Archives de 2 janvier 2013

Quelques photos de notre réveillon à Imi Ouaddar

Très agréable ambiance à l’Atlantica Beach d’Imi Ouaddar pour les dernières heures de 2012 et l’arrivée de 2013.

Tout y était : un très bon D. J., un repas délicieux et une joyeuse ambiance familiale

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Nous avons passé une excellente soirée entre amisIMG_3493Nicole, Claude, Chantal et Henri…
IMG_3492Henri, Nelly et Robert…
IMG_3494Claude, Chantal, Henri et Robert…
IMG_3609Henri, Elyane et Robert.

IMG_3540De la gaité et une ambiance de fête à toutes les tables.
IMG_3541et sur la piste,
IMG_3581avec, en plus, un spectacle de Hip-Hop avec de véritables acrobates.

Merci à Nathalie et Rachid pour leur chaleureux accueil (et pour les fameuses langoustes… !)

Publié 2 janvier 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Bons moments

Le doyen de l’IRCAM appelle à l’élaboration d’un plan stratégique pour l’officialisation de l’amazighité

par soussannonces.net

88c78735f217b423702819c62fe46bbbLe doyen de l’Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), Ahmed Boukkous, a appelé, vendredi à Rabat, à l’élaboration d’un plan stratégique pour l’officialisation de l’amazighité, conformément aux dispositions de la constitution. S’exprimant lors d’un colloque sous le thème « la culture amazighe entre unité et diversité » dans le cadre du 1er festival amazigh « Tafoukt pour la culture et l’art », M. Boukkous a souligné que ce plan devrait définir les mécanismes et les moyens de mise en oeuvre du caractère officiel de la langue amazighe afin de promouvoir la diversité linguistique et culturelle du Royaume. La gestion de cette diversité n’est pas une tâche facile, a-t-il estimé, appelant tous les acteurs concernées à l’ouverture d’un dialogue sur les différentes questions relatives à la mise en œuvre de cette langue, notamment l’élaboration des lois organiques pertinentes. D’autre part, M. Boukkous a préconisé une approche intégrée visant le renforcement de l’unité nationale et la cohésion sociale. De son côté, le président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) Driss El Yazami, a mis l’accent sur les enjeux de l’officialisation de la langue amazighe, appelant à s’ouvrir davantage sur les langues étrangères. Pour sa part, le ministre de la Culture, Mohamed Amine Sbihi, a indiqué, dans un discours lu en son nom, que la question de la diversité linguistique a été gérée avec succès tout au long de l’histoire du Maroc, dans le cadre de l’unification de toutes les composantes culturelles dans le creuset de l’identité marocaine. Le ministre a par ailleurs rappelé l’actualisation du dispositif juridique régissant l’appui de son département aux activités artistiques amazighes, réitérant l’engagement du ministère à développer davantage ce dispositif. Le programme de cette 1ère édition envisage notamment l’organisation d’une conférence sur « le patrimoine architectural amazigh: le modèle éco-maison », et la présentation du livre « les Agadir de l’Anti-Atlas occidental » du chercheur Mohamed Aït Hamza. La première journée du festival a été marquée par la projection du film « Imzouak » en hommage à son réalisateur, Lahcen Ben Lahcen et par une conférence sur « l’état actuel du cinéma amazigh ».

Publié 2 janvier 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Culture

Agadir mise sur le tourisme national

par Malika Alami – leconomiste.com

  • Campagne d’affichage  et spots radio pour doper  ce marché
  • Les retombées se font attendre
  • Les hôtels front de mer  sont ceux qui font le plein grâce à leur propre promo
Depuis l’ouverture de l’autoroute Marrakech-Agadir, ce sont surtout les touristes nationaux qui dopent le taux d’occupation des établissements hôteliers, en fin de semaine particulièrement

Depuis l’ouverture de l’autoroute Marrakech-Agadir, ce sont surtout les touristes nationaux qui dopent le taux d’occupation des établissements hôteliers, en fin de semaine particulièrement

Les professionnels du tourisme à Agadir  tentent par tous les moyens de doper l’activité de la station balnéaire. Le Conseil régional du tourisme vient de lancer une campagne de communication sur le marché national pour drainer cette clientèle en période de vacances de fin d’année et de congés scolaires. Une opération menée dans le cadre du plan d’action initié en partenariat avec l’Office national marocain du tourisme. Ainsi, une campagne d’affichage est mise en œuvre actuellement sur Casablanca, Rabat et Marrakech.
Au programme également une centaine de spots radio. Le tout se poursuivra jusqu’au 31 décembre. Pour atteindre les objectifs escomptés en cette saison, l’opération aurait pu être lancée beaucoup plus tôt mais, selon un institutionnel, les hôteliers ont tardé à donner leurs tarifs pour la période.
De l’avis de certains hôteliers, pour l’heure, l’opération n’a pas encore eu de retombées. Les établissements qui font le plein en cette fin d’année sont encore une fois ceux qui sont en front de mer et c’est grâce, en grande partie, à des réservations antérieures à l’opération de communication. La démarche reste importante toutefois pour faire connaître un peu plus le produit Agadir auprès de la clientèle nationale. Ce marché émetteur est désormais crucial pour la station balnéaire surtout en cette période de crise internationale. Il est aujourd’hui le premier pourvoyeur de touristes dans la ville. En termes de parts de marché, il contribue à plus de 32% au niveau des arrivées et 17,38% au niveau des nuitées réalisées dans la destination touristique. Depuis l’ouverture de l’autoroute Marrakech-Agadir, c’est surtout les touristes nationaux qui dopent le taux d’occupation des établissements hôteliers, en fin de semaine particulièrement. Reste que pour maintenir cette tendance, assurer un taux de retour et les faire venir plus nombreux, il est important que la station balnéaire offre plus de niches d’animations adaptées aux touristes nationaux.
En dehors de la plage, Agadir a très peu d’animation orientée vers la clientèle famille marocaine. La station Biladi d’Imi Ouaddar au nord d’Agadir, qui devrait être opérationnelle dès 2013, laisse présager de nouveaux flux de touristes nationaux. Pour rappel, ce projet dédié notamment à la clientèle nationale offrira à terme 5.000 lits. Reste plus qu’à communiquer encore et encore.

Publié 2 janvier 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Tourisme

Infrastructures portuaires : 2,8 milliards de DHS d’investissement sur cinq ans

par A. G. – leconomiste.com

  • Les projets structurants accaparent 82% de l’enveloppe
  • 773 millions de DH pour la seule année 2013

p13_175Alors que le précédent programme n’est pas encore achevé, l’Agence nationale des ports vient de dévoiler son nouveau plan d’investissement pour le quinquennat 2013-2017. Il porte sur 2,8 milliards de DH. Sur ce chiffre,  entériné par le dernier Conseil d’administration, 773 millions de DH ont été budgétisés au titre de l’année 2013. «Et c’est le développement des infrastructures portuaires qui constitue le noyau dur des investissements», indique l’Agence. Pas moins de 2,2 milliards lui seront en effet  destinés soit 82% du programme.
Les principaux projets structurants qui s’en dégagent s’insèrent dans le cadre  des grands axes de la stratégie portuaire arrêtée à l’horizon 2030 et de l’extension des infrastructures intérieures.
Il s’agit en premier lieu du lancement en 2014 des travaux d’extension du môle 1 du port de Nador. Cela avec une enveloppe de 135 millions de DH. En second lieu, la réalisation en 2015 d’un terminal vraquier au port d’Agadir pour un montant de 250 millions de DH. Enfin, l’aménagement d’un port sec dans la zone de Zenata moyennant un investissement de 200 millions de DH. Ce projet associant l’Office national des chemins de fer, est conçu pour décongestionner le port de Casablanca. Bien que l’idée de sa création remonte à plus de quatre années suite à la crise vécue par l’enceinte portuaire aucun calendrier de ces travaux n’a encore été communiqué.
En ce qui concerne  l’entretien et la préservation de l’outil portuaire, l’ANP a prévu pour le quinquennat 2013-2017, une enveloppe financière de plus de 728 millions de DH. Elle cible les travaux de confortement et de réhabilitation des quais et des ouvrages de protection.
Dans le domaine des chantiers navals, l’Agence Nationale des Ports a réservé 78,6 millions de DH de son programme d’investissement pour le renforcement  des infrastructures. Les principaux projets programmés à cet égard concernent  la création  de deux darses aux ports de Safi et Ras Kebdana (35millions de DH) et la mise à niveau des chantiers navals des ports d’Agadir, Kénitra, Casablanca, EL Jadida, Essaouira et M’Diq. Projets qui doivent mobiliser plus de 43 millions de DH.
Sur un autre registre, l’année 2013 connaîtra la poursuite des principaux projets en cours de réalisation. C’est le cas de  l’extension de la desserte nord du port de Casablanca (587 millions de DH), la réalisation d’un épi d’arrêt de sable au port de Sidi Ifni (267 millions) et l’extension du terminal nord du port d’Agadir (112 millions).
Pour ce qui est du dragage et du dévasement des bassins portuaires, il est prévu un investissement de 140 millions de DH en 2013.
Dans le domaine de la régulation des opérateurs et des activités portuaires, l’Agence a arrêté au titre de l’année 2013, un plan d’action visant la promotion de concessions de nouvelles infrastructures portuaires. Il en est de même de la mise à niveau des conditions d’exercice des activités connexes dans les enceintes portuaires.
L’Agence promet aussi l’accélération du processus de mise en conformité des intervenants par rapport aux dispositions de la loi 15-02 sur la réforme portuaire notamment de certaines activités aux opérateurs privés tel le pilotage marin.
Selon la même approche de quête de la compétitivité, l’autorité portuaire envisage de renforcer son management interne via la modernisation de ses outils. A ce sujet, un projet de refonte de son système d’information est fin prêt pour un financement global de 35 millions de DH.

Tous les indicateurs en hausse
Au titre de l’année 2013, les prévisions financières de l’Agence nationale des ports s’annoncent toutes en hausse. Le chiffre d’affaires devrait ainsi augmenter de 3,8% par rapport à l’année écoulée à 1,186 milliard de DH. Ce qui permettra de renforcer la capacité d’autofinancent de l’autorité portuaire. L’estimation porte sur 302 millions de DH soit une nette amélioration de 62% en comparaison avec 2012. De même, la valeur ajoutée devrait atteindre 626,4 millions de DH en hausse de 5,6% par rapport aux prévisions de l’année dernière. In fine, le résultat courant doit s’élever à 125,8 millions de DH en augmentation de 5,1%.

Publié 2 janvier 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Aménagement, Transports

Chauffeurs de taxis L’OFPPT ouvre deux centres de formation

par Hassan EL ARIF – leconomiste.com

  • Marrakech et Agadir, des établissements dédiés aux futurs taxis
  • Un programme s’articulant autour de la mécanique, la réglementation, la cartographie…

pvii_61Le dispositif de formation des nouveaux chauffeurs de taxis se renforce. Après Casablanca, Rabat, Meknès, Oujda et El Jadida, l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (OFPPT) compte ouvrir sous peu deux nouveaux centres à Marrakech et Agadir.
Le programme de formation des futurs chauffeurs de taxi avait été lancé, début 2007, par l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail en partenariat avec la wilaya de Casablanca. Le même dispositif a été par la suite dupliqué aux autres villes. «Les candidats sont référés par les préfectures et suivent une formation de 4 semaines, à raison de 72 heures», explique Zouheir Lharaoui, directeur de la formation à l’Office. Le cursus, qui s’articule autour de deux composantes, a été développé de concert avec la wilaya de Casablanca et la préfecture de police. Le premier volet de la formation porte sur des notions de mécanique. Le seconde comporte une formation sur l’accueil, lecture de la cartographie de la ville, la réglementation de la profession de chauffeur de taxi. «A l’issue de leur formation, les stagiaires subissent un examen QCM, devant une commission composée de représentants de l’Office, de la police et de la wilaya», déclare le directeur de la formation. Du fait que les stagiaires font généralement preuve d’assiduité, le taux de réussite tourne autour de 96%. D’ailleurs, pour la seule ville de Casablanca, plus de 16.400 stagiaires ont pu décrocher leur certificat professionnel depuis le démarrage du programme début 2007 à fin décembre 2012. Les résultats des examens sont directement transmis à la préfecture, qui délivre le permis de confiance ou permis blanc, nécessaire à l’exercice à la profession de taxi. Dans une première étape, le programme de formation s’adressait aux chauffeurs âgés entre 23 et 45 ans, titulaires du niveau de la 9e année de l’enseignement fondamental. Mais face à la forte pression des chômeurs, un amendement a été introduit à la convention régissant le dispositif, pour supprimer la condition de l’âge (23 à 60 ans) et du niveau scolaire. La formation des chauffeurs de taxis n’est pas gratuite. En effet, les droits d’inscription s’élèvent à 2.000 DH, supportés par le stagiaire. Le dispositif s’inscrit dans le cadre d’une mise à niveau globale du secteur des taxis, en conformité avec l’esprit de la vision 2020 du tourisme. Outre la formation initiale, la stratégie dédiée aux taxis comprend le renouvellement du parc et la formation continue des chauffeurs des deux catégories de taxis. Sauf que ces deux composantes n’ont toujours pas été mises en œuvre. En principe, les parties prenantes, aussi bien l’Office, les syndicats que le ministère de l’Equipement, devraient finaliser le dispositif de la formation des chauffeurs professionnels, devenus obligatoire de par le code de la route.

Publié 2 janvier 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Emploi, Transports