exposé à l’IGW de Berlin, l’Allemagne considérant ce produit d’origine animale). En cause, les normes phytosanitaires. Pour Aziz Akhannouch, le Maroc a signé plusieurs accords phytosanitaires dans le domaine végétal. Maintenant, il faudra, selon lui, accélérer le processus de reconnaissance, notamment pour la partie animale. «Il y a tout un travail en cours aujourd’hui au Maroc pour mieux sécuriser la filière et un travail remarquable a été fait. Nous travaillons également sur le «taguage» (ndlr : mettre un tag pour chaque animal pour une meilleure traçabilité). Nous avons déjà acheté le logiciel nécessaire et nous sommes en train d’équiper les producteurs», souligne le ministre.

 

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agriculture, Commerce

Agadir / homicide de la petite bonne : Peine maximale pour l’employeur

par Malika Alami – leconomiste.com

  • La Cour d’appel a condamné l’accusée à 20 ans de réclusion
  • La société civile toujours mobilisée pour l’éradication du travail des enfants
Belle victoire aussi pour les associations de lutte contre le travail des enfants, qui se sont constituées partie civile dans ce procès

Belle victoire aussi pour les associations de lutte contre le travail des enfants, qui se sont constituées partie civile dans ce procès

Coupable! La Chambre criminelle de la Cour d’appel d’Agadir a rendu son verdict jeudi dernier sur le procès de l’homicide de la petite Fadma, domestique de maison. Son employeuse, accusée du meurtre de l’adolescente âgée de 14 ans, a écopé de la peine maximale, au grand soulagement de la société civile qui militait activement pour que justice soit rendue. L’instance judiciaire l’a condamnée lors de la quatrième audience du procès à vingt ans de réclusion. Et ce, suite à son inculpation pour «coups et blessures ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner». Cette triste et sordide affaire remonte au mois de mars 2013 lors duquel la petite Fadma est décédée suite aux maltraitances de son employeuse. L’adolescente souffrait de brûlures dont certaines au 3e degré au visage et aux mains. Admise dans un état critique à l’hôpital Hassan II elle n’a pas survécu à ses graves blessures. Dès l’arrestation de l’employeuse, la société civile s’est fortement mobilisée. Deux associations se sont constituées partie civile et trois avocats du barreau d’Agadir se sont portés volontaires pour suivre cette affaire. Le jugement était bien sûr très attendu car ces faits symbolisent le calvaire vécu encore par de nombreuses petites bonnes dans le Royaume. En effet, le travail des enfants au Maroc est un fléau qui persiste. La société civile compte ainsi poursuivre son combat pour la mise en application d’une nouvelle législation qui va permettre l’éradication du fléau. «Notre collectif en appelle, encore une fois, au gouvernement et aux instances nationales et locales élues. Et ce pour faire de la politique de protection des filles mineures contre le travail, en général, et domestique, en particulier, une priorité de leur politique et de leurs différents plans d’action», soulignent les membres de la société civile. Pour le moment, un projet de loi sur les conditions d’emploi des travailleurs domestiques a déjà été adopté en mars dernier par le Conseil de gouvernement et se trouve actuellement au Parlement. Destiné à renforcer l’arsenal juridique en matière de lutte contre le travail des enfants, il interdit l’emploi des enfants de moins de 15 ans et réglemente le travail de ceux âgés de 15 à moins de 18 ans, est-il indiqué. Pour la société civile, il est essentiel pour éviter la perpétuation de telles pratiques inhumaines. La petite Fadma n’est en effet pas la première, des milliers de petites bonnes dans le Royaume sont encore victimes de la pratique de la traite humaine. Il faut absolument qu’elle soit la dernière à avoir subi les affres de ce fléau.

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Justice

Les Musicales d’Agadir – Spéciales Musiques Méditerranéennes au Sofitel Thalassa Sea & Spa

Cette semaine le Sofitel Thalassa Sea & Spa accueille les solistes de  l’ensemble instrumental de Paris.

Concert ce jeudi a partir de 19h30 au Sofitel Thalassa Sea & Spa;

image001

Publié 28 janvier 2014 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Musique, Spectacle