Hanae Rati Taleb, artiste peintre qui vit à Mirleft présentait ce soir son exposition à l’Institut Français :
Ses oeuvres sont inspirées à la fois par le cubisme qu’elle adore et par ses origines berbères : elle peint les scènes du quotidien des femmes amazighes.
Son expression : de larges a-plats de couleurs vives et lumineuses délimités par du noir, le tout sur fond noir, bleu ou rouge.
De grands tableaux très agréables à voir sur des thèmes berbères : extraction de l’huile d’argan, visite chez la voyante ou encore un mariage. Sur ses toiles, on retrouve un motif de tapis, un bijou, un instrument de musique ou encore des éléments de l’alphabet tifinagh.
Elle a choisi ce tableau « La Voyante » pour poser pour le Blog d’Agadir.
Ses oeuvres exposées à l’Institut Français :
Cette exposition se tient à l’Institut Français d’Agadir jusqu’au 30 mai 2015
Ce soir avait lieu à l’Institut français d’Agadir le vernissage de l’exposition des artistes Khalid Belli et Mohamed Berrada
Khalid Belli est un jeune sculpteur et artiste peintre originaire de Tiznit, diplômé de l’École des arts plastiques et appliqués d’Essaouira. Dans un cadre purement abstrait, son œuvre se caractérise par une composition lyrique et une technique toujours en mouvement. Khalid Belli puise son inspiration dans les scènes de la vie quotidienne qu’il reconstitue et retranscrit sur la toile par des touches qui traduisent des émotions profondes et intimes.
Mohammed Berrada réussit merveilleusement à assortir le rouge des coquelicots, la verdure des champs, le saumon des citrouilles, le bleu-azur de l’océan de son doukkala natal, à l’ocre du sud du royaume. Et c’est à travers la beauté de ces couleurs et l’équilibre de ses compositions que jaillit toute sa sensibilité.
Quelques oeuvres de Khalid Belli :
et quelques unes de Mohamed Berrada :
L’exposition se tient jusqu’au lundi 20 avril 2015 à l’Institut Français d’Agadir
Hier soir au Sofitel Thalassa Sea & Spa avec un accueil à la hauteur de l’événement (!) : le vernissage de l’exposition « Limelight »
Daniel Karbovnik a levé le rideau sur cette exposition qui présente les travaux de : Derek Hudson, Sébastien Micke, Jean-Marie Périer
et Marc Riboud
Emeric Descroix de Polka Galerie qui expose des oeuvres qui nous ramènent quelques années plus tôt, du temps, entre autre du film « Limelight » de Charlie Chaplin
Quelques unes des oeuvres exposées :
De Jean-Marie Périer :
Claude François
Brigitte Bardot et Sylvie Vartan
Johnny Halliday et Sylvie Vartan :
Les Beattles :
Yves Saint-Laurent :
De Marc Riboud :
Pablo Picasso
Salvador Dali :
De Sébastien Micke :
Dita Von Teese :
Mariah Carey
et, à la suite du vernissage, un spectacle extérieur était proposé:
avec délicieux cocktail, lui aussi à la hauteur de la réputation gastronomique du Sofitel !
Quelques amis qui étaient là :
Nicole avec Chantal Tronquit-Ballester, notre artiste peintre sculpteur d’Agadir, Henri Ballester (un des frères de Chantal) et sa compagne Rachel
Salwa Lmimouni artiste peintre d’Agadir (au centre), avec ses « copines ».
Beaucoup de monde hier soir pour le vernissage de l’exposition photographique de Saïd Aoubraim « Un thé au Tibet », le Club photo d’Agadir, des photographes venus de Marrakech, Taroudant, Agadir…
Le responsable du musée du Patrimoine amazigh d’Agadir et Touria Boulbaroud ont présenté cette exposition et l’artiste photographe Saïd Aoubrahim :
A droite, Saïd Aoubraim :
Présentation de l’artiste (MAP) :
L’artiste-photographe Said Aoubraim a accroché, jeudi soir, aux cimaises du Musée municipal du patrimoine amazigh à Agadir, ses dernières oeuvres photographiques, fruit d’un voyage entamé en 2010 entre l’Inde et le Tibet.
Cette exposition, qui se poursuivra jusqu’au 2 mai prochain, est intitulée « Un thé au Tibet: Du Grand Atlas au Grand Himalaya ». Elle regroupe un total de 36 tableaux produits, pour la première fois, sur des tirages sur toile, a expliqué à la MAP, cet artiste-photographe passionné de films documentaires, d’anthropologie et de voyages.
De ses multiples pérégrinations qui l’ont conduit du Haut Atlas et des dunes du Sud marocain jusqu’en Chine, en Inde ou au NépaI, en passant par la Turquie ou encore la Guinée Equatoriale, Said Oubraim, né en 1959 et vivant et travaillant à Agadir, garde un souvenir particulier de son voyage au Tibet.
« Pour y accéder, j’ai pris le train, le chemin ferroviaire le plus haut du monde (5075 m d’altitude), pendant 23 heures pour arriver à la capitale du Tibet. Le train est équipé de masques à oxygène, traversant les plus hauts plateaux du monde aux sommets enneigés. C’est aussi le point de départ des plus grands fleuves d’Asie », se souvient-il.
Pourquoi tant d’efforts et autant de détermination? « C’est difficile d’expliquer mon voyage et pourquoi je voyage. Je n’ai pas vu le Tibet, je l’ai senti et je conserverai en moi ces moments fugitifs que je pourrai savourer et revivre ensuite une fois chez moi à Agadir », précise-t-il encore.
Cinq ans après cette immersion dans le coeur du « Toit du monde », un pays qui a constamment fasciné, l’exposition de Said Oubraim se veut une invitation au voyage, à la découverte de ce pays frappé par l’omniprésence du sacré dans les fleuves, les lacs, les montagnes, les arbres, les chemins et même l’infini.
« Lorsqu’on regarde bien ces photographies, ce qui arrive à nous, jusqu’à nous, ce sont des fragments de vie, une géographie humaine, des visages, des situations: là où des choses simples surprennent », note pour sa part l’écrivain Hassan Wahbi dans une préface au catalogue de l’exposition.
Et pour cause, soutient-il, l’observateur, cheminant de photographie en photographie, les égrenant, « peut se trouver dans une sorte d’insatiabilité devant le déferlement des photos, car cela suscite une multitude de formes d’intérêt pour l’ailleurs ramené par un photographe d’ici, du Sud du Maroc ».
Savamment agencée, l’exposition livre ainsi au regard une riche palette de situations bercées par une atmosphère spirituelle, au milieu d’épaisses fumées d’encre, d’encense et d’herbes brûlées, le tout auréolé par la majesté d’énormes monastères ou dans des drapeaux de prière multicolores qui flottent partout et où chaque couleur symbolise un élément naturel.
L’artiste-photographe revoit encore comment sur les toits du monastère « des troupes folklorique tibétaines dament les terrasses en chantant et en dansant dans un rythme similaire aux chants des troupes musicales féminines de la région de Tafraout » ou encore le cas de cet autre bouddhiste exerçant son rituel pendant le pèlerinage avec un ton semblable à la chanson « Ajmâa » des troupes d’Ahwach de la région de Taroudant.
« Il faut dire que cette similitude m’a permis un dépaysement inversé car, au fond, je cherchais les différences entre les cultures et les hommes, et j’ai fini par en apercevoir les ressemblances », dira-t-il.
Said Aoubraim compte à son actif plusieurs expositions individuelles au Maroc comme à l’étranger, notamment en Norvège, Allemagne, Espagne et en France, en plus de sa participation à des expositions collectives au Qatar, à Hong Kong, en Slovénie, Bosnie, Inde, Iran et en Turquie. Lauréat de plusieurs prix nationaux et étrangers, dont une médaille de « Al Thani Award for Photography » (Qatar (2008) et le Prix Canon photographie en 2012, il a participé à l’illustration de plusieurs ouvrages et beaux livres, dont « Igoudars, patrimoine du Sud », « Tafraout, éléments d’un site » et « Ajgal, patrimoine amazigh »
Parmi les personnalités présentes :
M. Tariq Kabbage, président de la Communauté urbaine d’Agadir
M. Hassan Benhalima, Président de l’Association SMD Culture, ici avec Chantal Tronquit-Ballester, notre artiste peintre sculpteur d’Agadir
Saïd Aoubraim (l’artiste photographe) avec Hassan Wahbi (l’universitaire, poète, écrivain) : c’est grâce à leur collaboration qu’Azigzao a pu éditer le livre « Agadir la Ville Impassible«
Quelques photos de cette remarquable exposition :
Vous pouvez trouver toutes ces photos dans le très beau catalogue de cette exposition qu’ont publié Les Editions Azigzao, Photos de Saïd Aoubraim, Texte de Hassan Wahbi.
(Dépôt légal : 2015MOO902 – ISBN : 978-9954-35-119-2) :
L’Institut français d’Agadir a le plaisir de vous inviter au vernissage de l’exposition organisée en l’honneur de Khalid Beli et Mohammed Berrada :
VERNISSAGE de l’EXPOSITION
Khalid Beli et Mohammed Berrada
Institut français d’Agadir
le Vendredi 10 avril à 19h30
Entrée libre
Mohammed Berrada
Mohammed Berrada est né le 08/10/1983 à El jadida. Il vit et travaille à Agadir, c’est un Artiste peintre, Professeur d’arts plastiques, Président de l’association mass-art.
Une force, un geste, une expression…
Les thèmes des peintures de Mohammed Berrada, sont puisés dans la vie ordinaire, typiquement marocaine. Beaucoup de scènes surgissent de la mémoire de son passé et font l’objet de ses tableaux : marchés traditionnels, souks, places publiques, ruelles avec arcades et personnages, coupoles et maisons traditionnelles, architecture de différentes régions du Maroc, terrasses …
Les sensations que l’artiste a toujours éprouvées devant ces spectacles l’ont amené à choisir une technique qui met bien en valeur le thème de ses œuvres et l’impression qu’il cherche à en donner.
« Avant d’être des murs, une maison est d’abord un lieu convivial, un regroupement de personnes, des sentiments divers, une vie, des vies ! Une place est un lieu avec une âme… Et c’est justement cette âme qui intéresse ma démarche. »
Khalid Beli
Khalid Belli est un jeune artiste peintre et sculpteur, berbère marocain, il est diplômé de l’École des arts plastiques et des arts appliquées d’Essaouira. Ce jeune Peintre s’inspire des arts contemporains. Il nous livre sa vision artistique riche en couleurs en signes et symboles. Dans un cadre purement abstrait, son oeuvre se caractérise par une composition lyrique et une technique toujours en mouvement.
Khalid Belli puise son inspiration des scènes de la vie quotidienne, il les reconstitue puis les transcrit sur ses toiles par des touches qui traduisent des émotions profondes et intimes. Par ailleurs, il se réfère à sa propre Culture Amazighe.
Pour plus d’informations, suivez sur les réseaux sociaux :
Vous connaissez déjà sûrement Saïd Aoubrahim : il a participé avec ses magnifiques photographies à l’illustration du beau livre « Agadir la ville Impassible »
La 3ème édition du 2 au 6 avril compte quelque 150 exposants
Les critères de sélection de plus en plus stricts
Face au succès grandissant, l’espace d’exposition double de superficie
Cette année, les critères de sélection des exposants ont été relevés à la hausse, l’objectif étant de montrer que les produits du terroir font aussi partie du capital immatériel du Maroc
Le Salon national des produits du terroir (SNAPT) se tient pour la 3ème année consécutive à Agadir. Cette édition 2015 qui se tient sous le thème «Notre capital immatériel, c’est aussi nos produits du terroir » amène du nouveau. D’abord, en termes de durée avec cinq jours d’exposition au lieu de quatre. A noter aussi l’augmentation de la superficie du Salon qui passe de 1.500 m2 à 3.000 m2, ce qui permet de répondre à plus de demandes. En effet, pour cette année, ce sont 150 exposants régionaux et nationaux qui ont leur place sous le chapiteau après des critères de sélection assez strictes. La priorité ayant été donnée aux coopératives certifiées. Quelques pays africains dont la Tunisie seront aussi représentés. «Cette manifestation vise l’application des orientations du Plan Maroc Vert concernant le développement et la promotion des produits du terroir», a déclaré Ali Kayouh, Président de la Chambre d’agriculture de la Région Souss-Massa. «Notre ambition via ce Salon est de promouvoir les produits du terroir et d’instaurer une plateforme d’échange des expériences et des idées entre les gens du secteur», a-t-il ajouté. Résultat d’une étroite collaboration entre les différentes institutions de développement et des acteurs privés, le SNAPT 2015 promet un riche programme. Sur le volet technique, des ateliers scientifiques sont prévus sur l’espace pédagogique du Salon. Et aussi à l’amphithéâtre de la Chambre d’agriculture. Les ateliers aborderont des thèmes relatifs à la production, valorisation, commercialisation, réglementation et à l’organisation professionnelle des produits du terroir. Par ailleurs, il est prévu d’organiser, au profit des coopératives africaines et celles représentant les autres régions du Maroc, des circuits des produits du terroir. Il s’agira de découvrir des organisations professionnelles qui ont réussi le challenge de la valorisation des produits du terroir spécifiques à la région. Il faut noter dans ce sens que la région Souss-Massa est caractérisée par la diversité de ses activités agricoles liées en particulier à la richesse naturelle et culturelle.
L’exploitation de ces produits pourra de même contribuer au développement du tourisme rural dans un cadre organisationnel qui intègre de manière effective la population locale. Pour rappel, la 3ème édition du Salon national des produits du terroir (SNAPT) est prévue du 2 au 6 avril prochains à Agadir à la Place Bijaouane, en pleine zone balnéaire et touristique. La manifestation est organisée par l’Association éponyme en partenariat avec la chambre d’agriculture de la Région Souss-Massa, sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime. Des milliers de visiteurs sont attendus lors de ce Salon qui suscite de plus en plus l’intérêt du grand public.
La 6e édition des Trophées de la filière fruits et légumes au Maroc (TROFEL) a récompensé, mercredi à Agadir, une dizaine de professionnels agricoles:
– Agrumar Souss (prix excellence),
– Matysha (innovation),
– Cap Agro (qualité),
– Quality Bean (excellence)
– Frigo Ameshoul (mérite),
– La coopérative agricole Oulad Abdellah de collecte et de commercialisation de grenadier (mérite),
– Qualiprim (performance),
– Atlas Agrumes (mérite).
Dans la catégorie Produits de terroir, les coopératives Taitmatine et Tighanimine se sont vues décerner le prix de mérite.
Des hommages ont été rendus à cinq personnalités, en l’occurrence Haj Miloud Châabi, Karel Van Ouer (professionnel néerlandais), Mohamed Amouri, Zine El Alami et Ahmed Belaghnou.
Placée sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime et le parrainage de l’Etablissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (EACCE), cette édition met à l’honneur les Pays-Bas en tant que pays hôte.
Alors que le Sénégal veut faire passer sa production de riz de 30% de la consommation à l’autosuffisance, la consommation d’engrais reste très faible. OCP Group y voit un grand potentiel à exploiter. Quant à l’aviculture sénégalaise, la quasi-totalité de ses œufs à couver viennent du Maroc.
Depuis près de 20 ans, le Maroc n’a raté aucune édition de la FIDAK.
Comme d’habitude, le Maroc était présent en force à la Foire internationale de Dakar (FIDAK), qui a regroupé cette année plus de 12.000 visiteurs. Pour l’édition 2014, OCP Group est venu en force pour mieux faire connaitre son offre destinée au continent. De même, les producteurs de poussins et d’œufs à couver ont également occupé une bonne partie de l’immense stand Maroc de 300m2.
La présence de l’OCP s’explique par la faible consommation d’engrais, alors que le Sénégal a une grande ambition en matière agricole. Le pays envisage d’être autosuffisant en riz dans les 3 prochaines années, alors que la production ne couvre actuellement que 30% de la consommation. De plus, dans l’ensemble des pays de la sous-région, l’agriculture occupe une part importante de l’économie.
Pour ce qui est de l’aviculture, le succès actuel du Maroc dans le domaine ne demande qu’à être exporté. Certains grands groupes se sont déjà lancés dans la filière export et l’essentiel des œufs à couver utilisés par les aviculteurs sénégalais provient déjà d’Agadir.
Cette rencontre, qui se tient tous les deux ans, est la plus grande exhibition commerciale en Afrique de l’Ouest et représente un marché potentiel de 200 millions de consommateurs. Et, comme son nom l’indique, c’est une vraie foire où se retrouvent le B to B ainsi que l’offre B to C du monde entier dans des secteurs aussi variés que l’informatique, l’agroalimentaire, l’industrie chimique ou pharmaceutique…
Les Pays-Bas seront à l’honneur à la sixième édition des Trophées de la filière fruits et légumes au Maroc (TROFEL) qui aura lieu, le 7 janvier prochain à Agadir, sous le signe «La commercialisation des fruits et légumes, enjeux et perspectives». Placée sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime et le parrainage de l’Établissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (EACCE), cette édition accueillera une délégation d’une trentaine d’opérateurs néerlandais, à leur tête l’ambassadeur des Pays-Bas au Maroc et le président de la Chambre maroco-hollandaise pour la promotion des exportations, indique un communiqué des organisateurs. Figurent au programme de cette manifestation une table ronde autour de la «commercialisation des fruits et légumes : enjeux et perspectives» en présence d’une cinquantaine d’opérateurs marocains, une rencontre maroco-néerlandaise avec la participation de plus de 20 dirigeants d’entreprises des deux pays, et une mission BtoB visant à explorer les opportunités de coopération entre les opérateurs économiques. La cérémonie de remise des prix sera l’occasion d’honorer 15 entreprises marocaines et opérateurs excellant dans leurs domaines d’activité, avec en prime des hommages à deux acteurs associatifs et à un opérateur marocain et un Néerlandais pour leur contribution au développement de l’agriculture marocaine et leur implication dans le processus du développement social. Les organisateurs prévoient également des visites de sites de production et de valorisation des fruits et légumes au profit de 20 dirigeants d’entreprises néerlandaises pour leur permettre de mieux cerner l’environnement interne de la filière au Maroc. Cette édition jouit du soutien de l’APEFEL, du concours de l’ensemble des associations représentant la filière des fruits et légumes au Maroc et de l’appui de plus d’une cinquantaine d’opérateurs publics et privés. Au Maroc, la filière des fruits et légumes est représentée par cinq interprofessions, en l’occurrence la FEDAM (Fédération de développement de l’arboriculture au Maroc), la FIFEL (Fédération interprofessionnelle marocaine de production et d’exportation des fruits et légumes), Fimadattes (Fédération interprofessionnelle marocaine des dattes), Interprolive (Fédération interprofessionnelle marocaine de l’olive) et Maroc Citrus (Fédération interprofessionnelle marocaine des agrumes).
Ce matin, visite de l’exposition-vente des brodeuses de Meknès qui sont venues cette année encore au Vera-Cruz, malgré les difficultés de déplacement actuelles.
Quelques photos de cet extraordinaire travail d’art qu’elles réalisent des heures durant :
Un détail de broderie :
Pour ce magnifique chemin de table, nous avons craqué, Nicole et moi : un ouvrage exceptionnel de 1,33 m X 0,40 m qui a demandé quatre mois de travail !
Nous leur donnons rendez-vous pour l’année prochaine où elles viendront nous présenter une nouvelle fois leur collection de ce travail incomparable.
Agadir Blog, créé le 1er mars 2011 : Revue de Presse sur les dernières nouvelles d'Agadir, les beaux coins à découvrir, les richesses culturelles, artistiques et patrimoniales de la région.
Les commentaires ci-dessous sont publiés sous la responsabilité de leurs auteurs. Les attaques personnelles, dénigrements et règlements de compte n’ont rien à faire ici et ne seront donc pas publiés.