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Une messe sera célébrée  demain 4 Janvier 2013 à 10 heures en l’Eglise Sainte Anne d’Agadir en mémoire de Louis GUYOMARD décédé le 4 Avril 2012.

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par Abdelkrim Mouhoub – libe.ma

Dans le cadre de ses activités scientifiques et de formation, la licence professionnelle en journalisme de la Faculté des lettres d’Agadir, dépendante de l’Université Ibn Zohr, a organisé dernièrement une conférence sur «L’information culturelle au Maroc : enjeux et défis» animée par l’écrivain Mustapha Jmahri. 
Devant une assistance composée d’étudiants, de professeurs et de représentants des médias nationaux et régionaux, le professeur Hassan Hamaiz, responsable de la formation en journalisme à la Faculté d’Agadir, a d’abord présenté le visiteur et ses travaux sur la presse culturelle ainsi que son expérience dans le domaine de la communication.
Il a ensuite donné la parole à l’invité qui a rappelé les fonctions fondamentales des moyens d’information avant de définir les significations essentielles de l’information culturelle, du rôle des médias et de la presse spécialisée.
Après cette brève introduction, l’intervenant a donné un aperçu historique sur l’information culturelle au Maroc du temps du Protectorat à l’Indépendance. Il s’est ensuite longuement arrêté sur la riche expérience journalistique des revues littéraires en arabe et en français dans les années soixante et soixante-dix. Il a également abordé le contexte social qui a vu fleurir les suppléments culturels publiés par les quotidiens nationaux, organes des partis politiques.
Le conférencier a, par la suite, montré, au moyen de tableaux, la part réservée à la culture dans les canaux de communication audiovisuels.
Dans la troisième partie de sa conférence, l’intervenant a décliné les principaux défis qui entravent le développement harmonieux de l’information culturelle au Maroc, à savoir  la formation des journalistes spécialisés, l’encouragement à la lecture, la recherche de la qualité du produit journalistique, la mise à niveau des éditeurs ainsi que le développement du réseau de distribution et l’appui à la culture nationale.
Il a conclu son intervention en soulignant que la responsabilité du relèvement des défis suscités ne concerne pas uniquement les médias.
Cette responsabilité est partagée dans la mesure où elle doit impliquer l’ensemble des intervenants sociaux et institutionnels. Un riche débat a suivi cette conférence et abordé notamment le rôle et la part de la culture dans les médias surtout en perspective de la régionalisation avancée au Maroc.

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par MAP – lematin.ma

Sa Majesté le Roi Mohammed VI a reçu le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), M. Chakib Benmoussa, qui a présenté au Souverain la note de cadrage du modèle de développement économique et social des provinces du Sud.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, a reçu mercredi au Palais Royal à Agadir le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Chakib Benmoussa, qui a présenté au Souverain la note de cadrage du modèle de développement économique et social des provinces du Sud, élaborée par le Conseil, indique le Cabinet royal dans un communiqué. Cette note de cadrage, précise la même source, constitue la première étape dans le processus d’élaboration du nouveau modèle de développement économique et social des provinces du Sud.

Un modèle qui s’inscrira dans le cadre de la régionalisation avancée, qui traitera en profondeur de l’ensemble des thématiques, et qui devra constituer une inflexion majeure conformément aux Hautes Orientations de Sa Majesté le Roi, contenues dans le discours du 6 novembre 2012 marquant la commémoration de la glorieuse Marche Verte. Le Conseil avait mis en place, dans les jours qui ont suivi le discours de Sa Majesté le Roi, une commission ad hoc et pluridisciplinaire dédiée à l’élaboration du nouveau modèle de développement économique et social des provinces du Sud.

M. Benmoussa a rappelé à cette occasion que le modèle en cours d’élaboration visera l’éclosion d’un système qui favorise un développement économique, social, culturel et environnemental au bénéfice et au service des populations locales concernées. Au cours de son allocution, prononcée devant le Souverain, M. Benmoussa a précisé que le modèle de développement des provinces du Sud sera finalisé par le Conseil au mois d’octobre 2013. Le président du Conseil a, par ailleurs, confirmé la détermination du Conseil à faire de ce chantier un exemple abouti en termes d’implication effective des populations concernées et de concertation avec l’ensemble des acteurs, conformément aux directives royales.

À l’issue de cette audience, le président du Conseil a remis à Sa Majesté Le Roi, que Dieu l’assiste, un exemplaire de la note de cadrage. L’audience royale s’est déroulée en présence du chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, des conseillers de S.M. le Roi, Omar Azziman, Zoulikha Nasri, Fouad Ali Al Himma et Abdellatif Menouni, ainsi que du ministre de l’Intérieur, Mohand Laenser.

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par Houda SIKAOUI – lesechos.ma

La Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT) tient son plan d’action 2013. Défini à l’issue du Conseil de surveillance tenu le 27 décembre dernier sous la présidence du ministre du Tourisme, Lahcen Haddad, ce dernier devra consister en la «finalisation des différentes études de faisabilité en cours». L’objectif en est la réalisation de plusieurs projets qui nécessitent la levée d’un investissement global de 38 MMDH pour une capacité additionnelle de 36.000 lits, afin de permettre «la création de plus de 10.000 emplois». Plus concrètement, en termes de projets, la Société marocaine d’ingénierie touristique devra «placer auprès des investisseurs des projets structurants» tels que le centre de conventions ou encore le parc d’attraction de Marrakech, la cité des loisirs de Tama Ouanza (Agadir), la constellation de ressorts thématiques à Fès, ou encore les clubs Biladi à Martil et à Benslimane. Dans les nouveautés, la SMIT devra dès début 2013, procéder au lancement officiel des études relatives au tourisme médical et au tourisme durable, qui devront selon les objectifs de la stratégie sectorielle, constituer de véritables leviers pour la promotion de la destination Maroc. Toujours en ligne avec la vision 2020, la SMIT devra travailler au «renforcement de l’ingénierie touristique et de la promotion des investissements» pour la mise en œuvre de nouveaux projets structurants, avec une orientation tournée vers les produits et les territoires cibles de la V2020.

Une stratégie sur les rails
Dans le cadre de sa principale mission qui consiste en la définition de la stratégie de développement du produit touristique et la déclinaison des produits et projets de la vision 2020, la SMIT a, lors de cette réunion, fait le bilan de ses réalisations 2012. Dans ce sens, la Société a «instauré cette année une nouvelle organisation orientée métiers, préconisant une spécialisation pour chaque domaine d’activité et s’est dotée d’outils de planification spécifiques et d’un système de veille stratégique permettant d’être au fait des tendances du secteur», explique-t-on auprès de la tutelle. Pour la SMIT, l’année 2012 aura été marquée par la finalisation des concertations pour l’élaboration des contrats-programmes régionaux. Ces derniers sont désormais 11 à avoir été validés par les différentes parties prenantes. En ce qui concerne la promotion de l’investissement, un des principaux axes de la mission de la SMIT, cette dernière dresse un bilan positif. Les chiffres à l’appui et la dynamique suivie auraient permis la finalisation de plusieurs projets principalement à Bouznika, Casablanca et Marrakech pour un montant d’investissement global de 14 MMDH au titre de 2012, visant la création de 5.500 emplois directs et de 12.500 lits supplémentaires à horizon 2015. En termes de promotion à l’international, la société dresse le bilan de ses participations aux différentes manifestations internationales du secteur. Elle a en effet pris part aux différents salons spécialisés, dont le «Central Asia and Turkey Hotel Invetment Conference» (CATHIC) à Istanbul , l’«Arabian Hotel Investment Conference» (AHIC) à Dubai, le «Russia Hotel Investment Conference» (RHIC) à Moscou, le «Global City Scape» à Dubai, le «World Travel Market» (WTM) à Londres. À l’échelle nationale, l’organisme a également coorganisé le Salon international de développement des arrières-pays (SIAPAT) à Taroudant pour la promotion du tourisme rural et des produits artisanaux.

Point de vue
Imad Barrakad, Directeur de la SMIT.
Globalement, nous avons réussi à signer de bonnes réalisations pour l’année 2012, marquée notamment par la signature des contrats-programmes. Les produits ont en effet été discutés avec la région. Plus de 300 réunions ont été tenues, pilotées par le ministère du Tourisme. Les plans d’action sont aujourd’hui validés. Nous sommes en phase de signature de la première partie produit, pour entamer la deuxième phase marketing sur l’environnement touristique.
Le plan d’action global est aujourd’hui prêt. Une dizaine de CPR ont déjà été paraphés et signés avec les régions. Les textes sont arrêtés et l’ensemble des Walis les finalisent actuellement.

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Par LesEchos.ma

Les laboratoires régionaux d’analyse et de recherche relevant de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) viennent d’être accrédités, conformément aux critères de la norme NM ISO/CEI 17025: 2005. Ceci signifie que ces laboratoires remplissent les exigences mondiales générales de compétence pour effectuer des essais et/ou des étalonnages, y compris l’échantillonnage.

Effectivement, les laboratoires d’Agadir, de Casablanca, de Fès, de Marrakech, d’Oujda, de Tanger et le service du Contrôle et des expertises, ont été accrédités par le service marocain d’accréditation (SEMAC) du ministère de l’Industrie, du commerce et des nouvelles technologies. Ces laboratoires ont achevé avec succès toutes les étapes du processus d’accréditation et ont reçu leur certificat d’accréditation NM ISO/CEI 17025, attestant de leurs compétences techniques, de la fiabilité de leurs résultats et de leur bon fonctionnement.

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par Yassine SABER – lesechos.ma

La Commission régionale d’investissement et de dérogation, réunie au début de cette semaine au siège de la wilaya d’Agadir, a examiné 29 projets d’investissement appartenant à la région du Souss-Massa-Drâa. Dans le détail, «sur l’ensemble des demandes de dérogations prévues à l’ordre du jour de la commission, 13 projets ont reçu un avis favorable», nous ont confié plusieurs sources présentes à la réunion. Cependant, s’il y a une observation à retenir, c’est celle afférente au nombre des dossiers relevant du Grand Agadir. Sur les 18 projets instruits par cette aire, dont 13 relèvent de la province d’Agadir Ida Outanane, seulement 5 ont reçu un avis favorable. S’agissant des autres projets agréés, ils se situent respectivement dans les autres provinces, notamment à Ouarzazate, Sidi Ifni, Taroudant et Tiznit. L’autre fait méritant d’être relevé est la ruée affichée pour les RIPT (les résidences immobilières de promotion touristique) en tant que projets d’investissement supplémentaires à la composante hôtelière. Parmi les projets RIPT ayant reçu l’aval de la Commission régional d’investissement figure celui des «Résidences paradis plage» appartenant à la société «Protia SA». Cette dernière a demandé l’acquisition d’un terrain domanial pour compléter l’offre hôtelière de l’établissement «Paradis plage» déjà lancée par la dite société à la plage d’Aghroud, située à 27 km de la ville d’Agadir. D’une superficie de 6.990 m2, cette parcelle abritera une partie de ce projet résidentiel englobant une résidence touristique et une composante Ript, avec un montant d’investissement égal à 160 MDH. Les travaux de la 1ère tranche seront effectués au niveau de la parcelle privée de la société (13.090 m²). L’autre projet touristique appartient à la société «Tildi Sakane Sarl» et «Immobilière Joumabou Tourisme». Les deux sociétés appartenant au même promoteur ont demandé la modification de l’article 4 des cahiers des charges relatifs à la cession du terrain domanial en vue de construire un établissement hôtelier et des résidences immobilières de promotion touristique au lieu d’un complexe touristique à la commune rurale d’Aglou à Tiznit. Le projet sera réalisé sur une assiette foncière frôlant les 9 hectares avec une enveloppe budgétaire de 108 MDH. Dans la même province, l’association «Rimal Dahabia», maître d’ouvrage d’un projet similaire (Ript), compte développer cette formule sur une superficie de 3 ha. Par ailleurs, plusieurs demandes afférentes à la création de Ript ont été déposées auprès des services concernés. Nonobstant, aucun projet n’est opérationnel à l’échelon de la région depuis la promulgation en 2008 de la loi 01-07 encadrant ces unités, soumises aux obligations du classement de la loi 61-00. D’après les informations recueillies sur le nombre des RIPT recensées à l’échelon de la région, en dehors du projet de Taghazout, seuls cinq projets auraient complété leur dossier. En détail, quatre d’entre eux ont acquis le classement provisoire technique «Ript de 1re catégorie», tandis qu’un seul projet était ajourné à la commune rurale d’Aglou, dans la province de Tiznit.

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par Mohamed Laabid – aujourdhui.ma

Du 28 au 30 décembre Tata a abrité la 3ème édition du Festival des oasis qui met chaque année à l’honneur les cultures des oasis à travers des expositions artistiques et patrimoniales et des conférences axées sur le développement durable.
Cette édition, tenue tout au long de trois jours a été initiée par l’Association des festivals des oasis de Foum El-Hisn (140 km de Tata), de la municipalité de Foum El-Hisn, de l’Agence de développement des provinces du Sud et de la préfecture de Tata, et pour laquelle les organisateurs ont choisi comme thème : «Quel avenir pour les oasis à l’ère du changement climatique?», et qui reflète les menaces qui pèsent aujourd’hui sur ces oasis.
D’après eux, cette manifestation vise à faire découvrir la diversité culturelle de la région de Foum El-Hisn connue par ses richesses oasiennes et une occasion pour les agriculteurs et les professionnels de la province de valoriser les produits locaux et d’échanger les expertises dans le domaine agricole, notamment la phoeniciculture, et de promouvoir et valoriser les différents aspects du mode de vie oasien et mettre en exergue le patrimoine naturel et social des oasis sous toutes ses formes matérielles et immatérielles.
Cette édition a été marquée par l’organisation d’une cérémonie de mariage collectif au profit des jeunes de la région ainsi que l’organisation de soirées artistiques animées par des chanteurs nationaux et des groupes folkloriques locaux. Une journée d’étude a eu lieu en marge de ce festival sur le tourisme d’oasis et lors de laquelle il a été procédé à la présentation de sites géologiques dont regorge Tata.
Pour rappel, les oasis de cette région recèlent un riche patrimoine architectural ayant résisté aux aléas du temps et se distinguent par l’attachement de la population locale à ses traditions ancestrales. Et pour les sauvegarder un programme ambitieux est mis en œuvre depuis 2006 par l’Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du Sud du Royaume en partenariat avec les communes locales des provinces de Tata, Guelmim, Assa-Zag et avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le développement, le ministère de l’intérieur et le conseil régional de Guelmim-Smara, et qui prévoit la réalisation de 218 projets pour un coût de 65,5 millions DH, selon une approche qui repose sur trois axes: protéger les ressources, produire de la richesse et valoriser les potentialités territoriales.

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