Archives de 15 novembre 2013

Très sympathique réception ce soir au restaurant « Les deux soeurs »

Au restaurant « Les Deux Soeurs » avait lieu ce soir une très agréable soirée de réception.IMG_9309

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Les nombreux invités se pressaient autour des buffets qui avaient été préparésIMG_9313

IMG_9316Le tout, dans la bonne humeur et dans une excellente ambiance musicale IMG_9319

Les deux soeurs copie

Le restaurant dispose d’une salle très accueillante, il se situe Avenue de la Foire à Agadir (tout près de la pâtisserie Tafarnout)
N’hésitez pas à aller goûter sa cuisine, vous deviendrez vite des habitués !

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Gastronomie, Restauration

Prix du pain : Aucune augmentation n’est possible sans l’aval du gouvernement

MAP – lavieeco.com

Le prix du pain ne peut être révisé à la hausse sans l’approbation du gouvernement, a affirmé jeudi le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, Mustafa El Khalfi.

Mustapha-El-khalfi-(2013-11-15)« Aucune augmentation des prix du pain n’est possible sans l’aval du gouvernement, tel qu’édicté par la loi » a indiqué M. Khalfi lors d’un point de presse à l’issue du conseil de gouvernement.

Il a, à cet égard, précisé qu’une rencontre a été programmée entre le chef de gouvernement et les responsables de la Fédération nationale de la boulangerie et pâtisserie du Maroc pour examiner cette question.

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Consommation

Maroc : Les prix du gasoil, de l’essence super et du fuel industriel en baisse

Les prix de l’essence super, du gasoil et du fuel industriel N 2 accuseront une baisse à compter de la date du 16 novembre à 00h00.

pompe-essence-4916434nxxeaLes prix de l’essence super, du gasoil et du fuel industriel N 2 accuseront une baisse à compter de la date du 16 novembre à 00h00, annonce vendredi le ministère chargé des affaires générales et de la gouvernance dans un communiqué. 

Ainsi, les prix de l’essence super passera de 12,45 dhs/litre à 12,02 dhs/litre, soit une baisse de 43 centimes, du gasoil de 8,84 dirhams/litre à 8,54 dhs/litre (-30 centimes) et du fuel industriel qui passera de 5328,92 dhs/tonne à 5076,63 dhs/tonne, soit une baisse de 252,29 dhs/tonne, précise la même source.

Cette baisse a été décidée après calcul par la Commission Interministérielle des Prix, qui a tenu ce vendredi une réunion, de la moyenne des cotations internationales PLTAS des produits pétroliers raffinés (Super, gasoil et fuel N 2) origine Rotterdam, Hollande, au titre de la période allant du 13 septembre 2013 au 12 novembre 2013 et du calcul de la moyenne du cours de change du dollar américain par rapport au dirham pour la même période.

Cette baisse a été aussi décidée après vérification par ladite Commission du dépassement de l’impact des variations des cotations internationales sur les prix de vente au public du seuil de 2,5 %.

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Circulation, Transports

Tourisme La taxe sur les billets d’avion calme les opérateurs

IL. B. – leconomiste.com

  • Près de 500 millions de DH attendus
  • Une partie destinée à un fonds pour le transport aérien

RAM«Le chef du gouvernement nous avait promis une augmentation du budget alloué à la promotion touristique. Par contre, le projet de loi de Finances 2014 prévoit une coupe drastique». C’est en ces mots qu’Ali Ghannam, président de la Confédération nationale du tourisme (CNT) témoigne de sa déception. En effet, le budget d’investissement du ministère du Tourisme a été réduit de 26,15%. Selon les normes de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), ce budget devrait être autour de 1,8 milliard de DH, soit 3% des recettes touristiques. « Lors de la signature de la Vision 2020, l’Etat s’est engagé à augmenter les budgets destinés à la promotion du tourisme sans tenir ses promesses », signale Ghannam. Pourtant, chaque dirham investi dans la promotion génère 120 DH de recettes en devise.
Mercredi soir, un rebondissement a changé la donne et a permis de redonner le sourire aux opérateurs du tourisme. La commission des Finances au Parlement a adopté un amendement pour la mise en place d’une taxe sur les billets d’avion pour la solidarité et la promotion touristique, qui entrera en vigueur à partir du 1er avril 2014 (Voir aussi page 2). Une partie de la taxe sera destinée à la création d’un fonds pour le transport aérien, la création de nouvelles dessertes et le renforcement des vols depuis les destinations à succès. «Nous estimons que cette taxe pourra générer entre 400 et 500 millions de DH», explique Abderrafie Zouiten, DG de l’ONMT. La valeur de cette taxe a été fixée à 100 DH pour la classe économique et à 400 DH pour la première classe et la classe des affaires, sachant que les sociétés de transport aérien sont redevables auprès de l’Etat et sont tenues de lui verser les sommes collectées auprès de leurs clients. En effet, cette taxe sera prélevée sur émission des billets d’avion dans le cadre des liaisons aériennes internationales.
La première version de l’amendement ne taxait que Royal Air Maroc et Air Arabia. Grâce à différents groupes de lobbying, elle devrait être appliquée à tous les billets émis depuis le Maroc, quelle que soit la compagnie. Pour l’instant, rien n’est totalement définitif et l’amendement devra être voté par la première chambre du Parlement.
Globalement, le Maroc est encore loin des objectifs tracés par la Vision 2020, même ceux de la première stratégie (2010) ne sont pas encore réalisés. «Le taux d’occupation moyen est de 44%, soit une hausse de 3% par rapport à 2012. Ce niveau ne concorde même pas avec l’objectif de 2010», regrette Ghannam. Les arrivées de touristes sont en hausse globale de 7%. Dans le détail, les arrivées de touristes non marocains sont en hausse de 5% contre 9% pour les MRE. «Avec 44% de taux d’occupations, un hôtel perd de l’argent. Il faut au moins atteindre 65%», explique Abdellatif Kabbaj, président de la Fédération nationale de l’industrie hôtelière (FNIH). Ce taux est bien plus élevé dans des villes comme Marrakech ou Agadir. Pour améliorer la qualité de l’offre touristique, la FNIH ressort son ancien projet de nouvelle réglementation de classement des hôtels. Justement, le 22 novembre une réunion aura lieu entre l’Organisation mondiale du tourisme, la tutelle et les professionnels pour entériner ce projet qui vise à rehausser les standards. «Le cahier des charges ne va pas seulement comporter les investissements matériels au niveau de l’hôtel mais également la qualité du service», assure Kabbaj.

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Tourisme, Transports

Football : Agadir prépare le Mondial des clubs

M. A. – leconomiste.com – de bonnes sources

stadeadradagadirLes institutionnels et acteurs économiques de la ville d’Agadir se mobilisent pour le Mondial 2013 des clubs de football. Les autorités locales ont tenu tout dernièrement une réunion avec la Fédération royale de football pour les préparatifs de cet événement d’envergure.
Le coup d’envoi de cette manifestation sera donné le 11 décembre prochain au Grand stade d’Agadir. Au programme ce jour-là, le match apposant le Raja de Casablanca, représentant le pays organisateur, et le champion de l’Océanie, Auckland City FC. La finale se jouera, quant à elle, au Grand stade de Marrakech, le 21 décembre.

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Sport

Les billets d’avion désormais plus chers : Une nouvelle taxe touristique imposée aux voyageurs

Mohammed Taleb – libe.ma

6047882-9022418Nouvelle taxation des billets d’avion. La majorité l’a faite. La Chambre des représentants a approuvé, mercredi, sur proposition du ministre du Tourisme, l’amendement  (n°18) portant sur la création d’une taxe sur les billets d’avion.Il s’agit d’une taxe aérienne dite pour «la solidarité et la promotion touristique», dont l’entrée en vigueur est prévue à partir du premier avril 2014.
Les compagnies aériennes devront désormais payer une taxe de 100 dirhams, soit plus de 9 euros pour la classe économique, et de 400 dirhams, soit plus de 35 euros pour la classe affaires (business et la première). Cette taxe sera prélevée sur les billets d’avion émis pour des liaisons internationales.
Pourtant, taxer les billets d’avion revient à enfoncer un clou dans la roue de la Vision 2020 du tourisme, qui peine à tourner. Contrairement à d’autres pays, dont les premières destinations mondiales telle que la France, qui vient de décider d’investir massivement dans la promotion touristique, le Maroc ne semble pas suivre la même voie.Non seulement les budgets consacrés au ministère du Tourisme et à l’Office national marocain du tourisme (ONMT) sont revus à la baisse mais voilà que le projet de loi de Finances de 2014 prévoit une nouvelle cerise sur le gâteau.
Le ministère du Tourisme s’est lui, aussi, inscrit dans la logique comptable qui domine les politiques et les mesures prises dans le cadre de la loi de Finances 2014, en introduisant cette taxe «autodestructrice». Pourquoi ? Une telle taxe est susceptible d’entraîner une perte de passagers et par la suite une perte d’emplois. Elle peut même constituer un acte suicidaire. Des expériences similaires de taxes sur les voyages ont eu lieu dans des pays comme les Pays-Bas ou l’Irlande, et elles se sont soldées par une baisse du trafic.
Cette mauvaise nouvelle, diffusée à grande échelle, fait déjà écho chez les spécialistes internationaux du domaine. En tapant taxation des avions au Maroc, vous verrez que le premier site le mieux référencé d’entre ceux qui ont annoncé l’information est «le Quotidien du tourisme», premier journal professionnel français qui traite de l’industrie du tourisme et des transports. Ce qui veut dire que cette mesure ne sera pas sans impact. En clair, taxer les voyageurs ne dissuade pas de voyager mais cela motive simplement ces usagers et les transporteurs aériens à choisir des destinations alternatives.
De son côté, le gouvernement Benkirane se défend en affirmant que   cette taxe a pour objectif, selon le ministère, de renforcer les ressources dédiées à la promotion touristique et de favoriser l’attractivité de la destination Maroc et  partant d’attirer les touristes en provenance de nouveaux marchés.
L’argument est étonnant dans le sens où les touristes en visite au Maroc sont avant tout des voyageurs qui sont sensibles aux prix et donc, cela reviendrait à décourager les moins fortunés.
De plus, l’actuel gouvernement a renié ses  engagements d’autant que le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad, avait annoncé, lors de la présentation en 2012 des résultats de la Société marocaine d’ingénierie touristique et son plan d’action pour 2013 que son département  allait même inciter la compagnie nationale à proposer, à partir du 6 février 2014, des billets à tarifs réduits.
Quelques mois plus tard, il opère un revirement et accepte une taxe renchérissant les prix des billets.
Cette décision ne sera certainement pas du goût des professionnels qui n’ont de cesse ces dernières années, vu la relation étroite et sensible entre l’activité touristique et le transport aérien, de réclamer davantage le renforcement de l’investissement dans l’aérien, indispensable pour une reprise du secteur et l’instauration de mesures incitatives des compagnies aériennes à cibler le low-cost.
Au lieu de préconiser des solutions innovantes afin d’améliorer la compétitivité dans un environnement où la concurrence est de plus en plus acharnée, le département de tutelle a opté pour un équilibrisme comptable dont les conséquences seront, certainement, néfastes et contre-productives pour le secteur en général.

Ce n’est certainement pas la meilleure méthode pour attirer les touristes !
Attention, après un petite embellie pour la fréquentation touristique, c’est tuer la poule aux oeufs d’or !

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Tourisme

Coupe du monde des clubs, Maroc 2013 Dernière ligne droite avant la compétition

Amine El Amri – lematin.ma

 

Pendant dix jours, Marrakech et Agadir seront l'objet de l'intérêt des amateurs du football du monde entier.

Pendant dix jours, Marrakech et Agadir seront l’objet de l’intérêt des amateurs du football du monde entier.

À moins d’un mois du démarrage de la Coupe du monde des clubs, organisée pour la première fois sur le sol africain, les sept équipes qualifiées sont connues. Ainsi, le Raja Casablanca, champion du Maroc 2012-2013, le Bayern Munich, champion d’Europe, l’Atletico Mineiro, champion d’Amérique du Sud, Monterrey, champion d’Amérique du Nord, Auckland City, champion d’Océanie, et plus récemment Al Ahly, champion d’Afrique, et Guangzhou Evergrande, champion d’Asie, complètent le casting des formations qui se disputeront le titre mondial.

Bande-annonce et technologie sur la ligne

Lundi, la FIFA a dévoilé, à travers son site officiel, la bande-annonce du Mondial des clubs. Une vidéo qui présente le Maroc comme un pays passionné du ballon rond, avec des scènes de jeunes joueurs (garçons et filles) pratiquant leur sport favori dans les ruelles d’une médina. Pour le Maroc, le tournoi sera une occasion de valoriser l’image du Royaume, au niveau planétaire. Pendant dix jours, les yeux du monde entier seront rivés sur Marrakech et Agadir, où les stades tout neufs abriteront les matchs et disposeront de la technologie de ligne de but. Là encore, une première au niveau du continent. Quant à la billetterie, la FIFA permet aux spectateurs d’acquérir directement leurs billets, à travers son site officiel, avant de pouvoir retirer leur dû, dans un des 
espaces dédiés, qui seront ouverts le 20 novembre.

Le Raja commence le grand bal

Treize années après sa première participation en Coupe du monde des clubs, le Raja Casablanca affrontera les Néo-zélandais d’Auckland City, dans le match inaugural, à Agadir. Les Verts seront le porte-étendard du Maroc, en tant que champions 2012-2013, face à une jeune formation (9 ans d’existence seulement), mais ayant participé 4 fois à la compétition, remportant deux matchs sur sept. S’il est vrai que le tournoi océanien n’est pas doté d’un niveau très relevé, les équipes qualifiées au Mondial se valent. Suivront à Agadir, trois autres matchs, dont deux disputés le samedi 14 décembre. Le premier mettra aux prises Guangzhou Evergrande et Al Ahly (17h). Le deuxième opposera le vainqueur du match entre le Raja et Auckland et le club mexicain de Monterrey (19h30). Le dernier match dans la capitale du Souss se jouera, le 18 décembre, entre le Bayern Munich et le vainqueur de l’opposition entre le champion d’Afrique et celui d’Asie. 

Aucun arbitre marocain au sifflet

La FIFA a annoncé les trios d’arbitres qui officieront à la Coupe du monde des clubs de la FIFA, Maroc 2013. Des arbitres des Émirats arabes unis, de Gambie, des États-Unis, du Brésil, d’Espagne et du Cameroun seront chargés des rencontres. Le plus âgé d’entre eux est Carlos Velasco Carballo (42 ans) et le plus jeune Neant Alioum (31 ans).

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Animation, Evènements, Sport

La datte, levier de développement économique du Sud

Abdelhafid Marzak – lavieeco.com

Un salon de 40 000 m2, 180 exposants de 12 pays et 60 000 visiteurs. Des conventions pour développer la production et la commercialisation des dattes marocaines.

Erfoud-Dattes-Maroc-(2013-11-14)Trois conventions visant à appuyer la promotion de la commercialisation des dattes marocaines sur le marché national et spécialement dans les grandes et moyennes surfaces ont été signées jeudi 31 octobre à Erfoud, en marge de l’inauguration de la 4e édition du Salon des dattes au Maroc. A travers ces conventions, le ministère de l’agriculture et de la pêche maritime a négocié les conditions de commercialisation des dattes marocaines avec 3 enseignes de grandes et moyennes surfaces : Marjane, Label’Vie et Asswak Assalam. L’objectif est de faciliter aux groupements d’intérêts économiques (GIE) l’accès à ces distributeurs et par conséquent augmenter les revenus des producteurs de dattes membres de ces GIE. «Grâce à ces conventions, les grandes et moyennes surfaces étaleront leurs commandes en dattes marocaines sur toute l’année», a annoncé Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture et de la pêche maritime.
Autre événement, la signature d’une convention définissant les modalités et les conditions de fourniture d’énergie aux exploitations agricoles situées dans l’axe Errachidia-Boudnib.

La production nationale s’élève à 110 000 tonnes

Ce projet d’électrification s’inscrit dans le cadre du développement de la filière phoénicicole, composante essentielle du Plan Maroc Vert. Le coût global de ce projet de 36 mois est estimé à 100,2 MDH, dont 37,50% seront financés par le ministère de l’agriculture, 20,80% par le Conseil régional et provincial et 20,80% par l’ONEE. Le reste sera cofinancé par l’Agence nationale de développement des zones oasiennes et de l’arganier (ANDZOA) et l’Association des investisseurs producteurs de palmiers (AIPP). Si autant de conventions ont été signées lors du salon qui s’est déroulé du 31 octobre au 3 novembre, c’est que l’événement est de taille. Le salon s’étale en effet sur une superficie de 40 000 m² pour 180 exposants venus de 12 pays et plus de 60 000 visiteurs attendus. L’enjeu est également important : un chiffre d’affaires de 2,5 milliards de dirhams et plus de 5 000 tonnes de dattes de qualité supérieure à l’export à l’horizon 2020. Le Maroc dispose de tous les atouts pour relever ce challenge. Pour l’ANDZOA, «la production nationale a progressé de 10% durant les 5 dernières campagnes agricoles. Elle dépasse aujourd’hui les 110000 tonnes. Au niveau mondial, le pays occupe déjà la 7e place avec une palmeraie avoisinant les 48 000 hectares. Nous comptons améliorer notre production, nos exportations et par conséquent notre positionnement mondial». Les moyens déployés semblent être à la hauteur des ambitions.

 

 

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agriculture, Commerce, Région

Automobilisme : est-ce le Maroc organisera bientôt un Grand Prix de Formule 1 ?

biladi.ma

f1-marocA en croire Autoweek.com, Bernie Ecclestone pourrait avoir conclu un contrat pour l’organisation d’un Grand Prix de Formule 1 au Maroc. Est-ce que le Royaume retrouvera les vrombissements de la F1 ?
Le Maroc a déjà accueilli le championnat de Formule 1, à l’occasion d’un seul et unique Grand Prix. C’était le 19 novembre 1958, sur un circuit urbain à Casablanca. Cette course avait malheureusement été marquée par une tragédie, la mort du pilote britannique Stuart Lewis-Evans. Son manager et ami n’était autre que Bernie Ecclestone.

Aujourd’hui, l’actualité de la Formule 1 est à nouveau focalisée sur l’emblématique Bernie Ecclestone et le Maroc. La cause de ce coup de projecteur médiatique est que le site Autoweek.com vient d’annoncer que le patron de la F1 pourrait bien avoir signé un contrat pour l’organisation d’un Grand Prix de Formule 1 au Maroc.

Pour étayer ses dires, le site recoupe plusieurs événements récents, à commencer par la rencontre entre S.M. Mohammed VI et Bernie Ecclestone, à Abu Dhabi, aux Emirats Arabes Unis. Les deux hommes ont en effet été photographiés ensemble à l’occasion, le 3 novembre dernier, lors du Grand Prix Formule 1 d’Ettihad Airways.

A ce cliché, il faut ajouter une récente déclaration du patron de la F1. Actuellement poursuivi dans une affaire de corruption, ce denier vient de déclarer, lors de son procès devant la Haute Cour de Londres, avoir tout récemment conclu un accord de 600 millions de dollars.

A cela, il faut ajouter un troisième élément, le fait que le montant de cet accord est trop élevé pour être un simple contrat de parrainage pour la F1. De fait, il pourrait bien s’agir d’un nouveau marché, d’un nouveau Grand Prix… Et c’est là que la rencontre d’Abu Dhabi prend toute son importance : pourquoi pas Grand Prix de Formule 1 au Maroc ?

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Sport automobile, Sports mécaniques

Pain : est-ce que le Maroc verra ses prix s’envoler ?

biladi.ma

Pain : est-ce que le Maroc verra ses prix s’envoler ?

Pain : est-ce que le Maroc verra ses prix s’envoler ?

La paix sociale risque de vivre prochainement des semaines difficiles. La source de cette tension pourrait être le prix du pain, une denrée de base qui pourrait bien voir son tarif s’envoler.

Subventionné par la Caisse de compensation, le prix du pain est normalement fixé par des barèmes officiels. Le petit hic est que les minoteries marocaines ont décidé, il y a quelques semaines, une hausse de 10 et 17 centimes le kilo sur le prix de la farine de luxe. De fait, les boulangers fabriquant du pain se retrouvent coincés dans un étau.

En réponse à cette situation, le Chef du gouvernement Abdelilah Benkirane avait demandé à la Fédération nationale de la boulangerie et pâtisserie au Maroc (FNBPM) de reporter la répercussion de cette hausse, promettant aux professionnels du pain de rapidement trouver des solutions après la formation de son nouveau gouvernement. Mais voilà, le temps passe et aucune proposition concrète n’a faite comme promis.

Face à cela, le quotidien marocain Akhbar Alyaoum annonce que la FNBPM compte passer des menaces à l’action en annonçant une hausse des prix du pain pour la semaine prochaine, une augmentation qui variera de 10 à 30 centimes.

Le suspense est donc de taille, est-ce que cette hausse sera réellement effective ? Cela semble être le cas, ou est-ce que le nouveau gouvernement d’Abdelilah Benkirane va sortir une situation miracle de son chapeau ? Une chose est certaine, toucher le prix du pain risque de mettre à mal la paix sociale au Maroc !

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Consommation, Société

Mohamed Najib Boulif :Le Maroc veut relancer le projet du tunnel de Gibraltar

aufaitmaroc.com – MAP

Le Maroc veut relancer le mégaprojet du tunnel sous-marin de Gibraltar, selon le ministre délégué chargé du Transport, Mohamed Najib Boulif. /DR

Le Maroc veut relancer le mégaprojet du tunnel sous-marin de Gibraltar, selon le ministre délégué chargé du Transport, Mohamed Najib Boulif. /DR

Le Maroc veut relancer le mégaprojet du tunnel sous-marin de Gibraltar. C’est ce qu’a affirmé, jeudi à Bruxelles, le ministre délégué chargé du Transport, Mohamed Najib Boulif, peu avant le lancement de la 2e conférence ministérielle euro-méditerranéenne sur le transport.

“Le tunnel sous-marin devant relier le Maroc et l’Espagne est le grand projet du siècle sur lequel les pays de la région devraient se pencher sérieusement et inscrire à la tête de l’agenda méditerranéen”, a-t-il déclaré.

Le Maroc souhaite convaincre les pays de la région et un certain nombre de bailleurs de fonds à adhérer à ce projet titanesque en discussion depuis une vingtaine d’années, a indiqué M. Boulif. Et de relever que l’ambition du Royaume est de parvenir, dans les deux à trois prochaines années, à présenter à ses partenaires un projet fiable techniquement.

Outre le tunnel sous-marin de Gibraltar, le Maroc entend également recueillir le soutien de l’Union européenne (UE) et de l’Union pour la Méditerranée (UpM) dans d’autres projets structurants dans le domaine du transport terrestre, maritime et aérien, a annoncé le ministre. Il a cité à cet égard l’autoroute qui desservira le port de Nador et la ligne à grande vitesse (LGV) que le Royaume envisage d’étendre à Marrakech et Agadir.

Cette conférence de Bruxelles, qui fait suite à celle tenue à Marrakech en 2005, dix ans après le lancement du Partenariat euro-méditerranéen (Euro-Med), est la première sous l’égide de l’UpM.

 

Publié 15 novembre 2013 par Michel Terrier dans Actualité, Agadir, Circulation, Tourisme, Transports

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Agadir : Rencontre régionale sur le rôle de l’école dans la protection de l’enfance

LNT – MAP

enfantLa wilaya d’Agadir a abrité, jeudi, une rencontre régionale consacrée au lancement de la deuxième phase du “Projet de renforcement du rôle des établissements scolaires dans la protection de l’enfance”, en présence de plusieurs responsables pédagogiques, élus et représentants des services extérieurs et du tissu associatif.

Les travaux de ce séminaire ont été marqués par la présentation du bilan de la première phase de ce projet lancé en 2012 avec pour objectifs, entre autres, d’initier et promouvoir une culture d’écoute et de partenariat au sein des établissements scolaires, renforcer les capacités et les compétences professionnelles en matière d’écoute et de lutte contre la violence et la déperdition scolaires et d’ancrer les valeurs humaines communes et la culture du respect des droits de l’enfant en milieu scolaire.

La rencontre a également permis de jeter la lumière sur les expériences de certains établissements scolaires concernés par la première phase de ce projet, porté par l’Académie régionale éducation-formation Souss-Massa-Drâa (AREF/SMD) et l’Association Anir d’aide aux enfants en situation difficile, en partenariat avec la Fondation du Sud pour le développement et la coopération et l’Agence espagnole de la coopération internationale.

Il a été également procédé à la présentation d’un guide de ce projet et du plan d’action de la deuxième phase qui s’étend jusqu’à 2014, en plus de la signature d’un avenant à la convention de partenariat et la remise de certificats aux responsables impliqués dans la mise en oeuvre de cette initiative.

A cette occasion, le wali de la région Souss-Massa-Drâa, gouverneur de la préfecture Agadir Ida Outanane, Mohamed El Yazid Zellou a souligné l’importance de cette rencontre dédiée à fédérer les efforts en vue d’ancrer la culture citoyenne et des droits de l’homme, dans la perspective d’immuniser l’école contre la violence et lui permettre d’assumer pleinement sa noble mission.

Le directeur de l’AREF/SMD Ali Berrad a, de son côté, rappelé que ce projet s’inscrit dans le cadre des orientations du ministère de tutelle visant à asseoir la culture de protection de l’enfance et de lutte contre la violence en milieu scolaire, tout en se félicitant des efforts déployés par les différents partenaires et qui ont été couronnés par le choix de l’expérience de l’Observatoire régional de lutte contre la violence en milieu scolaire comme une référence nationale dans ce domaine.

Les autres intervenants ont été unanimes à souligner l’impératif de capitaliser sur les acquis de cette expérience et de pérenniser le projet à travers la mobilisation des ressources matérielles nécessaires, notamment par l’implication du secteur privé, des collectivités locales et des acteurs associatifs.

La première phase du “Projet de renforcement du rôle des établissements scolaires dans la protection de l’enfance” a concerné 15 établissements scolaires dans 5 communes urbaines, soit 495 classes dans les préfectures d’Agadir Ida Outanane (243) et Inezgane Aït Melloul (252), regroupant un total de 28.827 élèves, dont 9392 filles.