Archives de 12 juin 2013

Le Programme du Festival Timitar

Timitar2013

Mercredi 26 juin 2013

Soirée d’ouverture à la Place Al Amal à partir de 20h00

Ahwach Haha (Essaouira)
Nolwenn Leroy (France)
Kenny Rogers (Etats-unis)
Fatima Tabaamrant (Agadir)
Dj Amina
Vj Kalamour

Théâtre de verdure à partir de 21h00

Inouraz and guests (Agadir)
Hind (Maroc/Pays-bas)
Mustafa Oumguil (El Hajeb)

Jeudi 27 juin 2013

Place Al Amal à partir de 20h00

Ahwach Skoura Idelsane (Skoura)
Latifa Raafat (Casablanca)
Idir (Algerie)
Oudaden (Agadir)
DJ Farid Momo
vj kalamour

Théâtre de Verdure à partir de 21h00

Marcel Khalife & l’ensemble Al Mayadine (Liban)

Place Bijaouane à partir de 20h30

Jbara & Jazzawiya Family (Agadir)
Hanggai (Mongolie/Chine)
Fnaire (Marrakech)
Amaynou (Agadir)
DJ Face
VJ Atmost

Vendredi 28 juin 2013

Place Al Amal à partir de 21h00

Magida El Roumi (Liban)
Ismaël Lô (Sénégal)
Ribab Fusion and guests (Agadir)
DJ Dubosmium
vj Kalamour

Théâtre de Verdure à partir de 21h00

The Original Blues Brothers Band (Etats-unis)

Hommage à la parole des rways (Souss)

Orchestre rays Lahcen Idhmou
Rays Lahoucine El Baz
Rays Lhaj Ider

Place Bijaouane à partir de 20h30

Tarragt (Agadir)
Tcheka (Cap-vert)
Hoba Hoba Spirit (Casablanca)
Imghrane (Tiznit)
DJ K-Rim
VJ Atmost

Samedi 29 juin 2013

Place Al Amal à partir de 20h00

Ahwach Ait Baamrane (Sidi Ifni)
Nass El Ghiwane (Casablanca)
Khaled (Algerie)
Aârab Atigui (Casablanca)
DJ Sbik
VJ Kalamour

Théâtre de verdure à partir de 21h00

Ahwach Tissent (Tala)
Ahmed Soultan (Maroc/France)

Hommage à la parole des Rayssates (Souss)

Rayssa Talbensirt
soirée avec Rayssa Fatima Tachtoukt

QUALITÉ DES EAUX DE BAIGNADE

par M. A. M. -leconomiste.com

DES PLAGES DE PLUS EN PLUS PROPRES ?

  • RETOUR À LA NORMALE APRÈS LA DÉGRADATION CONSTATÉE EN 2012
  • PLUS DE 97% DES PLAGES CONFORMES AUX NORMES
  • MAIS DES POINTS NOIRS PERSISTENT
Source: Ministère de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement Sur les 360 stations ayant fait l’objet de prélèvements, près de 350 sont de qualité microbiologique conforme à la baignade. Les 10 autres constituent des points noirs, à l’instar de certaines plages comme Zenata et Nahla à Casablanca

Source: Ministère de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement
Sur les 360 stations ayant fait l’objet de prélèvements, près de 350 sont de qualité microbiologique conforme à la baignade. Les 10 autres constituent des points noirs, à l’instar de certaines plages comme Zenata et Nahla à Casablanca

Contrairement à l’année dernière, la qualité des eaux de baignade a connu une nette amélioration. Les responsables du ministère de l’Environnement et ceux de l’Equipement n’ont pas caché leur satisfaction concernant l’évolution positive de la qualité hygiénique des plages du Royaume. En effet, «le taux de conformité des plages a connu un retour à la normale, après une nette dégradation l’année dernière, due principalement aux crues», souligne le dernier rapport national, présenté hier à Rabat. Sur les 360 stations ayant fait l’objet de prélèvements, près de 350 sont de qualité microbiologique conforme aux exigences réglementaires pour la baignade. Les 10 autres stations, soit 2,78% du total, sont déclarées non-conformes pour la baignade lors de cette saison. Cela à cause de «l’influence des rejets d’eaux usées, la forte concentration des baigneurs en plus de l’insuffisance des infrastructures d’hygiène». Ces plages sont concentrées principalement dans deux régions, notamment Tanger-Asilah et le Grand Casablanca. Parmi les stations déconseillées à la baignade, on retrouve Tanger ville, Jbila, dans le Nord, ainsi que Petit Zenata, Nahla et Chahdia à Casablanca.

Par région, les résultats des opérations de surveillance sont assez rapprochés. Mais c’est la zone Atlantique sud, qui couvre 23 plages entre Agadir et Dakhla, qui semble la plus propre. Le taux de conformité est de 100% des stations classées dans les catégories A et B. Ce qui permet aux concepteurs du rapport national de la déclarer «zone d’excellence». Néanmoins, pour maintenir ce statut, il est nécessaire «d’éradiquer toutes les sources de pollution acheminées par les crues, de mettre en place un programme de dépollution au niveau de tous les ports de cette région, ainsi que de généraliser la labellisation de ses plages». En deuxième position, on retrouve la zone Atlantique nord, qui compte 81 plages, entre Tanger et Essaouira. Le niveau de conformité des eaux de baignade dans cette partie du littoral a atteint 97,55%. N’empêche qu’elle contient certains points noirs, notamment à Tanger et Casablanca. 5 stations sont déclarées non-conformes aux normes, dont 4 classées dans la catégorie C et une dans la catégorie D. Cette zone a connu également l’amélioration de la qualité de certaines stations notamment dans l’axe Rabat-Salé. En effet, «le programme d’aménagement de la vallée de Bouregreg a permis d’éradiquer définitivement les stations non-conformes au niveau des plages municipales des deux villes». Néanmoins, la préservation de cette évolution passe par «le renforcement des infrastructures d’hygiène». Pour d’autres stations, le rapport recommande de procéder à des opérations de dépollution, notamment pour le port d’El Jadida, et du fleuve Oum Rbia. Par ailleurs, la façade méditerranéenne, qui regroupe 42 plages, entre Saïdia et Marqala, a enregistré un résultat moins satisfaisant, avec un niveau de conformité de 94,68%. Sur les 94 stations de surveillance au niveau de cette zone, 52 sont classées dans la catégorie A, dont Saïdia, 37 dans la catégorie B, et 5 non-conformes relèvent de la catégorie C. Cette zone, qui s’étend également à la plage de Tanger ville, a connu une certaine amélioration, grâce aux «efforts de dépollution de la baie de Tanger, qui commence à donner leurs fruits». Ce qui a permis d’aboutir à des eaux de baignade conformes aux normes pour un tronçon de près de 1 km. Néanmoins, le rapport insiste sur la nécessité de «continuer à résorber toutes les sources clandestines de pollution, surtout au niveau des fleuves Moghogha et Souani». Parallèlement, un effort doit être fait en matière d’épuration des rejets industriels chargés en hydrocarbures, déversés dans la plage Miami à Nador. Cela est également valable pour les rejets d’eaux usées des villas de la partie est de Marina Smir, dirigés vers la plage durant la période estivale.

Recommandations
Après l’amélioration de la qualité des eaux de baignade cette année, en comparaison à 2012, les rédacteurs du rapport national ont dressé une série de mesures à même de garantir le maintien de cette évolution. Cela passe notamment par la maîtrise des sources de pollution acheminées par les crues, ainsi que la collaboration des différents intervenants, comme les agences des bassins hydrauliques, les communes et les gestionnaires du secteur d’assainissement. L’objectif est d’éradiquer les sources de pollution due aux eaux usées.

 

lematin.ma – MAP

Eaux de baignade : Nette amélioration de la qualité hygiénique

Un total de 350 stations de prélèvements analysées pour classification de la qualité microbiologique des eaux de baignade sont déclarées conformes aux exigences réglementaires à la baignade, soit un taux de 97,22% contre 90,26% enregistré l’année dernière, selon le rapport annuel de la saison 2013 relatif à la qualité hygiénique des plages marocaines rendu public mardi à Rabat.

Le rapport souligne à cet effet un retour à la normale du nombre des plages conformes à la baignade, et ce après une nette dégradation l'année dernière due au crues. (Photo : Kartouch)

Le rapport souligne à cet effet un retour à la normale du nombre des plages conformes à la baignade, et ce après une nette dégradation l’année dernière due au crues. (Photo : Kartouch)

Les résultats de l’analyse des prélèvements effectués dans le cadre du programme national de surveillance de la qualité des eaux de baignade, sur la période allant de mai 2012 à mars 2013, ont enregistré une nette amélioration par rapport à l’année dernière avec un taux de conformité des stations de prélèvements analysées qui a passé de 90,26% à 97,22%, indique le rapport national 2012-2013 réalisé conjointement par le ministère de l’Equipement et des Transports et le ministère de l’Energie, des mines, de l’eau et de l’environnement.
Le rapport souligne à cet effet un retour à la normale du nombre des plages conformes à la baignade, et ce après une nette dégradation l’année dernière due au crues. Ainsi, le nombre des stations non conformes pour la baignade pour cette saison a régressé en passant de 34 à 10 stations soit 2,78%, souligne le rapport, faisant savoir que 25 plages marocaines ont été labellisées «Pavillon bleu», soit 5 plages supplémentaires par rapport à 2012.
Selon le document, un taux de conformité de 100% a été enregistré dans la région atlantique.
S’agissant du contrôle de la qualité des sables des plages, la campagne de cette année a concerné 16 plages avec 32 stations de prélèvement soit 3 plages en plus par rapport à l’année dernière et les résultats des analyses chimiques et mycologiques correspondantes montrent que les déchets rencontrés sur les plages prospectés sont en général à prédominance matières plastiques et bois.
Intervenant à cette occasion, le directeur des ports et du domaine public maritime au ministère de l’Equipement et des transports, Moha El Hamaoui, a indiqué que son département a réalisé une étude de diagnostic foncier et de gestion du domaine public maritime, laquelle étude, a-t-il dit, a permis de lancer un premier plan d’actions visant, entre autres, la protection urgente des zones vulnérables tant au confinement qu’aux empiètements.
El Hamaoui a cité dans ce cadre les différentes actions menées par le ministère en matière de protection de l’environnement lagunaire (Lagune Moulay Bousselham) et de gouvernance des plages (hygiène et sécurité) notamment à travers le lancement de la deuxième partie des plans d’utilisation et de gestion des plages du Royaume (PUGP).
Et dans l’optique d’améliorer davantage la qualité des eaux de baignade, qui constitue un atout important pour le développement du tourisme balnéaire, le directeur de la surveillance et la prévention des risque au ministère de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, Mehdi Chalabi, a indiqué, lors de cette rencontre, que le Maroc est en train d’élaborer un projet de norme de gestion proactive qui sera conforme à la nouvelle directive européenne en matière de gestion de la qualité des eaux de baignade (NDE 2006/7/CE) et qui entrera en vigueur au plus tard, le 1er janvier 2015.
Ce projet, en phase d’enquête publique, consiste à instaurer un mécanisme de profil des eaux de baignade permettant une meilleure compréhension des risques en vue de prendre des mesures de gestion, a-t-il expliqué.
Afin d’éradiquer les sources de pollution due aux eaux usées, le rapport recommande une collaboration entre les multi-intervenants regroupant les agences des bassins hydrauliques (ABH), les communes et les gestionnaires du secteur d’assainissement liquide et solide.
Il appelle à doter les collectivités locales littorales d’un plan national d’assainissement, à encourager la réutilisation des eaux usées et à généraliser les programmes de l’éducation environnementale à toutes les plages. Aussi, il est nécessaire de procéder au nettoiement du sable des plages même en dehors des périodes estivales, en collaboration avec les associations à l’instar de ce qui a été fait au niveau d’Ain Diab et Nador et de renforcer les plages en infrastructures d’hygiène.

Publié 12 juin 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Environnement, Tourisme

AGADIR/TOURISME : LA REPRISE SE CONFIRME

par Malika Alami – leconomiste.com

  • LES MARCHÉS FRANÇAIS ET NATIONAL DOPENT LA DESTINATION
  • L’ACTIVITÉ RESTE CEPENDANT À DEUX VITESSES
Ce vent de reprise comparativement à l’an dernier ne profite cependant pas à tous les établissements d’hébergement. Pas un mois ne passe sans que les employés de tel ou tel hôtel ne sortent manifester dans la rue pour réclamer les salaires de plusieurs mois

Ce vent de reprise comparativement à l’an dernier ne profite cependant pas à tous les établissements d’hébergement. Pas un mois ne passe sans que les employés de tel ou tel hôtel ne sortent manifester dans la rue pour réclamer les salaires de plusieurs mois

La reprise de l’activité touristique se confirme à Agadir. C’est du moins ce que laisse entrevoir les statistiques communiquées par le Conseil régional du tourisme du Souss-Massa-Draâ (CRT). A en croire les chiffres, le secteur a enregistré en mai dernier une hausse de plus de 20,65% en arrivées et 22,51% en nuitées dans les établissements hôteliers classés d’Agadir par rapport à la même période en 2012. Les marchés français et marocain sont ceux qui dopent véritablement la station balnéaire. Le marché national se distingue notamment avec une augmentation de 26,40% en arrivées et 30,55% en nuitées. Il y a aussi les nouveaux marchés émergeants qui sont relativement en hausse. Ce vent de reprise comparativement à l’an dernier ne profite cependant pas à tous les hôtels. Pas un mois ne passe sans que les employés de tel ou tel hôtel ne sortent manifester dans la rue pour réclamer les salaires de plusieurs mois. Dans le secteur balnéaire, on ne compte plus les banderoles de protestation. A tel point que plus personne n’y fait attention. Au niveau de l’hôtel Valtur, fermé depuis plus de deux ans, il ne reste plus d’ailleurs que quelques banderoles poussiéreuses pour rappeler la situation aujourd’hui précaire des employés au chômage toujours sans indemnités malgré une décision de justice. Tout cela bien sûr est une mauvaise image pour la destination. Comment faire profiter de la reprise tous les établissements de la station balnéaire? Au cœur de toutes les discussions sur le sujet, la rénovation des établissements encore et encore. Une question urgente  soulevée ces dernières années à toutes les réunions, mais pour laquelle jusqu’à présent aucune véritable solution de fond n’a été apportée. Ceci surtout que les principaux concernés ont même du mal à faire face à leur charge.

Il est peu probable que cela change dans l’avenir même si la reprise continue. L’activité à deux vitesses qui marque la station se poursuivra sans des mesures de fond et une véritable volonté politique pour endiguer ce phénomène. De l’avis d’un hôtelier, il est nécessaire aussi de redonner confiance aux professionnels pour les pousser à prendre des risques en s’impliquant dans de nouveaux investissements. Pour l’heure, les représentants du CRT mise sur l’événementiel pour maintenir la tendance à la hausse. La station balnéaire s’apprête à abriter la 9e édition du tournoi international de beach rugby du «Vieux Chameau», les 15 et 16 juin, à la plage de la Marina d’Agadir. La manifestation est organisée par le CRT en partenariat  avec l’Association sportive du Souss.

Publié 12 juin 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Hôtellerie, Tourisme